Tiphanie Daussure
Messages : 133
Date d'inscription : 20/05/2011
Localisation : Quelque part, vous êtes trop curieux.
Feuille de personnage :
Pouvoirs:
Âge du perso: 25 ans
Relations:
 |  Sujet: Tiphanie D ~ Chasseresse  Ven 20 Mai 2011 - 17:23 | |
|  _____________________________________________________________________________________
Prénom : Tiphanie
Surnom : Aucun de connu
Age : 25 ans
Origine : Paris
Race : Chasseur
Pouvoir : Télépathie ~ Télékinésie
Métier : Vendeuse dans la boutique d’antiquité de son frère
Famille : Estelle Daussure – mère
_______Nathaël Daussure – frère
_______Virginie Daussure – grand-mère maternel
_____________________________________________________________________________________
Apparence : En faite, il y a trois Tiphanie différentes.
Tout d’abord on ne voit que la jeune fille un peu banale, celle que l’on fait que croiser dans la rue, la caucasienne courante, de taille moyenne. Peu de gens sont tentés de se retourner sur elle, même si ses longs cheveux châtains et sa silhouette plutôt menue pourraient jouer en sa faveur.
Quand on s’intéresse un peu plus a elle on peu remarquer ses yeux bleus sombres au nuance de violet. La finesse des trais de son visage et son petit sourire en coins on arraché plus d’un sourire aux clients de la boutique où elle travail. On note aussi plus facilement les imperfections de sa peau, comme la petite cicatrice qu’elle a au poignet droit, souvenir d’un chute de vélo assez mémorable, ou encore le grain de beauté qu’elle à juste a la base du cou.
Néanmoins tout ça n’est rien, tout ça n’est rien, ce n’est rien à côte de la manière dont ses proches peuvent la voire. Ils arrivent à déceler dans son regard une lueur amère laissée par des souvenirs un peu douloureux. Ils connaissent tout ses tiques comme s’attacher les cheveux avec ses crayons parce qu’elle est trop tête en l’aire pour penser à prendre un élastique. Ou encore sa façon de se mordre la lèvre quand elle à quelque chose à dire mais qu’elle n’ose pas…
Equipement particulier : Hormis le bordel ambiant dans son sac, comme agenda, stylo, vieux bout de papier, clé de voiture, ancien tiquer de ciné et… hum … autres truc de filles, il n’y a rien de vraiment particulier dans ses « petites affaires », du moins rien de régulier. On l’as déjà vu avec des fioles de poison, les couteaux ou autres ustensiles pour ses missions ou au cas ou ces dernières tourneraient mal.
Dans un registre plus personnel, Nathaël lui avait offert au moment de son baptême un camé. Un visage ivoire sur un fond en cristal noir, le tout sur une monture et une chaîne argentée. Au dos du pendentif il avait fait graver une croix et le date de sa nouvelle naissance.
_____________________________________________________________________________________
Mentalité : Les Tiphanie son souvent dépeinte comme des femmes avec une personnalité brillante, mais introvertie et solitaire. Et bien la demoiselle n’échappe pas à la règle. Assez réservée un peu sur la défensive, pouvant parfois paraître froide, c’est sûrement cela qui ne pousse pas forcément naturellement les personnes vers elle, pourtant elle gagne à être connue. Enfin tout dépend votre nature… Quoi que la jeune femme est assez bonne comédienne pour arrivé à berné la grande majorité des gens, elle cache bien sa véritable nature à sa propre mère.
Pas vraiment du genre bête à manger du foin, sans être Einstein elle est franchement dégourdie et souvent volontaire et inventive.
Mais tout être sa part d’ombres, mademoiselle a autant de défauts qu’on pourrait lui trouver de qualité, entre autre elle est un poil trop fière et un peu orgueilleuse sur les bords.
On ne sait trop si son intolérance, qu’elle cache avec brio, est uniquement du à son éducation ou qu’il y a une grand part de son propre caractère dedans. Son fanatisme parlons en, Tiphanie est croyante, très croyante, mais pas de la manière « traditionnelle » dirons nous. Lors qu’elle et son frère étaient jeunes ils se faisaient souvent traîner à la messe par leur grand-mère… Combien de fois se sont-il illustré dans l’église, non pas par leur piété mais pas leur rire hilares ou leur bagarres, ou encore leur siestes improvisées. Bref ce n’est ce genre de fois qu’elle a embrassé avec son frère. Elle croit simplement que Dieu est gère vaguement le monde d’où il est trop occupé à veiller sur les âmes qui ont échoué à ses côtés.
Le monde serait un peu comme une machine à entretenir une parfaite création divine, que les hommes devraient entretenir. Mais même un système divin peu avoir des ratés, des culs-de-sac de l’évolution. C’est comme cela qu’elle perçoit les hybrides, des êtres imparfaits, comment quelque chose qui n’as pas vraiment de vraie forme finale peut-il être considéré comme une création de Dieu ?
Impossible.
C’est ainsi que Tiphanie et son frère ont choisi de montré leur foi, ils se sont dévouer pour remettre ses imperfection à la place qui leur ai normalement due…
Ce qu’elle aime : Tiphanie à toujours été très attachée à sa famille, elle est très soudée à son frère et est resté en contacte très proche avec ses grands-parents, même après son départ de l’appartement. Elle aime également qu’on la laisse un peu tranquille, ne supportant pas les intrusions trop violentes dans sa vie.
Ce qu’elle n’aime pas : Les hybrides ! On ne s’en serait pas douté…
Et une foule de chose toutes aussi communes les une que les autres…
_____________________________________________________________________________________ Parce qu’il y a toujours une explication … Pour comprendre l’histoire de Tiphanie il faut remonter avant sa naissance, à l’époque ou sa mère était encore qu’une innocente enfant qui faisait la fierté de ses parents.
Ils formaient une petite famille parfaite, les gens aisés avec leurs petites occupations, leur fi-fille chérie qui excellait en tout, bien intégrés et appréciés dans leurs milieux. Seul petites ombres si on pouvait le formuler ainsi : ces gens était très catholique et par le fait très anti-hybride et leur fille ne l’était pas vraiment, il l’avait adopté, comme tant de couple ne pouvant pas avoir d’enfants. Il se plaisait à côtoyer les chasseurs, à essayer de se trouver quelques points communs avec eux, faute d’avoir le cran de devenir comme eux.
Néanmoins ce petit monde était trop idyllique pour resté ainsi. Le drame arriva un beau matin de Janvier toute la petite famille était réunie tout était parfaitement calme jusqu'à que madame contrarie mademoiselle causant une étrange réaction chez la douce enfant. En effet la gamine commença à se recouvrir d’un long pelage blanc puis tout sa morphologie changea, de son visage qui arborait maintenant un nez rose et des moustaches jusqu’au bout de ses ongles qui étaient désormais devenus des griffes. Elle s’était transformée en chartreux.
Le choc fut rude pour les Daussures leur si parfaite fille était une hybride, la vermine qu’ils exécraient tant étaient là dans leur propres foyer. A partir de ce de moment ils se désintéressèrent de l’enfant, engeant une gouvernante pour avoir à s’en occuper le moins possible et l’envoyant en pension dès qu’elle eu l’âge. Il gardait malgré tout son secret, même si elle n’était génétiquement pas leur filles ils aimaient ce petit être, aussi monstrueux soit-il.
Pour la jeune fille, Estelle, la donne était tout autre, reniée elle était au fur et à mesure des années devenue de plus en plus pro-hybrides. La rupture entre elle et ses parents se fut de plus en plus nette jusqu’au jour ou elle fut complètement consumer. Ce fut au moment ou elle accepta d’épouser un hybride. Son premier et unique mariage qui dura six ans.
C’est de cette union (presque) heureuse que sont issus Tiphanie et son frère. Estelle quitta son mari au premier anniversaire de sa fille, elle avait besoin de plus de liberté que ce qu’il lui laissait.
La vie à trois n’était pas aussi aisée que celle à quatre, les enfants étaient souvent à la garderie mais au moins leur mère ne sortait pas le soir pour passer le plus de temps possible avec eux. Elle leur parlait souvent de que s’était d’avoir des pouvoir de pouvoir être un peu autre chose qu’un simple humains, elle était persuader que sa progéniture allaient être comme elle. Mais il n’en fut rien, ils n’y eu jamais le moindre signe qu’il puisse se transformer en animaux, rien. Estelle compris cela quand Tiphanie eu six ans.… Et une raison à tout. Je me souviendrais tout ma vie de la déception qui luisait dans le regard de ma mère ce fameux soir. J’avais six ans et jusque là j’avais crue que l’amour que ma mère étaient inconditionnelle, quel sotte !
Quand elle nous avait demandé si Nathaël et moi avions réussi à nous transformer en animaux, nous avion crue que s’était une question innocente. Et pourtant ça ne l’était pas. Notre réponse aussi honnête fut-elle signa la fin d’une certaine insouciance.
Depuis ce moment, je ne sais pas ce que s’était, mais quelque chose s’était briser entre elle et nous. Elle qui semblait nous aimer plus que sa vie sociale avait recommencé à sortir, de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps. Elle avait également commencé à faire plus d’heure supplémentaire au boulot. Et nous ?
Nous, nous commencions à connaître par cœur l’immonde tapisserie à fleur de la vielle voisine qui nous servait de nounou. Sans parler du fait que nous nous disputions de plus en plus entre nous. Au fur et à mesure que notre mère se désintéressait de nous, mon frère et moi devenions plus insupportables. Mais vraiment insupportable ! Le genre de môme qui attrape le chat des chat des voisin de manière très fourbe pour le teindre en rose fluo et lui faire un crête au gel, ou encore qui jette des bombes a eaux sur les passants par le fenêtre. Nous étions tout le temps à le recherche de LA bêtise à faire, de celle qui exaspèrerait le plus notre mère. Au moins quand elle nous punissait, s’était en quelque sorte une manière de s’occuper de nous. Cette situation ne dura même pas un an.
Un soir après un énième méfait commis en duo avec Nathaël, ma mère nous avait attrapé par le col et excédée nous avait dit de préparé un sac… Nous partions. Mais où ?
Embarquer dans la voiture un peu de force, je regardais des rues toutes plus inconnues les unes que les autres défilées devant mes yeux, pour enfin nous arrêter dans les beaux quartiers. J’étais presque terrifié quand elle s’arrêta devant un immeuble ancien. Inconsciemment je devais savoir ce qui allait se passer…
Ma mère n’eu aucune hésitation dans les couloirs de la bâtisse, pourtant ils se ressemblaient tous. C’était comme si elle était déjà venue. Avec mon frère nous trépignions de savoir ce qu’est ce qu’elle nous avait réservée, partagée entre excitation de la découverte et peur du châtiment. Elle hésita un long moment avant de sonner. Une dame relativement âgée ouvrit la porte.
« Bonsoir Maman »
Nous étions « sur le cul » si je puis m’exprimer ainsi. Nathaël baissa les yeux vers moi, nous avions le même regard incrédule. Nous avions des grands-parents ? Première nouvelle.
La vieille nous toisa quelque instant.
« Ce sont tes petits-enfants, et ils sont normaux, pas le peine de les regarder ainsi.
- Normaux comment ? Comme toi ?
- Non, normaux comme des enfants humains… »
Nous étions trop jeunes et trop naïf pour comprendre la vraie et fondamentale différence qu’il y avait entre notre mère et nous. Certes nous ne l’avions jamais vu se transformer devant nous, elle ne l’avait jamais fait, donc nous n’avions pu qu’imaginer cette différence, ce qui la rendait beaucoup moins réelle. Je doute que l’avoir vu sous forme animale aurait changé quelque chose à notre futur.
La dame, nous invita à entrée, mais ma mère n’en fit rien, elle resta sur le pas de la porte, avec un sourire un peu triste.
« Je suis désolée les enfants, je reviendrais dans une semaine. »
La toute personne normalement constitué comprendrait cette phrase de la manière suivante : « je viens vous chercher dans une semaine ». En faite il n’en était rien, elle était bien revenue une semaine plus tard, mais pas pour nous reprendre, juste pour nous apporter le reste de nos affaires sans plus d’explication ni de cérémonie…
C’est à partir de ce moment que j’ai vraiment commencer à lui en vouloir. Personne ne s’était donné la peine de nous expliqué, nous étions dans un flou total. S’était très déstabilisant avoir tout changé du jour au lendemain, nous étions perdu, complètement embrouiller, et seul repère qui semblait presque stable dans notre monde était désormais nos grands-parents. Même maintenant penser à ma mère me laisse un goût amer, et pourtant ça faire bien dix ans que je refuse de la voir plus de deux jours par ans. Alors imaginer l’état de colère dans lequel ça me mettait a huit ans.
Personne, ne pourrait dire si notre vie aurait été plus heureuse et épanouie si nous étions restés avec notre mère, mais la vie avec nos grands-parents n’étaient pas si mal. Certes, les règles étaient un peu strict, les messes un peu trop fréquentes, et les talents culinaires de Virginie très discutable. Mais au moins nous nous sentions aimer et accepté.
Avec Nathaël nous nous étions largement calmer sur les bêtises, plus de truc stupide, nous étions redevenus presque des enfants model.
A baigner dans un milieu où l’on détestait les hybrides, ça ne nous aidait pas à pardonner à notre mère si, encore fallait-il en avoir envie. Pourtant elle venait nous voir comme une sorte de pèlerinage rédempteur. Elle venait environ une fois par mois. Parfois plus, parfois moins. A chaque fois elle arrivait avec un cadeau comme pour essayer d’acheté notre clémence, mais personnellement ça me dégoûtais, mon amour ne se marchandais et ne se marchande toujours pas avec de l’argent !
Notre grand-mère adorait nous traîner partout, elle nous exhibait comme de petits trophées, nos bonne manière vantant son éducation, et son égo.
Les années passèrent comme cela et on nous sortait de plus en plus, on ne nous envoyait plus nous coucher quand il y avait des invité, on nous présentait même au gens de passage à l’appartement. C’est comme ça que nous avons fait nos premiers pas dans le monde des chasseurs.
Ecouter leur récit romancer de manière épique pour nous impressionner était toujours un bonheur. Je me sentais à ma place parmi eux, nous partagions la même vision du monde. Mon frère montrait moins son enthousiasme mais il fallait le voir en parler, on sentait qu’une petite flamme montait en lui.
Nous passions de plus en plus de temps dans ce milieu, à côtoyer des jeunes comme nous qui s’y intéressaient. Il faut dire que nous vivions dans un petit cocon, mais s’était loin d’être déplaisant. Ne jamais se sentir vraiment seule à certain avantage. Dès que j’ai été majeur j’ai été prise sous l’aile d’un chasseur expérimenté. Ils me connaissaient vu que s’était un ami de mes grands-parents. Il eu la patience de m’expliquer ce qu’était le réel but de chasseur, ce qu’il fallait faire pour en devenir, le rôle essentiel qu’ils jouaient dans l’équilibre de la création de Dieu.
Plus mon mentor m’expliquais plus je trouvais ça logique et parfaitement naturel, s’était une manière engagée de montré son attachement à notre Seigneur, bien plus passionnant que de resté assis des heures à écouter un pétré faire ses sermons. Cela devenais de plus en plus évident dans mon esprit qu’il fallait que je fasse parti de leur rang, mais j’avais toujours une légère réticence, j’avais peur que le secret soit trop lourd à porter.
Ce qui m’a décidé ?
Le fait que mon frère ce soit engager lui aussi dans cette voie, ça à dissiper tous mes doutes. De nous deux, ça avait été toujours lui le plus prudent, en même temps ce n’était pas étonnant, s’était lui le plus âgé. J’avais tout de même voulu attendre d’avoir mes vingt ans pour me faire baptiser en tant que chasseur. S’était ma manière a moi de me testé, de savoir si s’était vraiment ce que je voulais. Le jour « J » j’étais plus déterminée que jamais.
Comme la lueur de déception dans les yeux de ma mère, je n’oublierais jamais cette profonde expression de fierté qui rayonnait du visage de ma grand-mère quand je lui avais annoncé que j’étais enfin une chasseresse.
J’avoue avoir été un peu perplexe face à mes pouvoirs au début. J’avais énormément de mal à géré la télépathie, d’ailleurs ça fatiguait beaucoup mon frère qui se plaignais de ne plus réussir à avoir de vie privée. La télépathie fatiguait plus la femme de ménage de mes grands-parents, quand j’étais énervée j’avais tendance à faire inconsciemment volé un truc a travers la pièce. L’objet finissait irrémédiablement sa course écrasé contre un mur… Pauvre de lui.
Mais bien entendu tout ça c’est calmer avec le temps.
Mon mentor était toujours là pour me guider et m’expliquer, il avait même pris la liberté de décliner us mission en mon nom. Je n’avais pas assez de maîtrise de mes pouvoirs ça risquait d’être dangereux pour moi.
Je suis devenue le genre de chasseur qui peu tout faire, aussi bien aller se renseigner qu’aller effectuer une mission plus dans l’action.
J’ai trouvé un équilibre dans cette voie.
Cela fait déjà cinq ans, je ne dirais pas que je suis toujours fière de ce que j’ai fait, toutefois c’est pour Dieu que j’ai agis ainsi. De plus la foi qui n'agit point, est-ce une foi sincère ?
Objectif(s) : Tuer sa mère aurait pu être un objectif logique… Mais il ne le sera jamais. Tiphanie a beau détesté de toute son âme cette femme, une infime partie de son inconscient la respectera toujours en temps que génitrice.
Sinon elle n’a pas de réel objectifs, elle essaye juste de faire du mieux qu’elle peu dans tout ce qu’elle fait, se donner presque corps et âme pour mieux réussir.
_____________________________________________________________________________________ _____________________________________________________________________________________ Votre pseudo habituel : Pour ceux qui savent, tant mieux, pour les autres... tant pis ?
Votre date de naissance : Un certain jour d'un certain mois d'une certaine année.
Comment avez-vous connu ce forum : Une nymphomane doublée d'une psychopathe à côté de la plaque, d'un beau gosse de pacotille et d'un lézard géant m'a montré le chemin. 
Que pensez-vous du forum, en quelques mots : GÉNIALE!!!!! ... Hum désoler c'était un moment d'emportement.
Pourquoi avoir choisi ces pouvoirs : Validé par Faust | |
|
duo de pouvoirs terribles !
