Hybrid Parisiorum - ou quand le mythe devient réalité...
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 Doutes [Tiphanie]

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Alessandro Padolli

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MessageSujet: Doutes [Tiphanie]   Doutes [Tiphanie] I_icon_minitimeSam 6 Aoû 2011 - 17:09

Qu’est-ce qui m’avait poussé à me balader seul dans la rue comme une âme en peine ce soir-la ? Dans l’ensemble, c’était simple. D’une complexe simplicité, en fait. C’étaient mes doutes qui me faisaient simplement sortir prendre l’air.

En fait, ça avait vraiment commencé quelques heures avant. Ou un jour, je n’en étais pas sûr. Ayant pour habitude d’appeler Alessandro quand j’avais des doutes, je l’avais encore une fois appelé. Mais cette fois-ci, il n’avait pas ri. Il ne s’était pas moqué, ne m’avait pas appelé Rico, c’est ce qui m’a le plus troublé. Paris, c’était l’enfer. Je voulais retourner en Italie, là où je trouvais tout plus simple… là où
elle n’était pas.

Je lui ai parlé d’elle, de Tiphanie. J’ai mentionné son caractère de chien, sa froideur encore bien pire que la mienne, et son attitude fuyante à mon égard. Je lui ai aussi dit que malgré tout ça, j’avais envie de la revoir, que je ressentais un vide, et que j’avais même pris des médicaments en croyant à une maladie. Ce n’était qu’en me rendant compte que ça ne passait pas que je l’avais appelé. Il était resté calme, comme jamais auparavant.
Qu’est-ce qui se passait ? Pourquoi rien n’était plus comme avant ? Ce n’était pas son incroyable changement, cet assagissement qui m’aiderait.

Il avait conclu en me disant de prendre l’air, et d’essayer de lui parler. Lui parler je voulais bien, mais dans la pratique ce n’était pas aussi simple. Il ne fallait pas être expert en psychologie pour comprendre qu’elle ne voulait pas me voir. Il avait fini en me disant de prendre soin de moi, et de tenir le coup.

Dans quelle histoire m’étais-je encore mis ?

Je sais qu’après qu’il ait raccroché, j’avais dormi. Beaucoup. Je m’étais réveillé avec une faim monstre, alors que le soleil se couchait. Si vraiment je n’avais dormi que deux heures, je n’aurais pas faim comme ça…
Je m’étais préparé un repas avec ce que j’avais trouvé dans le frigidaire. Note to self : penser à le remplir, il commençait à avoir aussi mauvaise mine que moi.
Apres une rapide douche, j’étais sorti, et me voilà.

La tête baissée, je passais presque inaperçu dans la foule. Apres une dizaine de minutes, je me détachais d’elle, sans vraiment savoir où j’allais. Il y avait tres peu de monde. Tant mieux. J’allais finir par étouffer avec tous ces gens ronchons.
Et puis, Dieu, le destin, ou quoi que ce fut d’autre encore s’acharna encore sur moi. Un déhanché ayant marqué ma mémoire, une silhouette que je reconnaitrais entre mille, et des cheveux châtains ondulant a la légère brise du soir.


* Fais demi-tour, Ulrich. Rentre et cadenasse-toi chez toi. *

Pourquoi j’avais si peur ? Était-ce si horrible ? En même temps, je parlais de quelque chose d’inconnu, qui avait radicalement fait changer Alessandro, et qui était en train de me changer moi…

Merda !

J’avais connu pire, n’est-ce pas ? J’avais toujours survécu aux pires situations, alors ce n’était pas une femme qui allait m’abattre !
Je me lançais, arrivant dans son dos, les mains dans les poches, essayant de garder toute la contenance que je pouvais.


Tiphanie… J’ai besoin de vous parler, s’il-vous-plait…

Je ne sais pas ce qui m’avait pris de dire que j’avais besoin de lui parler, mais ce qui était fait était fait. Tout ce que je voulais à présent, c’était qu’elle veuille bien m’écouter, et qu’elle ne s’enfuie pas.
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Tiphanie Daussure

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MessageSujet: Re: Doutes [Tiphanie]   Doutes [Tiphanie] I_icon_minitimeSam 6 Aoû 2011 - 17:51

Journée pourrie a faire la potiche, je détestais ça.
je détestais cette arrangement, je détestais ce que me grand-mère faisait de moi, en faite la seule raison pour laquelle je maintenais cette situation s'était parce que Nathaël ne gagnait pas assez avec sa petite boutique pour me verser un salaire.
Je passais mes journée là bas quand je n'avais pas de mission a préparé, et même quand je les préparais s'était souvent allongée sur le sol de l'arrière-boutique ou affalée sur le comptoir.

Mais se soir j'étais loin de cet environnement protecteur, j'avais faussé compagnie a tout le beau monde qu'il y avait a ce dîner chez une amie de Virginie. Cette univers d'hypocrite et de riches plus vieux les un que les autres, se croyant au dessus de tout, protéger de ce qui se passait en ce moment dans Paris juste parce qu'ils était important et qu'ils avaient de l'argent me donnait la nausée.
C'était presque un miracle que j'avais réussi a filer en douce, même si au moment de partir j'avais entre-aperçu un regard réprobateur de mon frère. Mais il allait me couvrir, je le connaissais, il m'aimait trop pour me jeter sans pitié en pâture a notre grand mère.

je n'étais pas spécialement pressée de rentré chez moi pour découvrir un message moralisateur de Nathaël, et un voir plusieurs suspicieux de la vielle bique qui croyait se servir de moi impunément.

le rue n'était pas très fréquenté, et s'était tant mieux, je n'avais envie de lutter pour ne pas être envahie par les pensée des autres, je voulais être seule dans ma tête, avoir un peu de calme. là il y en avait même peu être un peu trop. je me remémorait tout ce que la vipère qui me sert d'ancêtre avait bien pu me faire faire avec cette arrangement: dîner, déjeuné, soirée, Opéra, théâtre etc... la liste était longue et a chaque fois il s'agissait de bien s'habillé. enfin s’habiller, j'aurais plutôt dis s'emprisonner dans un cocon inconfortable de tissus. Ce soir ne dérogeait pas, j'était en robe blanche qui plus est, percher sur des talons et enmmitoufflée dans une veste genre veste de tailleur.

Tout était calme, mais une pensée attira mon attention, pas parce qu'elle était particulièrement intéressante, mais parce qu'il y avait mon nom dedans, nom nom et mon prénom. Il y avait quelqu'un qui me connaissait et qui n'était pas loi, mais qui?

Il y avait un présence familière dans mon dos... quand...

Tiphanie… J’ai besoin de vous parler, s’il-vous-plait…

Oh non pas lui !
Pas Ulrich Carter, s'était la dernière personne que j'aurais voulu voir en cette soirée. Je ne voulais pas de son air de minet, je ne voulais pas de ses manières de rustres. Je ne voulais pas le voir un point c'est tout!


Je n'ai pas a entendre ce que vous avez a dire, et je n'ai rien a vous dire.
Bonne soirée.


Sur ce j'avais accéléré le pas, epérant que le ton plus que glaciale et cette nouvelle allure allait le dissuader de me suivre, même dans cette tenue peu adéquate, je pouvais lui apprendre les bonnes manières.
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Alessandro Padolli

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MessageSujet: Re: Doutes [Tiphanie]   Doutes [Tiphanie] I_icon_minitimeLun 8 Aoû 2011 - 9:03

Je n'ai pas a entendre ce que vous avez a dire, et je n'ai rien a vous dire.
Bonne soirée.


Pire que le plus fort des coups, que la plus tranchante des lames, que la plus puissante des armes à feu. Un coup imparable, qui s’enfonçait loin dans mes entrailles, et me déchirait de l’intérieur. J’avais envie de hurler, de pleurer, de frapper, comme une bête enchainée à qui on venait de refuser la liberté. Que de sentiments qui n’avaient lieu d’être en moi. J’étais frustré, rejeté, incompris, même par moi-même. Je le haïssais de me faire me sentir ainsi, et me haïssais de la haïr. Levant les yeux au ciel, je le regardais avec une déception mêlée de colère. Tout au long de ma vie, j’étais venu à bout des épreuves que le ciel m’envoyait. Ce n’était pas moi qui le disais, mais le Père Vincenzo, alors j’avais fini par le croire. Mais s’il avait raison, le Ciel s’acharnait sur ma pauvre personne, et m’envoyait une épreuve insurmontable.

Je hurlais, cognais et pleurais intérieurement, me mettant en marche pour la suivre. Il fallait que je lui dise, même si elle n’entendait pas des mots.


* Je sais que vous m’entendez. Je ne serai pas long, je vous le promets. *

Je prenais une grande inspiration. En parler avec Alessandro avait dans l’ensemble été plutôt simple. Mais maintenant qu’elle était là…

* Je suis désolé d’en avoir tellement appris sur vous. Peut-être même d’avoir été là quand votre vie était mise en danger, d’avoir répondu à votre appel. Sans ces conditions, vous ne m’en voudriez peut-être pas autant, et ça ne serait peut-être pas aussi douloureux. Peut-être même que si je n’en savais pas autant sur vous, vous quitteriez plus souvent mes pensées, ce dont j’aurais grand besoin.
J’étouffe. Je vous passerai les détails sur le fait que je perds l’appétit et le sommeil, et que même dans celui-ci, je ne peux pas me débarrasser de vous.
J’ignore ce que vous avez fait. Même mon mentor n’a pas voulu donner de nom à cette sensation qui m’habite. Vous avez fait perdre sa moquerie au plus moqueur des êtres vivants.
Regardez où vous m’avez conduit… À vous dévoiler mes doutes et mes peines par pensée, en me confortant dans l’idée que vous m’entendez peut-être.
Alessandro m’a parlé de reciprocite, mais comment pourrais-je vous souhaitez de ressentir quelque chose d’aussi douloureux ?
Je suis du genre résistant, fonceur. Vous le savez, vous me charriez là-dessus. Mais cette douleur-là est intenable, ou alors je ne sais pas comment lutter contre elle. Et peut-on réellement lutter contre quelque chose qui semble agir au plus profond de nos entrailles ?
Je crois que c’est à peu près tout. Sachez que je regrette plus amèrement que vous de vous connaitre. Même si incompréhensiblement, je n’ai pas envie de vous oublier… *

Je m’étais arrêté, regardant le sol. J’avais la sensation qu’à tout moment je pouvais imploser. Je crois que j’aurais mille fois préféré subir mes martyrs que de continuer à subir ça.
Même si au fond, je n’avais pas envie que ça s’arrête…
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Tiphanie Daussure

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MessageSujet: Re: Doutes [Tiphanie]   Doutes [Tiphanie] I_icon_minitimeLun 8 Aoû 2011 - 17:52

Bien sur que je l'entendais, j'aurais d'ailleurs préféré ne pas en entendre a un seul petit mots, une infime syllabe, la moindre petite bride de pensée.
Je m'étais figer, pas parce que j'étais toucher par ce qu'il me disait, tout le contraire, j'était hors de moi, j'avais une furieuse envie de lui tiré le cerveau par le nez pour lui apprendre a penser de telles choses. D'ailleurs je me retournais pour marcher d'un pas rapide vers lui, un expression qui n'avais rien de rassurant au visage.


"Ecouter moi bien, je n'ai pas l'intention de me répéter.
Tout ce que vous croyez ressentir ça s'appel communément de l'amour, enfin c'est comme ça que le plupart des gens l'appel. Mais ça n'existe pas, c'est une pure invention de votre esprits pour masquer le simple fait que vos hormones vous travail quand vous me regarder.
L'amour, ça n'existe pas, c'est une simple superstition, un vieux compte de grand mère gâteuse, un mythe qu'on raconte au gamine avant qu'elle ne s'endorme pour leur faire faire de beau rêve.
Alors reprenez vous belle illusion et allez vous en, ou j'appel la police pour harcèlement."


Le dernière phrase était du bluff, je n'avait pas l'intention de lui faire ça, après tout on était dans le même camps. Mais je voulais absolument lui faire comprendre qu'il ne devait plus m'approcher, surtout si il continuait a "éprouver" de tel choses.
Je ne comprenais même pas comment on pouvait se fourvoyer a ce points, il suffisait d'être logique pour comprendre que les seule choses valides étaient celle qui était du a une réponse primaire du corps comme un production d'hormones, mais "l'amour" s’était surtout mental, et l'esprit avaient tendance a tout le temps nous tromper.
Pour moi ça n’existait pas, un point c'est tout.

J'avais repris ma route, espérant que cette fois il aurait le bon sens de ne pas l'ouvrir.
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Alessandro Padolli

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MessageSujet: Re: Doutes [Tiphanie]   Doutes [Tiphanie] I_icon_minitimeLun 8 Aoû 2011 - 19:23

J’entendais le claquement des talons, ce qui me poussa à relever la tête. Rien qu’à voir son expression, je savais que c’était reparti.

Ecouter moi bien, je n'ai pas l'intention de me répéter.
Tout ce que vous croyez ressentir ça s'appel communément de l'amour, enfin c'est comme ça que le plupart des gens l'appel. Mais ça n'existe pas, c'est une pure invention de votre esprits pour masquer le simple fait que vos hormones vous travail quand vous me regarder.
L'amour, ça n'existe pas, c'est une simple superstition, un vieux compte de grand mère gâteuse, un mythe qu'on raconte au gamine avant qu'elle ne s'endorme pour leur faire faire de beau rêve.
Alors reprenez vous belle illusion et allez vous en, ou j'appel la police pour harcèlement.


Ce que je croyais ressentir ? … Je pouvais être gentil, mais il ne fallait pas trop pousser. Ces jours de mal-être, son incessante présence dans mon esprit, un « simple fait que mes hormones me travaillent quand je la regardais » ?
Je ne pouvais pas laisser passer ça.

Je la rattrapais, et lui barrais la route. Qu’elle appelle la police si ça lui chantait. Qu’elle fasse ce que bon lui semblait, elle ne pouvait pas me dire ça et s’en aller comme ça.


Si seulement c’était uniquement quand vous êtes là, quand je vous vois… Mais non. Alors si l’amour ça n’existe pas, c’est autre chose. Mais il va falloir trouver, parce que ce n’est pas uniquement là pour attirer votre attention. Ça me hante continuellement, et vous avez beau fuir, ça ne semble pas vouloir retourner avec vous. Je sais que vous me haïssez, malgré que je n’ai rien fait pour. Je n’ai pas demandé à votre frère de me parler de vous. Si j’avais su que vous m’en voudriez pour ça, je lui aurais dit de se taire. Vous me haïssez pour quelque chose dont je ne suis pas responsable !

J’étais dans une sorte de semi-colère. Je n’arrivais pas à réellement m’énerver contre elle, et c’était assez frustrant. A vrai dire, n’importe qui d’autre s’en serait déjà pris une. Même Alessandro.
… surtout Alessandro !


Pour moi aussi, c’est un mythe. Une chaine avec laquelle on s’attache intentionnellement, reliée à une autre personne. Je n’ai jamais compris et ne comprends toujours pas comment aimer, encore moins maintenant que je sais ce que ça fait, comme c’est dur à vivre… Vous parlez de mes hormones, mais cela fait dix ans que mes hor…

Je me stoppais net, écarquillant les yeux. Qu’est-ce que je venais de dire ? Etait-ce vraiment moi qui venais d’affirmer savoir ce que ça faisait d’aimer ?
Cette fois-ci, c’était sûr. J’étais complètement fou.
Je poussais un soupir, puis continuais.


Laissez-moi une chance, Tiphanie… Si je pouvais oublier, j’oublierais. Je ne veux pas de votre haine. Je suis maladroit en relations humaines, je le sais. Je suis un rustre, c’est vrai. Mais j’aimerais repartir sur de bonnes bases, même si une fois encore vous allez me repousser comme la peste.

Petit à petit, je reprenais ma contenance habituelle. Mes mots se faisaient plus neutres, tout comme mon visage. Même mon regard qui ne la quittait pas devenait de plus en plus froid.

Je sais ce que c’est que d’être gouverné par ses hormones. Mais jamais ça ne m’était arrivé avant, d’être gouverné de cette manière. Croyez-moi…

Mes pensées étaient dans le désordre le plus total, je ne savais plus quoi faire. Cette femme de rendait fou, et je n’arrivais pas à lui en vouloir…
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Tiphanie Daussure

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MessageSujet: Re: Doutes [Tiphanie]   Doutes [Tiphanie] I_icon_minitimeLun 8 Aoû 2011 - 21:28

Qu’est ce qu’il pouvait parler, en plus ce n’était pas vraiment comme si ce qu’il avait a dire m’intéressait. Tous ce que je voulais c’était qu’il reste loin de moi, pas parce que je le détestais, pas parce qu’il m’insupportait, mais juste parce que je ne supportais pas qu’on en sache autant sur moi. Je ne voulais pas qu’il a une quelconque emprise sur ma personne, qu’il puisse influencer mes actes d’une façon ou d’une autre.
Pourquoi ne comprenait-il pas ça, que je voulais simplement être seul, il pouvait garder ses prétendu sentiment, ce n’étais fait que pour blesser autrui et se blesser soit même. Il n’y avait que deux amour que j’acceptais dans ma vie, celui de mon frère, parce que je savais que son seul but était de me protéger, tout comme le mien, et l’amour de Dieu. Tout autre n’était qu’il illusion, un plaisant mirage qui finissait toujours pas s’envoler ne laissant derrière lui qui le désert dans toute sa désolation.


Vous croire ou pas, peu importe.
Je n’ai que faire de ce que vous penser, que faire de se que vous ressentez, que faire de votre passer aussi douloureux soit-il.
Partez, oubliez, et laisser moi tranquille. C’est tout ce que j’ai a vous dire.


Le ton était plus que froid.
Cette fois je n’allais pas lui laisser la moindre chance de ma barré la route, ou celle de m’empêcher d’un quelconque manière de rentré chez moi. J’enlevais mes chaussure, percher sur 10 cm de talon s’était impossible de courir vite et me précipitait vers chez moi.
Jusqu'à présent je n’avais pas parlé de ça a Nathaël, mais vu les proportions que cela prenait le sale morpion allait m’entendre !
Parler de MA vie a n’importe qui et puis quoi encore ?!
L’avantage c’est qu’il allait être a trois-vent pourcent de mon côté, j’allais avoir un allié de taille pour maintenir Ulrich loin de moi.

S’était tout ce que voulais, de la solitude.
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Alessandro Padolli

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MessageSujet: Re: Doutes [Tiphanie]   Doutes [Tiphanie] I_icon_minitimeLun 8 Aoû 2011 - 22:17

Vous croire ou pas, peu importe.
Je n’ai que faire de ce que vous penser, que faire de se que vous ressentez, que faire de votre passer aussi douloureux soit-il.
Partez, oubliez, et laisser moi tranquille. C’est tout ce que j’ai a vous dire.


Oublier… Comme si c’était si simple. Comme si un claquement de doigts pouvait tout changer, faire comme si rien ne s’était passé.
Elle courut après s’être déchaussée, et je ne fis rien pour l’en empêcher. Si elle ne voulait pas m’écouter, qui le ferait ? J’en avais parlé à Alessandro, qui me connaissait, à elle, que pourrais-je faire d’autre ?

« Theo a toujours été un peu farouche, être désagréable est une sorte de moyen de se protéger, personne n'a envie d'aller vers quelqu'un d'un peu brut, avec une éducation qui semble rigide et bourrée de préjugés. C'est sa manière de tenir les personne étrangère a l'écart de sa vie... »

Nathaël… Lui la connaissait, il pourrait peut-être m’aider, ou du moins me donner des conseils pour l’approcher. Quoique, vu comme je la faisais fuir, il risquait peut-être de m’en vouloir, surtout que j’étais parti comme un voleur la dernière fois.

Je me retournais vers l’endroit par où elle était partie. Le mieux était peut-être de la laisser partir…
Mais je n’arrivais pas à m’y résoudre.

Je me remis en marche vers chez moi. Inutile d’appeler Alessandro pour lui raconter mon échec cuisant.

Je l’appellerai quand j’aurais parlé avec Nathaël.
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MessageSujet: Re: Doutes [Tiphanie]   Doutes [Tiphanie] I_icon_minitime

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