Alessa Van Henn [Hybride]

NOM : Van Henn (mais personne ne connaît ce nom à part elle-même)

PRÉNOM : Alessa

SURNOM : Alessa en est peut-être déjà un lui-même... Razz

AGE : 25 ans

ORIGINE : Hollandaise

RACE : Hybride Chat Noir

POUVOIRS : Sens Aiguisés / Neuf Vies (sous conditions): reprenons le principe du jeu de cartes, où le jeu en main représenterait la vie du personnage. Lorsque celle-ci s'épuise, autrement dit, lorsqu'Alessa meurt, elle a la possibilité de piocher et tirer une nouvelle main. Sa réserve est de neuf. Ou du moins, elle l'était au début...
C'est différent d'une résurrection, car comme je l'ai mentionné plus haut, cela ne fonctionne que sous réserve de conditions. Qui plus est, le nombre de chances est limité.

MÉTIER : Faussaire – Écrivain Anonyme (sous le pseudonyme Miw'a)

APPARENCE : Alessa est une jeune femme quelque peu attirante, mais surtout charmante. Elle mesure 1m72 pour environ 57kgs ; autrement dit, elle est plutôt fine, athlétique, et donne une sérieuse impression de légèreté. Elle a de longs cheveux brun qu'elle attache ou détache en fonction de ses activités. Ceux-ci forment un contraste intéressant avec sa peau claire et presque pâle qui, à eux deux, font d'autant plus ressortir son regard bleu nuit. Ses yeux, quelque peu amandés, sont dus à son héritage génétique : sa grand-mère était originaire d'asie.
D'union avec sa personnalité, Alessa serait plutôt du genre à se vêtir de manière négligée et décontractée. Cependant, en raison de son expérience personnelle et de son « travail », elle arbore à juste titre des tenues nettement plus chic qui mettent à leur avantage ses formes féminines.
Lorsque ses cheveux sont détachés, elle y passe très souvent ses mains, sans vraiment s'en rendre compte elle-même.
Aussi a-t-elle cette habitude de toujours beaucoup observer les gens, que cela les mette mal à l'aise ou pas.
Sa forme animale représente un chat noir à poil court dont les yeux sont vert-jaune, quant à sa forme hybride, elle expose les oreilles et la queue du chat ; aussi ses jambes prennent-elles l'apparence des pattes arrières du félin, et l'extrémité de ses bras, celle des pattes avant. Ses yeux, quant à eux, reprennent les pupilles en fente du félin, mais reste en grande partie bleus, quoiqu'étant tout de même parsemé de quelques touches de ce vert-jaune qu'elle a sous forme animale ; aussi reprend-elle la dentition aiguisée du félin.

ÉQUIPEMENT PARTICULIER : Alessa est du genre prudente de par son métier... De ce fait, elle s'assure d'avoir toujours un revolver à portée de main, et le cas échéant, elle porte toujours sur elle un couteau (qu'elle manie plutôt bien d'ailleurs alors... prudence).
Aussi, mis à part son appartement à Montmartre, elle possède une moto noire Suzuki GSX650F.

MENTALITÉ : Alessa n'est qu'une satanée chatte. Elle aime fainéantiser, elle aime charmer, et elle aime se jouer des autres. Si on peut l'entretenir, elle se passera de travailler. Et si on la met au défi ou la menace, elle n'hésitera pas à sortir ses griffes.
Alessa est à l'image même de l'animal qui fait d'elle une hybride. Et comme tout bon chat se respecte, derrière ces attitudes triviales se cachent des ambitions bien plus grandes et effrayantes.
Elle est une jeune femme à la patience exemplaire et au caractère terriblement imprévisible. Elle pourrait passer des heures assise sur le rebord d'une fenêtre à observer les chiens lui aboyer après, tout comme elle pourrait s'emporter immédiatement et tenter de leur sauter à la figure pour leur arracher les yeux.
Elle a soif de pouvoir et d'estime. Aussi est-elle armée d'une vivacité d'esprit remarquable et d'une faculté d'analyse impressionnante. Elle se sert de ces deux facultés principales pour conspirer, infiltrer, et gagner. Car s'il y a bien deux choses qu'elle a parfaitement appris à maîtriser, c'est son élocution, et la maîtrise d'elle-même. Cela fait d'elle une excellente actrice, parfaite pour le double-jeu et la trahison.
Comme le fait si bien le chat, elle sait mettre en confiance, le temps de pouvoir mener ses plans à bien...
En réalité, elle est tout simplement une conspiratrice née.
Chaleureuse, amicale et douce lorsqu'on ne la connaît point, mais froide, sadique, manipulatrice et calculatrice quand on découvre le personnage dans sa réalité.
Alessa, c'est 57kgs de sournoiserie, et 1m72 de tromperie.

SON HISTOIRE :
"- Penses que le plus important, ma fille, ce n'est pas la similarité, mais l'exactitude. Un millimètre de trop, et c'est ton art, ta sécurité, ta position et ta crédibilité qui en pâtissent. N'essaie pas de reproduire..."
"- ...'Fais-le', oui, je sais..."
L'enfant était assise sur un tabouret haut et pivotant. Devant elle se tenait une table d'architecte sur laquelle était déposé une esquisse de la Cène tout juste achevée au fusain. L'homme qui se tenait à ses côtés, observait l'œuvre que venait de réaliser sa fille avec une certaine forme de fierté. Elle était encore jeune, et pourtant, du haut de ses onze frêles années, elle reproduisait déjà des œuvres bien complexes dans leur quasi-exactitude. Bien sûr, elle était douée, mais ce qui faisait son art n'était pas tant sa dextérité, mais plutôt son sens de l'observation. Elle ne laissait aucun trait, aussi infime soit-il, au hasard. Ainsi n'aurait-elle certainement jamais omis de peindre les détails dissimulés, tels que la faux liant la mort aux hommes sur La Rue de Prague d'Otto Dix. Lorsque son attention était fixée sur un tableau, elle pouvait l'observer des heures durant sans que rien ni personne ne parvienne à la sortir de son monde.
"-Avec le temps, elle apprendra le véritable sens de la perfection. Nous pourrons être fiers d'elle lorsqu'elle saura reproduire plus que les esquisses, lorsque les matériaux originaux utilisés pour compléter les oeuvres ne seront plus que de la simple peintures rouge, bleu, ou jaune pour elle. Elle saura de quoi nous parlons lorsque nous évoquerons la sinopia, l'inconato ou l'imprimatura."
Une voix féminine si douce et pourtant si froide à la fois ; ça ne pouvait être que sa très chère mère. Les gens avaient pour habitude de dire qu'Alessa en était la réplique exacte, tant physiquement que mentalement. Mais elle seule savait qu'il n'en était rien. Son caractère, c'était celui de son père.
Laissant là son œuvre sur la table, elle fit pivoter le tabouret pour aviser ses parents. Tout deux avaient, ce soir, revêtit leur habit de soirée.
"- Nous allons voir la troupe de Maman jouer, ce soir. Tu sais qu'avec la grossesse elle a dû arrêter les représentations, n'est-ce pas ? "
Mais Alessa était loin d'être une imbécile. Même si elle ne supportait pas qu'on lui mente ou que l'on se joue d'elle, elle n'en faisait pas montre, et gardait sa rancœur pour de plus belles années, où elle serait plus habile, et plus vive, pour leur faire comprendre qu'ils n'auraient jamais dû. Ce soir, elle le savait, son père et sa mère allait rencontrer les hauts gradés de la mafia parisienne. Depuis de belles années, déjà, elle avait compris que son père travaillait pour eux: un faussaire de renom, c'est toujours un élément important à avoir à ses côtés lorsqu'on se prétend roi contrebandier. Ce qu'elle ignorait encore, en revanche, c'était pourquoi il emmenait sa mère avec elle à chaque fois qu'il devait rencontrer ces hommes louches...
Comme toujours, ils firent leurs dernières recommandations à Alessa, puis s'en allèrent rejoindre celui qui leur permettait de vivre si aisément en plein cœur du quartier bohème de la capitale.

Les jours passaient avec une monotonie qui déplaisaient à Alessa. Le matin, elle suivait ses cours par correspondance, se préparait à manger pour le déjeuner, puis allait à son cours de capoeira de 14h à 17h, lorsqu'elle rentrait, elle faisait ce que bon lui semblait jusqu'au repas du soir, puis, après dîner, s'attelait à ses reproductions et aux cours particuliers que lui donnait son père sur l'art, ses méthodes, et ses moyens.
La capoeira, c'était l'unique caprice qu'elle avait su faire comprendre à ses parents. A force de temps et d'insistance, ils avaient cédé. Et déjà, ils n'étaient pas déçus de leur choix.
"- Le combat par la danse, disait-elle à chaque fois avec exaltation. C'est l'expression même de la grâce et de la sensualité par la violence - et elle exerçait quelques mouvements - l'expression du corps par l'amour, et la haine ! "
Elle avait commencé cet art nouveau au rythme des percussions brésiliennes deux ans auparavant, et déjà, pré-adolescente, elle savait qu'elle continuerait toujours, et qu'un jour, peut-être, elle saurait faire le Maculelê, la capoeira armée. C'était plus qu'un simple divertissement pour elle. C'était un art. Et elle exaltait l'art.

"- Miw'a ! "
Alessa avait à peine entendu ces mots que la métamorphose s'était faite. Miw'a, c'était un jeu entre elle et son père. Dans la famille, on était hybride de générations en générations, et ce, depuis bien des années. Des chats, des chats et toujours des chats. Alessa en était la neuvième descendante, et à son jeune âge, elle ne connaissait toujours pas ni sa forme hybride, ni son grand pouvoir.
Comme à chaque fois, elle pensait que si son père avait hurlé Miw'a depuis le rez-de-chaussée, c'était sans doute pour amorcer le jeu et pour qu'elle aille le rejoindre sous sa forme de chat noir. Mais ce n'était pas le cas. Deux étages en dessous, elle entendit la porte d'entrée claquer, des coups de feu résonner, pour finalement apercevoir à l'orée de l'escalier deux silhouettes hybrides se diriger vers elle en courant. Il n'avaient pas tôt fait d'attraper Alessa que déjà ils passaient par la fenêtre et retombaient deux étages plus bas, dans les rues sombres de Montmartre.
Tout s'était passé beaucoup trop vite. Pourquoi est-ce que son père et sa mère avaient-ils dû se mettre sous leur forme hybride, et surtout, qui avait tiré les coups de feu, et dans quelle direction ?
Dans les rues, les parents d'Alessa semblaient bien se ficher du regard des passants. Il leur fallait fuir, car, ils le savaient, c'était de véritables meurtriers qu'ils avaient à leur trousse. Ce fut dans les décombres d'un bâtiment qui avait pris feu quelques jours auparavant qu'ils trouvèrent tout trois refuges. C'est là, et uniquement là, qu'Alessa fut autorisée à reprendre forme humaine. Son père, restant sous sa forme hybride s'empressa de rejoindre sa mère qui, déjà, s'était effondrée au sol et avait repris forme humaine.
Les coups de feu qui avaient été tirés, c'est sur elle qu'ils avaient terminé leur course. Le chat était un être résistant, Alessa le savait... Mais cette fois là, ça n'aurait pas suffit. Et tout en sachant qu'elle ne verrait jamais son petit frère ou sa petite soeur voir le jour, elle espérait encore pouvoir voir sa mère vieillir. En vain.
Son père et elle errèrent quatre jours durant, cherchant à échapper encore et toujours à ces "chasseurs" qui étaient à leur poursuite. Lorsqu'elle apercevait les hommes qui leur couraient après, Alessa ne pouvait s'empêcher de penser que ça n'était qu'un cauchemar, et que ces mafieux rentreraient vite chez eux parce que leur patron leur aurait dit que finalement, son père n'était pas coupable de ce qu'il avait fait. Mais c'était impossible. Il avait trahit, par le biais d'une femme qui, actrice, pouvait faire parler n'importe qui, et mentir sur n'importe quoi.
"- Je veux retourner à Amsterdam, Papa... " Mais jamais il n'y retournèrent. Alessa n'avait vécu que quatre années là-bas. Mais c'était sa terre d'origine, sa terre natale. Et à ses yeux, elle représentait la sécurité, et la liberté. Les hybrides étaient à peine découvert que déjà ils étaient considérés comme des monstres. Elle n'était pas un monstre... Elle n'était qu'une gamine qui venait de perdre sa mère, et qui avait peur de l'avenir.
Deux nouveaux coups de feu furent tirés. Déjà, elle sentait son corps chanceler, et cette douleur atroce dans son dos.
"- Je vais... mourir", et elle s'effondra à terre.
Ce qu'il se passa par la suite, elle n'en su jamais rien. Elle se réveilla simplement un jour, enveloppée dans un linceul blanc, et allongée dans un corbillard. Il y avait encore cette infime douleur dans son dos... Était-elle morte ? Tandis que les croque-morts avaient le dos tourné, elle s'enfuit, sous la forme de ce petit chaton noir. La première chose qu'elle fit fut de rentrer chez elle, là où la police n'avait pas encore fouillé. Elle chercha des vêtements, sa dernière esquisse de la Cène, une pomme, et son chaton, Sawwa. Où était son père, elle n'en savait rien... Que faisait-elle dans un corbillard, ça non plus... Jusqu'à ce que sur sa main, elle remarque ce chiffre écrit grossièrement au stylo.
" 8 ".
Elle su immédiatement de quoi il s'agissait. Quant à cette écriture, elle l'aurait reconnu parmi mille. C'était celle de Leonard de Vinci. C'était son père qui avait écrit ce chiffre ici, avant de disparaître dans la jungle humaine...

Dix ans plus tard, la voici diplômée de l'Académie des Beaux Arts et tout nouvellement gradée contre-maître de son académie de capoeira. Durant ces dix années, où elle fut placée en foyer, elle excella dans tout ce qu'elle entreprit. Lorsqu'elle fut majeure, elle prit un petit appartement à Paris, grâce à l'argent que ses parents lui avaient laissé.
Vingt-et-un ans, désormais, et majeure pour le monde entier.
En ce jour de décembre, elle a un rendez-vous important. Un homme du nom de Vincent Laporo, quarante-deux ans, divorcé, trois enfants. Bientôt trois semaines qu'elle le fréquente, et qu'il cherche à la mettre dans son lit.
"Aujourd'hui, c'est la bonne..., s'était-elle dit".
Elle revêt son plus bel et plus attrayant accoutrement. Haut talons, manteau long, cheveux attachés, maquillée, gant sombre en cuir.
Arrivée dans son appartement, elle fait comme à son habitude. Ils discutent autour d'un verre, il lui fait quelques avances, et pour la première fois, elle feint d'y répondre. Son regard plongé dans le sien, elle le quitte ensuite quelques minutes pour rejoindre sa cuisine. Comme à son habitude, elle se met à préparer la tisane. La connaissant, il la laisse faire.
Mais cette fois-ci, il n'aurait pas dû. Une demi-heure plus tard, c'est dans une ambulance qu'il s'endort pour de bon. Alessa, elle, pleure durant l'entretient avec les médecins. Elle leur dit ce qu'il s'est passé, comme à chaque fois. Elle ne sera pas accusé non plus pour ce meurtre-ci. Angélique, armoise, serpolet, tanaisie. En temps normal, ce ne sont que des plantes aux propriétés excitantes. Mais mélangées les unes aux autres, et servie à un homme soufrant de palpitations cardiaques, elles tuent.
Chaque fois, elle aura su feindre l'accident ou la mort naturelle. Alessa est une faussaire... Elle est maître en ce qui concerne le maquillage, que ce soit en matière de reproduction de peintures, d'écrits, d'attitudes...ou de mort.
Lorsqu'après avoir enfin nettoyé le monde des assassins de sa mère elle retourna chez elle, sa première occupation fut de terminer son tableau, puis de s'atteler à la fin de son second roman. Le premier parlait des hybrides, et des injustices auxquelles ils avaient à faire face. Le second retrace le vécu des vampires, et la traque incessante des chasseurs. Le second se vendra mieux que le premier, car enfin, elle a trouvé son véritable style à elle, et elle a appris à trouver les mots qui cinglaient et qui attisaient la curiosité. Son éditeur ne connaît pas son visage, ni même son nom. Elle a publié le premier roman grâce au fond que lui ont laissé ses parents. Quant au second, on lui a expressément demandé de le rédiger. Le cachet est intéressant. Mais pas autant que celui proposé par l'ancien patron de son père : chaque tableau qu'elle lui fournit est un véritable chef d'oeuvre, et chaque retour d'argent et un véritable plaisir. Un jour, lui aussi elle le tuera. Ce mafieux qui lui a pris ses parents.
Et les chasseurs, qui lui prennent ses frères.

"Miw, comme nous appelaient les Egyptiens. Et 'a,' pour Alessa."

CE QU’ELLE AIME : Alessa adore l'art et tout ce qui y a trait. Aussi, elle est une grande buveuse de thé, et mangeuse de pommes. Elle adore, évidemment, les félins, quels qu'ils soient, et aime particulièrement le poisson.
Elle adore aussi jouer avec les chiens... dans le sens où elle peut les humilier ou leur montrer la supériorité féline.
Sa couleur : le rouge.

CE QU’ELLE N’AIME PAS : Les canidés... Non pas qu'elle les déteste, mais elle ne supporte pas leur loyauté et leur étroitesse d'esprit.
Elle ne déteste pas l'eau, mais il faut bien dire qu'elle n'en est pas non plus une grande fan, et elle hait par dessus tout la concurrence, quoiqu'elle apprécie le fait de pouvoir jouer avec et les mettre hors concours.

OBJECTIFS :

Annihiler les Chasseurs dans leur intégralité

Sa réussite personnelle... Je laisse libre court à votre imagination quant à ce point-ci Wink

Et surtout... Découvrir l'identité de l'homme pour qui elle travaille et qui a tué sa mère, et le faire taire à jamais.

ET VOUS ?

Votre pseudo habituel : Tsuki

Votre date de naissance : 25 Juillet

Comment avez-vous connu ce forum : La faute d'un type bizarre...

Que pensez-vous du forum, en quelques mots : Ah-ah, la question qui revient sans cesse ! Eh bien, laissez-moi dire que si j'ai pris la peine de faire une fiche, c'est que la première impression a été excellente, et que je compte bien rester

Pourquoi avoir choisi ces pouvoirs : Voyons voir... Okay by Maya !

Moi :Ouais enfin je peux lire ta fiche et ... *Me retourne et vois Nelïya soigneusement cachée derrière moi, lançant des cailloux en direction de la nouvelle venue, je me retourne donc les main sur les hanches : *

-Nel je t'ai déjà dit :Ça ne se fait pas de lancer des cailloux sur les gens !Non mais ho c'est quoi cette éducation !

Nel, qui n'a apparemment pas écouté un mot de ma remontrance, fronce les sourcils très concentrée ;
Attend bouge, j'allais avoir sa tête là ...

-MELLE NELIYA FOX !!!

Nel baisse les yeux, et lâche son cailloux;

-Mais ... Mais c'est un chat ... j'aime pô les chats ....

Relève les yeux et fait mine de vomir. C'est ça façon de te dire bonjour et bienvenue ... .

Bref, j'ai adoré ton histoire. Ton personnage est très intéressant; une combattante qui va rentrer dans le lard des chasseurs, ça promet d'être sanglant. J'aime bien le côté double personnalité, et ambitieuse; la trahison ça fait toujours des histoires, je sent que tu vas mettre de l'ambiance.
Bon évidement le défaut principale est que tu n'aimes pas les chiens ... Bon on ne peut pas être tous parfait xD.
Seul petit truc ;je trouve que les goûts ne sont pas assez développés.
Bref bienvenue !! {Nel; pas de ma part sale sac à moustache}

*Feule, poils hérissés, dos ronds, griffes sorties* (Un peu à la Toulouse dans les Aristochats, vous savez là ? Razz

)

Bref, pour les goûts, je m'étais fait la remarque... LE seul soucis, c'est que depuis le temps que je me connais, ben je me connais ( Oô ).
Et je sais que si je commence à exposer les goûts de Môdame (*qui feule encore*) je serai obligée de couper ma présentation en deux posts parce qu'elle sera trop longue de quatre pages au moins x)

C'est si important que ça ? Tu veux pas plutôt les découvrir in game ses goûts ? Gentils chi("CABOT")en Neutral

Ouais c'est sur que ça peut aussi se decouvrir in game xD
Par contre, j'ai remarqué, tu n'as pas fais la description physique de ta forme hybride :/

Héhé, oups ! Razz

C'est édité !! Dans la partie apparence !

Encore une fois bienvenue !

Une fiche parfaite, un personnage très intéressant, une bonne explication, que dire de plus ?
Ah oui ! Etant donné que ton pouvoir des neufs vies a été accepté, il faudrait que tu en fasses une légère description dans ta fiche (quelques lignes suffiront) même si l'on comprend tout à fait de quoi il s'agit dans ton histoire. ~~En fait, il est surtout question de mettre en avant les "conditions" évoquées =).~~

A part cette petite remarque, je n'ai rien à ajouter. Je te laisse décrire ton pouvoir et tu seras validée !

EDIT : Après discussion donc, les "conditions" ne seront connues que des admins et découvertes - ou pas - par les autres joueurs au fil des RPs. Tu es validée !

Merci beaucoup ! =)

Bienvenue. J'espère qu'on pourra Rper ensemble. Smile

Bienvenue !
Au risque de répéter ce qui a déjà été dit (mais comment faire autrement ?) … belle présentation, captivante histoire, et enfin charmant personnage !
Une féline manipulatrice, trompeuse et meurtrière… bref tout pour plaire.
Je sens qu’on va bien s’entendre. Wink

Et une hybride de plus ! On va bouffer du chasseur, c’est moi qui vous l’dis ! hin hin hin Twisted Evil

Bienvenue encore une fois x).

Derek, je te trouve bien sûr de toi ! As-tu oublié qu'il reste encore des chasseurs présents sur le forum et dans les recoins de Paris ?

Je ne te souhaite pas de croiser Raven.. Possession démoniaque mortelle !

Bon jeu =D.

Bienvenue

Héhé, merci à tous =)

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