Vesper Koreva

IDENTITÉ

Nom : Koreva

Prénom(s) : Vesper

Autres noms : Dared, Daring Vesper

Age : 98 ans

Origine : URSS

Fils de : Irina Koreva

Race : Vampire

Pouvoir : Rapidité accrue, contrôle du feu

Métier : Aucun métier fixe



Forme humaine :
Aux alentours du mètre quatre-vingt, des cheveux blonds cendrés clairs, des yeux noisettes aux reflets dorés, souvent couplés avec des lunettes bleues, le vampire a une petite cicatrice à l'arcade, très peu visible quand on n'y fait pas attention. On le voit souvent avec une cigarette dans la bouche. Assez musclé, tout en n’étant pas une armoire à glace, il a un charisme naturel assez impressionnant. Ses yeux semblent pouvoir lire tout au fond de votre âme, bien que l’accès à la sienne soit totalement bloqué par la lueur joueuse qui ne quitte pas son regard. L’immortel ne laisse rien paraître qu’il n’ait pas calculé, ce qui, combiné à son éternel sourire, lui donne l’air d’être toujours sûr de lui.
Côté vestimentaire, il a dû faire avec les uniformes de ses précédents petits boulots pour se trouver quelque chose de convenable. Ainsi, il se contente généralement de pantalons de toile, et d’une chemise jamais boutonnée jusqu’en haut, à laquelle il ajoute très rarement un petit gilet.

Forme vampire :
Cette forme se caractérise par une lueur dorée dans son regard, et des yeux en fente. Les veines de ses tempes peuvent légèrement gonfler, et ses canines s’allongent et s’affinent.

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Dire que Vesper s’est laissé aller à son côté sombre n’est pas entièrement faux. Daring Vesper, ou Dared, a toujours été la personnification de ce qu’aurait été Vesper s’il n’avait pas à ce point lutté contre lui-même. La frontière entre les deux personnalités semble s’être grandement affaiblie, puisqu’elle ne tenait qu’aux mensonges que Vesper prodiguait aux autres et se prodiguait à lui-même. Le vampire ayant été sincère quant à ses sentiments pour Solène, et s’étant laissé aller à ses désirs les plus profonds, il avait dû faire quelques pas dans la direction de son côté sombre.
Ainsi reste-t-il majoritairement un vampire à l’étonnante joie de vivre, qui ne pense qu’à jouer et à s’amuser. À l’instar des vampires de la légende, celui qui avait longtemps été une chimère est très friand de sang. C’est un dragueur fini, sujet à l’hypersexualité, qui prend un malin plaisir à tuer ses conquêtes après l’acte… ou même tout simplement à tuer. Il a une petite préférence pour le sang féminin, uniquement parce qu’il n’aime pas vraiment mordre un homme au cou.
Sinon, il a pour petit jeu de s’attaquer aux jeunes couples, l’amour n’étant pour lui qu’une notion abstraite et inconnue.
… quoique…

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AUTRES

Le vampire porte toujours l’alliance de sa mère à l’annulaire droit, pour ne jamais vraiment oublier d’où il vient. Il ne sait absolument pas conduire, n’ayant même pas essayé de faire du vélo. A quoi bon, quand on court si vite qu’il est presque impossible pour un œil non exercé de suivre vos mouvement ? Il a aussi un téléphone portable qu’il n’utilise que très rarement.

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Naissance
L’histoire de Vesper commence en 1941. L’Allemagne attaque l’URSS et la soumet à la terreur nazie. De nombreux foyers sont détruits, de nombreux hommes sont tués, et de nombreuses femmes sont violées. C’est le cas d’Irina Koreva.
Jeune mariée de 24 ans, Irina était mariée à un artisan du nom de Boris. Elle avait quitté son village natal pour aller vivre avec lui, et fonder leur propre famille. Ce qu’ils n’avaient pas prévus, c’était la stérilité du mari. Le jeune couple avait beau essayer, aucun enfant ne résultait de leur union. Le Boris qu’Irina connaissait gentil et compréhensif perdait chaque fois un peu plus patience, jusqu’à ce qu’il finisse par sombrer dans l’alcool et commence à la battre, l’accusant que ce soit elle qui ne pouvait pas avoir d’enfants. Alors, quand il la vit ainsi souillée et à moitié nue, il n’hésita pas une seconde à la mettre à la porte, sans prendre compte de ses supplications et de ses pleurs. A ses yeux, Irina n’était plus qu’une putain à nazi, et elle ne méritait pas de vivre sous son toit.

Irina ne parla jamais de comment elle s’en était sorti, et tout le monde s’était bien abstenu de le lui demander. Toujours était-il que, neuf mois après, Vesper naissait. Il ne fut pas déclaré, car elle n’avait pas envie que tout le monde sache qu’il était le résultat de son union non-désirée avec un nazi. Ainsi, il fut nommé Vesper tout court.

Enfant, il n’avait pas beaucoup d’amis. Tout le monde l’appelait le Sans-Père, et tout plein de ragots circulaient sur lui, et pas des plus gentils.

En 1958, Irina fut emportée par la maladie. Vesper se retrouva seul et dut quitter la maison pour ne pas mourir de faim. En préparant ses affaires, il tomba sur une petite boîte qu’il n’avait jamais vue avant. En l’ouvrant, il découvrit toutes les lettres que Boris avait envoyé à sa mère dans leurs plus jeunes années, ainsi que l’alliance pour laquelle Boris avait travaillé très durement sans relâche afin de l’offrir à l’élue de son cœur. Il ajouta la précieuse boîte à ses affaires et fit ses derniers adieux au taudis où il avait grandi.

Dans la rue
Après plusieurs mois d’errance, de vols à l’étalage pour manger et de squat pour ne pas mourir de froid, il fut pris par un homme de la quarantaine qui le menaça de l’amener aux autorités s’il ne faisait pas exactement ce qu’il lui disait de faire. Pendant plusieurs années, Vesper s’installa donc parmi quelques autres jeunes dans une sorte d’étable où celui qu’ils appelaient le « Vieux » - qui s’était bien gardé de donner son nom dans le cas où un jeune se ferait prendre, qu’il ne soit pas dénoncé – leur permettait de squatter. En échange, ils devaient voler ce qu’il leur demandait, en plus de ce dont ils se nourriraient.
Étrangement, Vesper aimait plutôt ça. Au milieu de tous ces orphelins, il n’était pas sujet aux moqueries. L’entraide était la clé de la survie, peut importait qu’on ait 17 ou 14 ans, qu’on ait un nom ou non. C’était la famille qu’il n’avait pas eu, et, étant un des plus grands, il était le grand-frère.
Mais, comme tout bonheur, il fut éphémère.
Qui les avait dénoncés, il ne savait pas. Il pensait irrémédiablement au Vieux, mais ne comprenait pas pourquoi. Pendant plus de deux ans ils avaient faits ce qu’il leur demandait, alors pourquoi se priver d’eux maintenant qu’ils volaient aussi bien qu’ils respiraient ? Avait-il eu peur qu’ils se rebellent ? C’est ce qu’il se demandait tandis qu’il restait immobile dans la cachette qu’il avait trouvé. Son cœur battait à cent à l’heure, et son poing droit était nerveusement serré.
Il mit bien vingt minutes pour se calmer. Une fois sa respiration apaisée, son poing s’ouvrit sur l’alliance d’Irina, le seul objet qu’il avait pensé à emporter. Il contempla pendant plusieurs minutes l’objet avant de l’enfiler à son annulaire droit. Depuis, il ne devait plus jamais le quitter.

Les années qui suivirent se passèrent comme juste avant sa rencontre d’avec le Vieux mais en plus simple. A son contact, Vesper avait appris à mentir et à voler, et il se débrouillait particulièrement bien pour ça. Il avait aussi une telle force de persuasion qu’il était capable de faire croire, quand il s’était fait prendre, qu’il avait déjà payé. Plus d’un s’est laissé avoir et l’a laissé partir, parfois même avec des excuses.
Il commençait aussi à s’intéresser aux femmes, et se découvrait un pouvoir de séduction qu’il ne soupçonnait pas. Il se faisait généralement inviter par ses conquêtes, et s’en allait au petit matin, avant le réveil de ces dernières, en emportant quelques souvenirs avec lui, en général qui se vendaient bien. Une manière comme une autre d’avoir un repas, un lit et d’en tirer en plus des bénéfices.

Changements
En 1960, il rencontra un homme qui se présenta à lui comme Max. Il sentit sur le moment qu’il avait quelque chose de différent, mais ne put trouver quoi et abandonna rapidement l’idée, se disant que c’était uniquement son imagination. Max devint rapidement comme un frère pour Vesper, et ils montèrent bien des plans, plus loufoques les uns que les autres, pour s’amuser et pour s’enrichir.

Ça continua ainsi jusqu’en mars 1961, quand Max lui annonça qu’il devait repartir en Angleterre. Vesper crut qu’il se retrouverait à nouveau seul, mais c’était sans compter sur l’amitié que Max avait pour lui. L’Anglais lui proposa de partir avec lui, et Vesper ne réfléchit pas longtemps avant de répondre positivement. Il quitterait enfin cet enfer qu’était l’URSS.

En Angleterre
Ils traversèrent l’Europe pour aller jusqu’au nord de la France et, de là, prendre un bateau jusqu’à l’Angleterre. Durant le voyage, Vesper décida de prendre le nom de famille de sa mère en souvenir d’elle. C’est donc sous le nom de Vesper Koreva qu’il atteignit l’Angleterre.

Là-bas, il s’avéra que Max était en fait héritier d’une riche famille. Il vivait dans une grande demeure avec sa sœur Fred et quelques domestiques. Entre Fred et Vesper, ce fut le coup de foudre au premier regard.
A peine arrivé, Vesper fut déjà considéré comme un membre de la famille, jusque par les domestiques, qui, même s’ils avaient dû avoir une vie bien meilleure que la sienne, le considéraient avec respect, et veillaient à ce qu’il ait tout ce dont il avait besoin.
Sa relation avec Max n’avait jamais été aussi fraternelle, et l’amour qu’il partageait avec Fred ne cessait de grandir. Ce furent sans doute les meilleurs mois de sa vie.

C’est en juillet 1961 que Max lui avoua ce que Vesper avait senti : il n’était pas vraiment humain. Ou plus exactement, il ne l’était plus. Il sentit la peur le parcourir. Max, un suceur de sang ? Mais son ami semblait avoir remarqué son désarroi, car il lui expliqua avec un sourire que les vampires n’étaient pas du tout comme ce qu’on en disait. Il lui expliqua ensuite que Fred en était une aussi, et que, si il voulait, il pouvait le devenir aussi. Tout comme quand Max lui avait proposé d’aller en Angleterre, Vesper avait vite fait son choix.

Une nouvelle vie
C’est ainsi que Vesper participa à un rituel bien étrange, mais il s’en moquait. Max était là, Fred aussi, et, s’il avait bien compris, ils le resteraient à jamais. Pour cette seule idée, il aurait été prêt à tout. Il respecta à la lettre tout ce que Max lui disait de faire, attendant impatiemment de goûter à cette nouvelle vie.
Et, quand tout fut fini, cette nouvelle vie avait un goût particulièrement agréable.
S’il s’était senti déjà très proches d’eux, maintenant qu’il faisait partie de leur monde, Vesper s’était encore rapproché de ses compagnons. Max lui parlait à présent en toute franchise, et Fred se montrait encore plus passionnée.
Ensemble, le trio parcourut le monde. De l’Afrique à l’Asie, puis en Amérique où ils restèrent quelques temps. Ils étaient jeunes, ils étaient heureux, ils étaient ensemble.
Tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes. Malheureusement, ça non-plus, ça ne devait pas durer.

Le début de la fin
Secrètement, Vesper voulut voir ce que ça faisait d’être un vampire comme dans les histoires, à boire du sang. Il commença un soir de pleine lune, trouvant ça plus « approprié ». Il suivit une jeune femme le plus discrètement possible. Oh, il ne comptait pas lui faire beaucoup de mal. Juste se mettre en situation, boire quelques gouttes, pour voir ce que ça faisait. Tapi dans l’ombre, il attendit le bon moment pour lui sauter dessus et enfoncer ses canines dans sa gorge. « Juste pour essayer ».
Il devait se rendre compte plus tard qu’il lui avait sucé bien trop de sang pour qu’elle reste en vie.
Il n’en parla à personne. Il ne fallait pas que Max ou Fred sachent qu’il avait tué une femme. D’ailleurs, plus jamais il ne goutterait à du sang. C’était fini…
Du moins, c’est ce qu’il croyait…
Le mois suivant, ce fut trop fort pour lui, il attaqua une nouvelle personne. Puis celui d’après, et d’encore après… Et il ne pouvait plus s’arrêter. C’en était devenu une addiction.

Évidemment, ses amis finirent par s’apercevoir que quelque chose clochait. Fred commença a compter toutes ses absences, croyant qu’il avait une maîtresse. Quand elle en parla avec Max, ce dernier eut du mal à le croire.
Mais il lui fallait en avoir le cœur net.
Un soir, Max fila son ami, sans savoir que lui-même était filé. Il vit Vesper comme il ne l’avait jamais vu, irritable, haineux… Plus il l’observait, et moins il croyait à une aventure. Mais alors que faisait-il ?
Il dut faire face à la dure réalité en voyant son ami se jeter sauvagement sur un passant et lui briser le cou comme on aurait cassé une brindille en deux. Mais voir ce visage habituellement si souriant, si agréable à regarder se déformer par la rage et voir Vesper mordre l’innocent au cou furent de trop. Max vacilla, s’appuyant contre le mur. Il avait fait de son meilleur ami un monstre, et ne l’avait même pas remarqué.

Plus loin, Fred, ne voyant pas la scène, décida de s’approcher. Ce qu’elle vit la pétrifia. Vesper lui était resté fidèle, mais était-ce mieux que ce qu’elle voyait ?
Sans réfléchir, elle se précipita vers lui en lui criant d’arrêter.

« Fred ! »

L’avertissement de son frère ne parvint pas à ses oreilles. En un rien de temps, elle s’était sentie soulevé à quelques centimètres du sol, avant de se rendre compte qu’elle commençait à étouffer. Elle refusait de croire que l’homme qui la tenait par le cou était celui qu’elle aimait. C’était tout bonnement impossible.
Une larme coulant sur sa joue, elle réalisa que le Vesper qu’elle aimait était mort quand il était devenu comme elle.

« Vesper… I’m sorry… »

La vie la quitta à ces derniers mots.

Impardonnable
« Vesper… I’m sorry… »

Ces mots réveillèrent quelque chose en lui. Ce fut comme s’il se réveillait d’un cauchemar pour replonger dans un autre. À qui était cette main qui étranglait son aimée !?
Avec un cri d’horreur, il bondit en arrière. C’était la sienne !

Complètement paniqué, il se laissa tomber à genoux au dessus de Fred. Il ne fit même pas attention au corps étendu sans vie un peu plus loin, ni au sang qu’il avait autour de la bouche. Il ne remarqua même pas son meilleur ami qui s’avançait d’un pas de zombie. Son monde venait de s’écrouler.

* Fred… *

Des larmes roulèrent sur ses joues. Depuis combien d’années n’avait-il pas pleuré ? A en voir le flot de larme qui se déversait, on aurait crut qu’elles attendaient depuis une éternité d’avoir le champ libre.
Puis, les pas résonnèrent. Il fallut beaucoup de courage à Vesper pour lever la tête, et encore bien plus pour ne pas détourner les yeux du visage de Max, qui semblait à présent bien plus mort que celui des deux cadavres réunis.

« You… dared ! »

Dared… Oui, il avait osé… Il essaya de se lever, vacillant légèrement.

- Max… I…

Le cri de rage de son ami l’empêcha de finir. Max sortit un couteau et le dirigea vers l’œil de l’assassin de sa sœur. Ce dernier eut à peine le temps de se reculer pour sauver son œil, mais son arcade fut touchée. Il n’eut pas le temps de s’en remettre que Max le chargeait à nouveau. Vesper n’avait jamais vu son ami ainsi. Il ne pensait qu’à le tuer, et à chaque coup, Vesper réalisait que s’il n’avait pas esquivé, il en serait mort.
Tenter de le raisonner était inutile, mais Vesper s’entêtait à essayer. Et à chaque mot qu’il prononçait, la fureur de son ami grandissait. Quand il accepta enfin que Max avait perdu tous ses esprits, Vesper usa de sa vitesse et de sa force pour frapper Max à l’abdomen. Celui-ci en tomba à la renverse, et Vesper en profita pour s’enfuir à toutes jambes. Tout ce qu’il entendait, c’était sa conscience en train de le maudire, et Max au loin lui crier :

« VESPER !! I WILL FIND YOU AND I WILL KILL YOU !! »

De nos jours
Après avoir embarqué clandestinement vers la France, Vesper chercha en vain à contrôler ses pulsions. Il dut enchaîner les petits boulots et parfois se remettre à voler pour se nourrir. Il se trouva un petit logement et devint un habitué du Midnight. S’il n’entendit plus parler de son ancien ami, il ne doutait pas une seconde que leurs chemins finiraient par se croiser à nouveau.

Sa soif de sang, elle, devint un être à part entière, son alter-ego. Elle se fit appeler Dared, en hommage au « You… dared ! » de Max. Dared, tout comme Vesper, voulait au début se débarrasser de cette personnalité torturée qu'était son alter-ego. Mais, finalement, il renonça à cette idée, trouvant très amusant de le voir se morfondre sur des actes qu'il avait commis de sa main mais sans le vouloir.
Néanmoins, il ne se plaindra pas le jour où il prendra pleine possession de ce corps, ce qui semble arriver…

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Ce qu’il aime :
S’amuser, le sang, le sexe, la clope, le jeu dans son ensemble.

Ce qu’il n’aime pas :
Qu’on empiète sur son territoire, se faire rejeter, qu’on contrarie son jeu.

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Profiter à fond de cette nouvelle vie qui lui est offerte dans son ensemble, et veiller à l’intégrité de Solène Després, la seule personne qui semblerait pouvoir conduire Vesper à sa perte.

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Votre pseudo habituel :
Bobby

Votre date de naissance :
Ma date de naissance est composée de deux 0, d’un 1, d’un 2, d’un 4, d’un 5 et de deux 9

Comment avez-vous connu ce forum :
Par The God Zilla, indirectement

Que pensez-vous du forum, en quelques mots :
I’m lovin’ it

Pourquoi avoir choisi ces pouvoirs :
Parce qu’ils sont franchement cools !