Hybrid Parisiorum - ou quand le mythe devient réalité...
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 On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction]

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Nelïya Fox

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MessageSujet: On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction]   On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction] I_icon_minitimeMar 6 Avr 2010 - 23:31

Précisions de l'auteur : Voilà, je commence à essayer de travailler mon style, je voudrais écrire une histoire, et en attendant d'avoir le scénario, je bosse un peu ma façon d'écrire.
Voilà donc un de mes debut; c'est un souvenir d'un de mes personnages (Zack Fox le frère de Nel, sur un autre forum), le contexte se place dans un monde magique tiré de Harry Potter {d'où la référence au transplanage à un moment}
J'aimerais vos avis, vos critiques, bonnes ou mauvaises, je m'en fiche tans que c'est constructif.


Je m'excuse d'avance pour la fautes d'orthographe, et conjugaison, d'accord ... De tout !car elles risque d'être nombreuses Embarassed


On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction] Banzac10

Je croyais qu’à la définition d’amour on trouverait nos deux prénoms, Zack + Noémie, je croyais que « pour toujours » étaient les mots qui suivaient naturellement les mots « je t’aime », je croyais en tout ça, en nous, en notre futur. Je croyais oui, j’aurais voulu que cette croyance soit un savoir, une assurance. Car je croyais, mais maintenant je sais que suis seul. Seul et imbibé d’alcool. Si j’avais le courage, je mettrais feu à mon corps. Je brûlerais ma chair, je brûlerais tout… Même cette maison bâtie de mes mains, cette maison qui garde toujours un peu de toi, et qui me rappelle que tout est fini…

Si tu savais comme je m’en veux, de t’avoir dit la vérité… C’était pourtant inévitable. Comment aurais-je pu te mentir plus longtemps sur ma véritable nature ? Comment ai-je tenu trois longues années dans ce secret ? Peut être savais-je au fond de moi où cela mènerait. Je voulais te retenir, un peu plus, repousser l’inévitable, croire qu’il suffisait de t’aimer pour que tu m’acceptes comme je suis ; un lycantrope, un monstre. Je pensais être épargné... Pour une fois, je l’espérais… Ne pas te perdre, si tu savais ce que j’aurais fait pour ne pas te perdre…
Haaa tout ça est pitoyable, et je vous permets de le penser. Remuer le passé, en pensant que cela te fera franchir la porte de nouveau. Espérer que cela ne soit qu'un cauchemar, et que tu te glisses contre moi, ta peau contre la mienne, que tu me dises « je t’aime » comme avant… Pitoyable, je sais, mais que faire d’autre ? Tu es partie, et rien de pourra jamais remplacer le vide laissé par ta douce présence. Toi qui étais trop pour moi… Aimer, ce n’est même pas un verbe digne de ce que je ressentais à ton égard.
Tu m’as fais rêver, tu m’as fait vivre, tu m’as fait rire, chaque souvenir parfumé de ta personne est un bain de bonheur.
Ce vide, toujours ce vide, comme un fantôme rieur qui se fout de ma gueule. Son rire cynique qui me vrille les tympans. Je l’entends qui me chante «Elle est partie ! Elle est partie ! ». J’aimerais le faire taire, le battre, qu'il la ferme… Mais autour de moi, que du vide.Et toi qui es partie.
Mes nuits devenues courtes ne suffisent plus à me reposer. Ce lit est trop grand, et même si tu n’y es jamais resté assez longtemps pour y imprimer ton odeur, je n’arrive plus à y dormir. Morphée ne veut plus de moi dans ses bras, tant mieux, je ne veux que les tiens pour m’y reposer. Dormir ne m’importe plus. Plus rien n’a vraiment d’importance.
J’ai suffoqué après ton départ. J’ai cessé de vivre… J’ai juste essayé de combler le vide.
Je n’ai jamais aimé les gens qui se réfugiaient dans l’alcool, sûrement à cause de ma mère, alors naturellement je me suis tourné vers la drogue…
Et là le vide disparaissait, un peu. Et tu réapparaissais, tu étais là, illusion de mon esprit tourmenté, drogué de désespoir, un fantôme surgissant du passé, pour me faire oublier mon présent. Une dose pour oublier, une dose pour planer. Bonheur factice, mais qui valait mieux qu’une douleur réelle. Je m’infligeais des doses de toi, sans que cela ne te remplace vraiment, mais c’était en quelque sorte une substitution, le temps que tu reviennes… A l’époque je croyais que tu reviendrais… Que tu remettrais ma vie en marche, sur pied, parce que je pensais que tu étais la seule à pouvoir le faire. Que mon monde avait perdu le nord, quand tu avais claqué la porte.
Nelïya est alors arrivée, je la faisais souffrir, je le savais, sans pouvoir m’en empêcher, et pourtant elle est restée, près de moi. Elle et sa patience, elles m’ont subi, elles m’ont ramassé… Tout cela a été long, très long. Parfois je pensais à Romeo, se suicidant pour Juliette. J’aurais voulu avoir le courage de faire de même... Pendre ma pitoyable dépouill au bout d’une corde, par amour, pour prouver que je ne pouvais pas vivre sans toi.
Mais je ne l’ai jamais fait. Et finalement j’ai survécu. Nelïya me tenait la main, et elle y est parvenue, à me relever. Il semble qu’il n’y ait rien qu’elle ne puisse réussir. Elle a entreprit de le faire, et elle y est parvenue. Ton image a petit à petit disparu. Et je recommençais à ressentir des choses. Le temps, comme le vent efface les traces dans le sable, a balayé ton souvenir. Trois ans s’étaient écoulés.

Ce fut le moment que tu as choisi pour revenir. Pas par la porte comme je l’avais longtemps espéré, mais par le téléphone.

Ta voix, contre mon oreille, et alors je reprenais vie, je respirais un grand coup pour la première fois depuis trois ans ! Je reprenais vie ! Ce son fut comme un grand bol air insufflé dans mes poumons. Mais pour une courte durée… Ce bol d’air n’était en réalité qu’un appel d’air avant l’explosion… Ou plutôt l’implosion, celle qui partirait de mon cœur, pour se répandre dans tout mon corps....



Je ne me souviens à peine comment je suis arrivé dans cet avion. J’aurais pu prendre de la poudre de cheminette, si ma cheminée n’était pas cassée, et transplaner, ce n’était même pas la peine d’y penser, je n’avais jamais foutu les pieds au Mexique, impossible de visualiser l’endroit où je voulais me rendre, quant au portoloin, j’avais toujours été incapable de jeter le sort convenablement. Je me retrouvais donc à te rejoindre par la voie moldue.
Je m’efforçais d'oublier tout cela, je m’efforçais de dormir, et contre toute attente cela ne fut pas si dur. J’étais bien incapable de dire combien de temps le voyage avait duré, je savais juste que l’hôtesse était venue me voir 3 fois pour vérifier si tout allait bien.
J’avais pour seul bagage, un simple sac à dos. Je ne te rejoindrais pas pour longtemps. Le strict nécessaire m’accompagnait donc.
Je descendis de l’avion, posant pour la première fois de ma vie le pied au Mexique, sans en ressentir la moindre excitation. Remerciant mes géniteurs de m’avoir fait anglais, je n’eus pas trop de mal à communiquer avec les mexicains pour trouver facilement de quoi suivre les indications que tu m’avais données…
J’aurais dû ressentir quelque chose, de la colère, de la tristesse, peut-être même un peu de joie à l’idée de te revoir… Mais rien. Ce n’était pas plus mal. Cela rendrait les choses moins douloureuses.
J’ai quitté le monde moldu pour celui des sorciers, et suis arrivé à l’hôpital San Pedrio d’où tu m’avais appelé. Pour la première fois depuis le choc ressenti au téléphone, j’ai senti un sentiment me traverser ; une pression au niveau du cœur, une douleur…
J’ai gravi les marches d’un pas vif comme pour fuir cette acide blessure. Et suis entré dans le bâtiment, réduisant à néant la distance qui nous avait séparés pendant trois longues années, car dans le hall tu étais là.
Trois ans, cela ne nous change pas beaucoup, à peine quelques rides de plus… Mais tu avais les hanches qui me semblaient plus larges, tu apparaissais plus ronde, trace de la grossesse que tu m’avais caché, preuve de ton nouveau statut de mère que je n’avais même pas soupçonné. Une nouvelle fois je me suis étonné à rester calme et maitre de moi, alors que je m’approchais doucement. Tu as détourné le regard, alors que je me contentais de regarder un point quelque part sur ton épaule.

C’est étrange, tant d’amour, tant d’intimité partagée, et nous voilà face-à-face incapables de nous regarder dans les yeux.

Un silence s’installa entre nous qui avions jadis tellement à nous dire. Heureusement l’urgence de la situation nous facilita la tâche. Nous n’avions même pas besoin de nous parler, car les docteurs nous tombaient déjà dessus. Enfin, plus sur moi que sur toi.
Leurs accents étaient parfaitement affreux, mais la concentration que je devais fournir pour les comprendre me faisait oublier ta présence. J’avais l’esprit ailleurs, je me rendais compte que j’oubliai ce que le medicomage me disait à partir du moment où cela avait franchi mes oreilles. Cette attitude m’était étrangère, moi qui d’ordinaire était si sensible à mon environnement, mais elle était adéquate à la situation, cela m’empêchait de ne pas hurler, pleurer même… Je restais stoïque.
On me demanda de suivre l’un des médecins. Il fallait vérifier que je sois un bon donneur. En tête à tête avec le spécialiste, je dus avouer que je m'étais déjà drogué, mais que j’avais subi une désintoxication. Le medicomage avait froncé les sourcils, quelque peu contrarié par cette nouvelle. Cependant alors qu'arriva la fin de l’interrogatoire, il semblait plutôt soulagé des réponses apportées.
Il me fit sortir. Toi, tu attendais, anxieuse et impatiente de savoir si ton ultime recours était le bon. Le médecin soulagea ton anxiété d’un sourire ;

- C’est bon Mrs Pace, Mr Fox a un état de santé parfait pour être un bon donneur. Votre fille va s’en sortir.

T’a t-il dit, rassurant. Tu as alors levé les yeux vers moi, et j'ai put y lire toute la reconnaissance qu’une mère pouvait offrir au sauveur de sa fille. Bon Dieu que tu devais être une merveilleuse mère…

J'avais serré la mâchoire, en l'entendant dire « votre fille ». L’étrange paradoxe du fait que tu sois sa génitrice, et sa mère, et que moi je sois son géniteur sans être son père me donna presque envie de vomir.
Cette fille était la tienne… Elle ne serait jamais la mienne.

-Attendez… Vous êtes sûr que ma lycantrophie ne pourra pas lui être transmise par la transfusion ?

Demandai-je alors, heureux de constater que ma voix ne trahissait en rien mon état d’esprit troublé… L’évocation de ma malédiction eu pour effet immédiat d’effacer ton sourire. Je me suis concentré sur la réponse du medicomage pour balayer ce détail. Le spécialiste me rassura, seule une morsure un soir de pleine lune pouvait transmettre la maladie.
Bien… J’avais réussi à épargner cette gamine de la malédiction lorsque je lui avais fourni la moitié de mon patrimoine génétique, ce n’était pas pour la lui refiler en lui sauvant la vie.

Une nouvelle fois mon esprit écouta vaguement ce que le medicomage me précisa, c'est-à-dire que qu’on allait me prendre pour sauver la gamine, victime d’un accident.
Du sang et l’un de mes reins, car les siens avaient apparemment lâchés à cause de complications qu’elle avait subi après ses premières interventions.
Je devais être donneur d’autre chose que j’oubliai… On allait m’endormir pour me charcuter, avais-je vraiment besoin de savoir ce que j’allais perdre de plus ?

L’opération se déroula à merveille, et tout s’était admirablement bien passé. La petite avait très bien supporté la transfusion comme les greffes. Ce fut avec cette nouvelle que l’on m’accueillit lorsque j’ouvris les yeux. La jeune infirmière s’était sûrement imaginée obtenir de moi suite à cette nouvelle un sourire, un soulagement. Elle fut déçue, je ne montrais ni l’un ni l’autre. La nouvelle ne me touchait même pas. J’avais fait ce que je devais faire, c'est-à-dire permettre à cette gamine de vivre, j’avais pris le premier avion, j’étais venu ici, et j’avais donné mon corps pour qu’elle puise rouvrir les yeux, et vivre. Mon rôle, je le savais, s’arrêtait ici. J’allais repartir, comme j’étais venu, et cette gamine ne serait pas plus la mienne qu’avant, parce que tu avais refais ta vie, et qu’elle avait un « papa », qui n’était pas moi, malgré le fait qu’elle soit une partie de moi, et un rien du tout de lui.
Je prenais conscience que j’avais attendu ton retour comme une utopie. Je ne faisais plus partie de ta vie, et cela depuis que tu m’avais quitté… Je n’avais donc plus rien à faire ici.
Je pus quitter l’hôpital l’après-midi même.
Pleine de lassitude j’ai rangé mes affaires, et tu as toqué à la porte à ce même moment. Nous avons détourné le regard, mais cette fois l’échange fut plus long.

-Merci d’être venu, merci … Pour tout …

Je fourrais mon porte feuille dans la poche avant de mon sac, un peu brusquement, avant de répondre d’une voix neutre :

-Pas de quoi …

Comme si j’avais pu ne pas venir. Pensais-tu vraiment que je ferais preuve d’assez de rancœur pour laisser ta fille mourir ? Pour simple prétexte que tu me l’avais caché pendant ces trois ans, et que tu m’avais fais souffrir ? Allez Noémie, tu sais très bien que je ne suis pas de cette veine là. Que je serais toujours incapable de te faire du mal… C’est pour ça que tu m’as appelé, parce que tu savais que je viendrais, malgré tout. On se connaissait si bien toi et moi.

Tu as alors baissé les yeux comme une gamine et murmuré ;

-Je… Je ne voulais pas que tu l’apprennes comme ça …

J’ai retenu un rire amer, mais me suis contenté d’une simple phrase :

-Tu ne voulais pas que je l’apprenne tout court n’est-ce pas ?

Ton silence en disait long. J’ai hissé mon sac sur mon épaule, et sans trouver le courage de te dire adieu véritablement, ni même un simple au revoir j’ai transplanté, cette fois, sachant où j’allais.
Je me suis retrouvé chez moi, posant mon sac, et déjà mes larmes retenues vrillaient mes joues.
Déjà j’attrapai la bouteille de Whisky, tout priant pour que ma douce Nel me pardonne et comprenne cet écart de conduite, puis je sombrai de nouveau …






Dernière édition par Nelïya Fox le Mar 20 Juil 2010 - 20:04, édité 2 fois
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Alessa Van Henn

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MessageSujet: Re: On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction]   On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction] I_icon_minitimeJeu 8 Avr 2010 - 10:54

J'AIME !! \o/

Bon, j'excuse évidemment les (nombreuses Very Happy) fautes d'orthographes, parce que, crois-moi, ça arrive même aux meilleurs ! Et j'excuse aussi certains (rares) soucis de concordance des temps.
Le texte dans son ensemble est vraiment très beau et émouvant, tu fais très bien passer les sentiments et ressentiments du personnage, et ça, crois-moi, c'est une qualité primordiale pour un bon écrivain.
L'aspect métaphorique, que tu utilises à de nombreuses reprises, ça aussi c'est une très bonne chose ! Tu manies ça très bien d'ailleurs, tu sais trouver les mots qu'il faut, ceux qui cinglent, et ceux qui adoucissent.
Aussi, j'ai beaucoup apprécié le petit côté "suspens" que tu apportes en reculant encore et encore le moment où on comprendrait exactement ce qu'il se passe, et pourquoi ton personnage a dû rejoindre le Mexique. Très bien, oui, oui Very Happy

(Par contre, concernant le Mexique, j'ai juste une remarque à faire : ils détestent tout ce qui parle anglais de près ou de loin Razz Et pour les dons d'organes, c'est un peu risqué aussi de le faire là-bas, mais ne connaissant pas le contexte intégral de ton histoire, je ne me formalise pas sur ce point).

En somme, continue comme ça, tu fais déjà de très jolies choses. Et si je puis me permettre un conseil d'auteur à auteur: n'hésite pas à faire des recherches avant d'écrire, pour vérifier la cohérence de tous tes propos, et élargis-les de temps en temps : ainsi tu peux trouver d'autres détails à ajouter à ton texte, qu'ils aient un rapport direct avec l'histoire ou pas, et de mettre l'intrigue principale en suspens le temps de quelques pages. Inutile de préciser, je pense, que c'est plus intéressant à exploiter dans les textes longs Wink

Voilà ma critique.

Continue comme ça, ce n'est qu'avec expérience et entraînement qu'on atteint son âge d'or.
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MessageSujet: Re: On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction]   On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction] I_icon_minitimeJeu 8 Avr 2010 - 11:33

Merci beaucoup pour tes critiques, et ton avis .
Concernant le Mexique ça me fais penser que j'ai oublié un truc, les médecins devaient faire appel à un interprète, où du moins je voulais parler d’un mauvais accent anglais pour faire plus « vrai », z’aiiiiii oublié [s’en va se passer le fer à repasser sur la tête pour se punir] !
Quand à la cohérence, je partage ton avis (C’est d’ailleurs ce qui m’empêche pour le moment de faire une vrai histoire, j’ai trop peur de faire des incohérences). Dans le cas de ce texte, je me rattrape sur le fait que cela se passe du côté « sorciers », ce qui me permet la pirouette « ouais mais c’est le monde des sorciers, c’est pas pareil que chez les « moldu » xD.
Un peu trop facile j’avoue... Quoi qu'il en soit, je suivrais ton conseil, sur la documentation, pour éviter les trucs trop "gros".
Quoiqu’il en soit encore merci d’avoir souligné les points qui t’étaient importants. Je pense de plus en plus me pencher sur le Bescherelle, faut vraiment que je corrige mes fautes de français !
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MessageSujet: Re: On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction]   On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction] I_icon_minitimeJeu 8 Avr 2010 - 11:40

Si tu veux mon avis, il y a beaucoup plus efficace (et amusant) que le bescherelle : la lecture.
Après je ne sais pas si tu es une fan de bouquins ou pas, enfin quoi qu'il en soit, je sais que lire permet de prendre des réflexes insoupçonnés quant à la conjugaison et l'orthographe.
La bonne littérature, c'est ce qu'il y a de mieux, mais tu n'es pas obligée de t'embêter avec de gros bouquins si tu n'aimes pas ça. Bande-dessinées, mangas, contes pour enfant (allez quoi, dites-moi qu'il y a encore quelques adultes dans ce monde qui prennent plaisir à lire ça T_T ), n'importe quoi, tant que c'est pas du langage sms (msn compte pas, tu m'as bien comprise), et pas du langage local.
En somme, je te conseille la lecture dans son ensemble et sa globalité Very Happy

Quant à ta réticence à écrire de longs textes par peur des incohérences, surtout, surtout, ne t'arrêtes pas à ça !! J'ai fait cette erreur pendant très très longtemps... Il faut que tu saches qu'un écrivain reste toujours maître de son oeuvre ; à moins que tu ne veuilles rédiger un roman historique, les incohérences n'existent pas.
Et comme je l'ai déjà dit dans mon post précédent, c'est l'expérience et l'entraînement qui te feront découvrir ton véritable style d'écriture, ainsi que bon nombre de qualités certainement insoupçonnées pour la plupart.
Cela dit, un peu de culture générale, ça agrémente toujours les textes Wink
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MessageSujet: Re: On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction]   On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction] I_icon_minitimeJeu 8 Avr 2010 - 14:59

Hey, je suis contente de constater que je ne fais pas fausse route ^^
Parce que en faite, mon désir d'écrire est né plus cette année parce que j'ai commençais vraiment à lire. J'ai d'ailleurs pour la première fois de ma vie demandé des livres à noël, et attention ; j'ai emprunté des livres au CDI !!
J’ai dut lire rien que cette année, l’équivalent de 5 fois de ce que j’avais lus jusque là, et je rentre en transe dès que je mets le pied dans une bibliothèque.
Je regrette un peu d’avoir mit tant de temps à commencer à vraiment lire (bon Harry Potter et naruto ça va, mais y’a quand même d’autre chose =.=’).
Donc voilà je suis contente de constater que je ne me plante pas trop dans ma démarche.

Après, je voudrais te demander … Si ça te dérange pas …Je peux lire ce que tu écris … Embarassed Embarassed Embarassed
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MessageSujet: Re: On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction]   On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction] I_icon_minitimeVen 9 Avr 2010 - 9:31

Héhé, oui, oui, oui, la lecture est le meilleur moyen pour apprendre le bon français (enfin tout du moins si tu lis les bonnes choses Razz) ,donc continue comme ça, et ça viendra petit à petit (sinon, pour l'orthographe, tu peux toujours demander à Maya, elle oublie JAMAIS de détail important tongue *va se cacher avant de voir sa fiche recalée* ).

Quant à lire ce que j'écris, eh bien, tu es déjà en train de le faire Razz (que d'humour au réveil).
Bref, pour mes textes... Comment dire... J'en suis au stade roman, et étant donné la complexité de la chose, je ne pense pas pouvoir te faire de découpage pour te montrer un extrait. Cela dit, il reste encore les nouvelles que j'écrivais il y a de cela plus d'un an (mais c'était l'époque où, comme toi, je me cherchais un peu, donc ça diffère un peu (beaucoup) de ce que je fais actuellement). Sinon, il me reste des vieux Backgrounds de personnages XD
Je te propose de commencer avec ma fiche dès qu'elle est terminé, d'acc ? x)
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MessageSujet: Re: On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction]   On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction] I_icon_minitimeMar 20 Juil 2010 - 20:06

Voilà, en prenant en compte les critiques que j'avais eut des differentes personnes qui ont lut cette histoire j'ai fais quelque modifications.
De plus je pense faire une suite à cette histoire, que je vous posterais surement à la suite. Et attendant, la nouvelle version du chapitre 1 est disponible ^^
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MessageSujet: Re: On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction]   On dit qu'un loup ne choisit qu'une seule louve [fiction] I_icon_minitime

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