Petite promenade [Katheleen]

Je le regardais mettre le fruit se de son butin dans sa poche, avec toujours un air réprobateur. Il se frixionna les jambes.
Cela ma fit sourire ça me rappelait les première fois où j'avais utiliser mon pouvoir de rapidité accrue. Je ne préfère pas vous dire ce qui s'est passer, j'aimerais garder un peu de crédit....
Mias je me souvient parfaitement des douleurs et des courbatures après cela. Je me demande encore comment mes parents ont fait pour ne se rendre compte de rien, comment ont-ils fait pour ne pas remarquer qu'ils avaient cinq hybrides sous les yeux ?

Jake s'étira et s'allongea sur le lit. J'en profitais pour le détailler un peu plus, des cheveux noir un peu long des yeux tout aussi noirs... Il n'avais rien de vraiment déplaisant. Ne me regardez pas comme ça, je ne me ment pas je vous l'assure.

Comment pourrais-je te remercier pour ce tu as fait ?

Je pence que tu pourrais rendre les porte feuille a leur propriétaire.... mais bien sur tu ne le fera pas. Alors oublions ça.

Je m'étirais à mon tour, je senti un petit courant d'air fraie dans le bas de mon ventre, ma cicatrice était à découvert. Je n'aimais pas ça, je remettais en place mon pull et me laissais tomber sur à côté de lui.
je fermais les yeux ne savant pas vraiment quoi dire ou faire.

Les yeux fermer je ne voyais plus rien de se qui se passait, je ne faisait que sentir et ressentir. Il y avait toujours cette odeur un peu âpre.
J'entendis que l'on bougeait à côté de moi, sûrement Jake qui se relevait. Mais j'avais tord je senti le tissu remonté doucement sur ma peau, puis le senti un doigt passer le long de ma cicatrice. Cela m'arracha un frisson je l'avoue, rien d'autre.
J'attrapais la main baladeuse d'un geste vif.

Comment cela est arrivé ?

Ne touchez pas ! Le ton était sec. J'avais agit sous l’impulsion du moment ça m'arrivait trop souvent. Je le lâchait, soupirais et r'ouvrit les yeux.

J'avais quinz peu être seize ans je ne sais plus trop... Mon père était rentré un peu ivre ce soir là. Ne voyant ma mère nulle part et le repas n'étant pas près il commencer a nous réprimandé mes soeur et moi. Il était violent et grossier, il était aussi in peu lâche, il avait commencer a s'en prendre a l'une des plus jeunes. Je ne pouvais toléré ça...
J'avais fini par m'interposer. Bien sur il s'est énervé encore plus. Je marquais un court temps d'arrêt et soupirais....
Pour faire simple nous diront que deux heures plus tard j'étais à l'hopital en train de me faire recoudre. L'excuse officielle étant que j'étais tomber d'une falaise sur un débis de verre.

J'avais débité ça sur un ton monocorde et le regard vide je ne voulais plus que ça m'affecte il m'avais déjà fait trop souffrir.

Elle frissonna en sentant mon doigt contre ca cicatrice et attrapa ma main.

Ne touchez pas !

Je n’aurais jamais cru qu’elle agirait comme ça. Mon geste était déplacé, on venait à peine de se rencontrer et je me mettais déjà à la toucher mais une femme normale m’aurait balancé un pot de fleur sur la tête, au minimum. Elle, au contraire, répondit à ma question sans guère faire plus attention à ce qu’il venait d’arriver.

J'avais quinz peu être seize ans je ne sais plus trop... Mon père était rentré un peu ivre ce soir là. Ne voyant ma mère nulle part et le repas n'étant pas près il commencer a nous réprimandé mes soeur et moi. Il était violent et grossier, il était aussi in peu lâche, il avait commencer a s'en prendre a l'une des plus jeunes. Je ne pouvais toléré ça...
J'avais fini par m'interposer. Bien sur il s'est énervé encore plus.
Pour faire simple nous diront que deux heures plus tard j'étais à l'hopital en train de me faire recoudre. L'excuse officielle étant que j'étais tomber d'une falaise sur un débis de verre.

Elle s’arrêta par moment pour soupirer, d’après la manière dont elle en parlait j’ai eu l’impression que cela lui faisais ni chaud ni froid.
En tout cas cela m’appris qu’elle avait des sœurs, elles se sont sauvés ensemble ou bien les a-t-elle laissé chez ce père violent ? Je me promis de lui poser la question plus tard.
Pour l’instant je ne voulais pas faire de commentaire sur son passé, décida alors de changer de sujet et de parler un peu de moi.

- Quinze, seize ans… je devais avoir environ un an de plus quand j’ai tué la première fois. De l’eau à couler sous les ponts depuis ce jour-là.

Une ombre de tristesse traversa mes yeux, car la mon premier meurtre va de pair avec la mort de Jeny, malgré que huit années sont passés je ressens toujours de la tristesse en y repensant.

- Tu peux penser que je suis un meurtrier mais sur le moment j’avais mes raisons, ils n’étaient pas valable aux yeux de la lois mais aux miennes, si.