Petite promenade [Katheleen]

Il se mordit- la lèvre inférieur en sentant l'instrument de torture si esthétique lui rentré dans le pied... il avait mal et ça se voyait.
Il lâcha mon bras seulement un fraction de seconde, pas assez pour que j'ai le temps de lui faire faut bon. Le mollusque décérébré attrapa mon poignet, et m'adressa un autre de ses sourires. Enfin si on peu raisonnablement appeler ça un sourire.

"Vous savez je ne fais pas cela par plaisir mais quand on a besoin de se nourrir on fait comme on peut. Et d’ailleurs votre coup ma fais mal, vous savez ? N’êtes-vous pas bien en ma compagnie pour me faire cela ?

Nous êtes une brute... Je ne me suis jamais plus en leur compagnie."

Une bride de souvenir, le visage furibond de mon père. Tant de fois je l'avais bu ainsi et à chaque fois j'étais bonne pour m'en prendre au moins une. Il était bête et méchant mais pas au point de laisser une quelconque séquelle.... A part bien sur cette cicatrice.

"Dites sa fais seulement quelques semaines que je suis arrivé à Paris, vous ne connaitrais pas un endroit tranquille non loin d’ici où l’on pourrait discuter ? Ne vous inquiétez pas je ne vous ferez aucun mal, j’ai juste envie d’apprendre à mieux vous connaitre.

Mieux me connaître... Voyons, je m'appel Katheleen Hjetland, j'ai 25 ans, je suis Écossaise et je bosse pour une grande entreprise. Voila vous savez tout.
Maintenant veuillez avoir l'obligeance de me lâcher."

Je gardais mes yeux dans les sien j'espérais qu'il obtempérerait vite en voyant que je n'avais pas peur.

Vous êtes une brute... Je ne me suis jamais plus en leur compagnie

Ces mots me firent mal au cœur, certes je me suis comporté assez violemment avec elle mais je n’avais pas vraiment voulu qu’elle pense cela de moi. Je me suis vraiment comporté comme le pire des imbéciles, avais-je une chance d’arranger sa maintenant ?

Mieux me connaître... Voyons, je m'appel Katheleen Hjetland, j'ai 25 ans, je suis Écossaise et je bosse pour une grande entreprise. Voila vous savez tout.
Maintenant veuillez avoir l'obligeance de me lâcher.

Je lui lâchai le bras et cessa de sourire bêtement. Elle me regarda dans les yeux et je remarqué qu’il était d’un vert magnifique, ces yeux étaient aussi brillants que toutes les émeraude de la terre réunis.

-Mademoiselle Hj…

J’essayai de prononcer ce nom, vraiment ces noms étrangers sont parfois si compliqué a dire. Je décidais donc de l’appeler par son prénom qui était plus simple.

-Mademoiselle Katheleen, veuillez m’excuser pour mon impolitesse. Mon nom est Jake, Jake Guardian.

On restait debout là, à quelques pas de la colonne, a se regardais dans les yeux. AU bout d’un moment, qui me sembla une éternité, je détournais les yeux et lui posa la question qui me torture l’esprit depuis tout à l’heure.

-Si je puis me permettre, pourriez-vous me dire comment avez-vous fais pour récupérer le portefeuille ? Bien que je ne m’exerce pas souvent à cette pratique, vous êtes bien la première à m’attraper et je voudrais éviter que cela se reproduise.

Il ôta son sourire stupide, et repris un expression plus solennelle. Je crois que mes mots l'avais malmener, j'étais navrée d'en arrivé à une telle extrémité, mais je n'en éprouvait aucun remord.
Une fois qu'il eu lâcher mon bras je le retirais vivement.
J'avais une expression dure, je ne tolérais plus qu'on me manque de respect ainsi on l'avait trop fait par le passer.

"Mademoiselle Hj…
Mademoiselle Katheleen, veuillez m’excuser pour mon impolitesse. Mon nom est Jake, Jake Guardian."

Un léger sourire ironique se dessina sur mon visage quand il butta sur mon nom... Il est vraie que pour un non anglophone prononcer correctement le "Hj" était un exercice très complexe. Néanmoins je restais silencieuse attendant de voir si il y avait une suite et prête a fuir a toute vitesse au moindre danger.

La pénombre commençait a tomber doucement sur la place, et les lumière s'allumais, elle avait un autre beauté plonger dans le tons bleuté de la nuit.

"Si je puis me permettre, pourriez-vous me dire comment avez-vous fais pour récupérer le portefeuille ? Bien que je ne m’exerce pas souvent à cette pratique, vous êtes bien la première à m’attraper et je voudrais éviter que cela se reproduise.

Vous ne pouvez vous permettre de me demander une telle chose M. Guardian. Je ne le dirais jamais a un parfait inconnu rencontré en plein Paris, piqué en train de voler et qui m'as malmené."

J'avais toujours ce ton sec.
Je ne voulais pas, je ne pouvais pas, c'était bien trop dangereux .... Les chasseurs étaient partout.
J'avais déjà été bien imprudente d'utiliser l'un de mes pouvoirs dans un lieux publique.

Bien si vous le prenez ainsi, je vais vous laisser. J’espère que vous ne direz rien sur mes petites activités.

Quel avantage aurais-je eu de dire quelque chose? ... C'est vrai dénoncer un petit voleur à la sauvette n'avait rien d'héroïque ni de vraiment gratifiant.
Il se fondit dans la foule, je le suivais des yeux, il n'était pas vraiment difficile de le relever pour quelqu'un qui faisait bien attention.
Je reprenais tranquillement ma route quand il y eu un dérapage. Visiblement le pro de la rapine ne l'était pas tend que ça.

Espèce de sale fils de…

Quel manque d'originalité, le gens étaient si vulgaire de nos jour, et surtout il employaient tous les même insulte, comme quoi l’impolitesse aussi était standardisée.
Guardian venait de mettre celui qui l'avait découvert a terre quand les policier arrivèrent. Il aurait du se laisser pincer au lieu de se sauver ainsi, le sanction pour vol n'était pas si lourde que ça....
Il n'étais pas vraiment très rapide, et se fit vite rattraper, son compté était bon il allait se faire attraper. Ne voulant pas spécialement assisté a une arrestation qui s'annonçait musclé et repris le chemin de mon appartement.
Je ne fit pas attention quand il mis sa capuche, par contre je vis très bien sa fulgurante accélération. Il m'apparaissait d'un coup bien plus intéressant. Je croisais son regarda quand il s'arrêta un instant puis se faufila dans une rue. J'allais lui emboîter le pas à vitesse accrue pour évité de me faire repéré par les filc, mais s'était visiblement trop tard.

Vous n’auriez pas vue un jeune homme, mesurant environ 1m80, cheveux noirs portant un sweat-shirt à capuche de couleur bleu ??

Il était tend de faire mon numéro de touriste. Prenant mon plus bel accent Anglais, vous savez celui qui mâche les mots et ou personne ne comprend rien.

Je suis.... ah how do you say that... sorry... euh désolé, mais je n'ai pas understand.

je faillit hurler de rire devant l'expression déconfite des gardien de la paix qui passèrent a quelqu'un d'autre. de véritable lapereau de trois semaines.
Plus quelque seconde plus tard j'était au pied de Jake, il était assis par terre au pied d'un mur.

Qui êtes vous M.Guardian ?

Ma nature curieuse reprenait le dessus... Je laissait mes yeux prendre un teinte légèrement chocolat pour lui montré que moi même je n'était pas vraiment ce que je semblais être.

Si tu veux tout savoir alors je vais te raconter. Je suis une grosse salamandre, je suis né ici et passé mon enfance dans cette ville. J’ai déjà tué, fais de la prison après ma sortie je me suis associé avec des personnes qu’il vaut mieux éviter. Ils ont essayé me tuer, j’ai quitté alors la France pour voyager dans toute l’Europe, à chaque fois il a réussi à me retrouver et je suis revenu ici pour en finir avec cet exil. Cela te suffit où il faut que je rentre plus dans les détails.

J'avais cherché, j'avais eu tout ce que je voulais et même bien plus. Des plus qui me rebutaient... La réaction de mon incontinent était : FUIONS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Mais mon conscient ne pouvait pas s'y résoudre. Je ne pouvais pas m'enfuir comme une voleuse après lui avoir arraché tout ceci.
Je ne pue quand même pas m'empêcher d'avoir un mouvement de recul, un clac puis un autre le bruit de mes pas pour aller m'appuyer sur le mur d'en face. Mon coeur avait accéléré de manière fulgurante à cause du danger.
Un soupire pour me calmer et je commençais en le regardant. Lui n'osait plus me regarder.

Je suis née a Lerwick dans les Shetlands, j'aurais aimer pouvoir dire que j'ai eu une enfance heureuse, mais ce n'était pas vraiment le cas. mes soeurs et moi avons du supporté un père violent a tendance alcoolique... Je n'ai jamais compris pourquoi, je n'ai jamais voulu comprendre.
Ma mère n'a jamais eu le cran de se rebeller et je n'avais pas la force de la faire, j'étais jeune et je n'avais qu'une solution s'était fuir.
Vous voyez vous n'être pas seul a fuir.
Mais ça n'as pas suffi et j'en garderais a jamais une trace.

Je lui montrait le haut de ma cicatrice pourquoi je ne sais pas j'avais juste besoin d'illustré mes propos.

Dans l'optique de fuir j'ai fais mes études à Edinburgh, et j'ai fini par arrivé a Paris...
Voila, vous savez presque tout.

Je ne regardais toujours me demandant ce qu'il allait faire.

Il marmonna quelque chose que je ne pus comprendre. Il n'était toujours pas très stable sur ses pieds, je trouvais cela assez étrange pour que l'utilisation de l'un de mes pouvoir m'affecte autant il fallait que je le pousse au bord de mes limites. En même temps j'avais passer presque tout ma jeunesse sous forme hybride et assez souvent animale aussi... J'avais donc eu tout loisir de développer mes dons, il n'avais peut être pas eu cette opportunité.

ses jambes commencèrent à trembler.

En temps normal j’aurais refusé, mais il semblerait que mes jambes ne peuvent plus me soutenir. Si cela ne te dérange pas j’accepterais volontiers que tu m’aide à rejoindre le métro. Après sa je me débrouillerais.

Je le regardais, un peu étonnée.

Tu n'as pas pensé que la station de métro la plus proche serais le premier endroit où les policier allaient te chercher ?
A moins que tu ne prenne le métro a un station éloignée, mais je ne garantie pas que je pourrais te soutenir jusque là bas.

Je réfléchissait à où je pouvais l'emmener en évitant les passages ou les flics l'attendaient systématiquement.

J'ai une amie qui à une chambre de bonne dans le quartier, elle est en mission humanitaire pour quelques mois et je suis chargée de passé chez elle arrosé ses plantes... Tu pourrais y resté le temps de reprendre des force.

Cela avait fait tilte dans mon esprit, Jake devrais remercier la givrée d'humaniste avec qui je m'étais lié d'amitié.

Tu est plus lourd que tu en a l'air.

Je tirais une grimace à cette remarque, je faisais mon poids et j’y pouvais rien.
Elle mit mon bras d’une manière à ce qu’elle soit plus à l’aise pour m’aider à marcher.
J’essayais de ne pas trop m’appuyer sur elle, mais pas facile à faire quand on sent à chacun de ces pas une décharge nous traverser la jambe. A peine étions nous sortis de la ruelle qu’elle me lança, avec un petit sourire.

Pas très discret quand même....

Je l’a laissa me guider vers la demeure de son amie et sans réfléchir je répondis :

- Bien au contraire, il recherche un homme seul. Dans cette situation on a plutôt l’air d’être un couple.

Ce n’est qu’après les avoir prononcer ces mots que j’ai compris mon erreur.
Qu’elle idée de dire que nous avons l’air d’un couple, alors que l’on vient juste de se rencontrer. J’espère que cette remarque ne seras pas mal prise et que Kat ne m’abandonnera pas là à mon triste sort. Je le regardais en attente d’une réaction.

sorry darling

Ces mots accompagnés de son petit coup de coude m’ont fait sourire.
Je pensais qu’elle le prendrait moins bien que ça.
Elle me relâcha plusieurs fois, histoire de reprendre son souffle.

Une fois devant l’immeuble vint la vraie séquence difficile, pour monter les trois premiers étages on a utilisé l’ascenseur.
Je pensais que nous nous arrêterions là et ben non.
Des escaliers à monter pour arriver dans la chambre de son amie, si j’avais su je lui aurais demandé de me laisser au rez-de-chaussée. Une marche après l’autre je me concentrais sur chaque marche pour ne pas me casser la gueule sur cet escalier, petit à petit on arrive à destination.

J’étais exténué et Kat l’étais surement encore plus que moi, sa première réaction après avoir ouvris la porte étais de s’asseoir dans ce qui semblait être le lit.
Je regardais la pièce et ne voyait rien d’autre que des plantes, je comprends maintenant on lui a demandé de venir les arrosés.

- Je me demande si ce n’est pas un peu dangereux de dormir, le soir, avec autant de végétaux autour de soi.

Je m’asseyais à coté de Kat, pas spécialement pour être près d’elle mais surtout parce que je ne voyais pas de place ailleurs.

Tant que vous ne piquer rien et que vous ne dérangez pas plus que ça ne l'est faites comme chez vous.

- Tu t’es remis à utiliser le « vous » pour moi… Et ne t’inquiète pas à part des fleurs je ne vois pas ce que je pourrais voler ici.

Tout en réfléchissant à la manière dont j’allais la remercier, je sortis une demi-douzaine de portefeuille, que j’avais volé, et retira tout l’argent qu’il y avait. La récolte fut bonne, seulement deux étais vide et ne contenait que des cartes de banques.