Quand les autres s'en mèlent... (Pv Wyrlm)

Invité

Il s'étire et lui fait un signe de la main, ce qui semble lui couter. Elle as peut être été optimiste, il ne sera pas de suite sur pied, et pasquestion pour lui de remonter a cheval avant un moment... ni même de se transformer. Elle esperait qu'il ne souffre pas trop de l'immobilité et de l'osiveté, car elle savait que c'était le plus penible; c'est pourquoi elle se faisait une mission de rester avec lui, parce qu'il comptait, et qu'elle ne souhaitait pas le voir devenir fou dans cette chambre.

Elle sourit quand il lui repond, dépose son livre et se lève pour le rejoindre; mais il commence a parler avantq'elle n'en ai eut le temps, et son ton lui indique quil as une idée précise en tête. La question semble legitime, mais elle se renfrogne quand il parle d'ommetre un detail. Il l'accusait? Elle fronca les sourcils.

"Tu ne m'avait pas posé la question. Et de toute facon, je n'ai rien omis que tu doive savoir."

Son ton avait été sec. Elle avait peu apprécier la manière dont il l'avait remit en cause. Mais elle savait que le laisser sur cette phrase ne lui ferait que se poser plus de question.

"Tu les as surpris, dès lors il a été facile de se dégager..."

Elle preferait ne pas mentionner la manière dont il était mort, puisqu'il devait se douter qu'ils étaient mort, elle avait parler de leur cadavre tout a l'heure; il le découvrirait bien assez tôt. Et elle avait ses démons a combattres elle même...

Elle soupira un instant, tentant de laisser tomber ce voile glaciale qui venait de s'installer entre les deux. Elle se raprocha avec un faible sourire forcé au début, puis naturel en le regardant.

"J'ai demander l'autorisation de pouvoir sortir dans le jardin de l'hopital, ca serait toujours mieu que cette chambre exigue. Mais pour ca il faut que tu aille mieu..."

En le fixant toujours, elle compris qu'il n'avait pas abbandonné l'idée de lui faire craché le morceau, ou du moins que la question lui traversait toujours la tête.

"N'insiste pas... s'il te plait."

Invité

Deux jours de repos forcés ont passé entre la question un peu gênante que j'ai posé à Raph et aujourd'hui.

Le médecin m'a autorisé à sortir pour que je prenne un peu l'air, malheureusement, je suis obligé d'être en fauteuil roulant ce qui n'est pas là pour me faire plaisir. Mais cela est un bon motif pour rester auprès de Raphaël car je n'arrive pas à contrôler cet engin à roulettes.

Nous sommes dans le jardin de l'hôpital, Raph assise sur un banc et moi assis dans ce magnifique fauteuil à ses côtés. Je me demande bien qui a pu organiser le schéma architectural du jardin mais il a très bon goût, ce jardin ne ressemble pas à de futiles allées de haies accompagnées de pittoresques pots de fleurs... Les plantes forment de magnifiques dessins que j'ai pu contemplé de ma chambre pendant un long moment.

Nous parlons de tout et de rien avec la jeune femme quand je décide d'aborder un sujet qui est resté en suspens durant plusieurs jours. Je me tourne vers elle avant de commencer.

Tu vas me prendre pour un acharné mais... Je veux que tu me dises la vérité sur ce qu'il s'est passé... Je veux dire toute la vérité.

Le soleil est à son apogée et donne une magnifique couleur au visage trop souvent morne de Raphaël même si ces temps-ci j'essaie de lui redonner le sourire de tout les moyens possibles. Une fois de plus, deux ou trois mèches rebelles viennent se placer devant mes yeux ce qui a la particularité de m'agacer comme il faut. Je les dégage du revers de la main et j'attends la réponse de Raph.

Invité

L'ambiance c'était détendu depuis la dernière fois et aussi tétu qu'il puisse être, il ne lui avait pas fait l'affront de reposer sa question. Deux jours passé a le remettre en forme, avec pour seul horizons la possibilité d'une sortie, cela l'avait motivé plus que tout le reste, et elle était heureuse de lui avoir dit, cela accelerait sa guérison, du moins elle avait cet impression.

Après de nombreux effort de sa part, ils avaient enfin put quitter l'hopital pour le calme du jardin, l'air frais était agréable quand il courrut sur leur visage alors qu'elle s'affairait a le pousser. Il n'avait plus besoin de perfusion, la douleur devait être encore presnte, pour sure, mais supportable. On ne voulait pas qu'il s'habitue aux antidouleur.

Leur discours était chaleureux, jusqu'a ce qu'il laisse un temps mort, avant de poser une question plus délicate. Elle arrivait comme un cheveux sur la soupe et le visage de Raph jusque la souriant devient morne. Pire que ca, il est vide et sans expression. Quelques longues secondes passent, puis c'est la colère qui vient naitre sur son visage.

"Qu'est-ce que tu veux que je te dise?! Je me suis dégager cela ne te suffit pas?!"

Elle se lève d'un coup, la furie dans le regard.

"Qu'est-ce que tu veux hein?! Dit le! Tu veux que je te dise que je l'ai tuer?! Et bien oui c'est ce que j'ai fait! Mais tu es bien le seul a me demander des comptes!"

Ses muscles se tendaient sous l'effet de la colère, ses doigts se crispaient, elle avait envi de frapper quelque chose; de toute ses forces.

"Tu voit ca?"

Elle dégagea ses vetements de son coup, pour qu'il puisse voir les marques de griffures profonde qui lui avaient été infliger.

"J'ai poser mes mains sur son coup, et je les ai serrer jusqu'a ce qu'il ne bouge plus, jusqu'a ce qu'il ne respire plus! Je l'ai massacrer... Je suis un monstre hein? Mais il n'y as que toi qui n'es pas capable de comprendre!"

Son visage exprime toujours la fureur, mais des larmes viennent mouiller ses yeux.

"Je l'ai tuer parce qu'il venait de toucher a la seule personne qui comptait un tant soit peu pour moi depuis la mort d'Aaron! Je t'ai vut mort Wyrlm... MORT. Et ca, même tes collègues ont été capable de le comprendre, et pas un ne m'as demander des comptes!"

Elle lui tourna le dos, et commenca a s'enfoncer dans le jardin. Il allait falloir qu'il apprenne rapidement a manier son fauteuil s'il comptait la rattraper, car elle ne l'attendrait pas.

Invité

Son visage qui était si gai il y a quelques secondes devient tout d'un coup colérique et je sens la rage monter en elle à cause de la question que je lui ai posé. Elle se lève et commence à me hurler dessus. J'essaie de placer une phrase de temps à autre mais je comprends rapidement que cela ne sert à rien et qu'elle ne s'arrêtera pas. Elle se traite elle-même de monstre, ce qui fait monter une boule dans mon ventre, preuve que j'aurais dû me taire et que je suis maintenant gêné.Elle reste debout, ses muscles sont crispés et son visage aussi, son expression me fait peur pour la première fois depuis que je la connais. Elle part comme une furie et j'essaie de me débrouiller pour la rattraper en fauteuil ce qui n'est pas vraiment facile.

J'estime qu'après plus de trois jours de repos, sans compter les jours sous anesthésie, je peux marcher. Je me lève du fauteuil et me lance à sa poursuite tandis que tout les muscles de mon corps hurle de douleur. Je crois que mon patrimoine génétique m'aide sur son coup et que mes capacités d'hybride prennent le dessus malgré ma forme humaine. Je la rattrape et saisit son poignet ce qui ne la fait pas s'arrêter mais qui me procure une grosse douleur à l'épaule. Ma vitesse me joue un tour et je la percute ce qui nous fait basculer. Je me retrouve au dessus d'elle, tout mes muscles sont blessés et je me demande bien si je vais pouvoir me relever.

Je ne savais pas que tu l'avais tuer!! Tu comprends? Je ne savais pas!! Je... Excuse moi! Il faut que tu me pardonnes.

J'essaie de me relever et malgré la douleur j'y parviens. Je me retourne et essuie les larmes qui sont apparues sur mon visage.

Je.. Tu es la seule personne qui compte pour moi! Je n'ai pas de relations hors de mon travail à part toi! Peu m'importe que tu ais tué cet homme ou pas! Je t'aime! Je...

Je m'arrête après avoir prononcé ces derniers mots et je la regarde. Les mots ont dépassé le fil de ma pensée et ce que je gardais au fond de moi depuis quelques temps est ressurgit. Je me sens vraiment idiot face à elle et je ne sais pas quoi faire. La douleur à mon bras me rappelle que j'aurais dû être dans un fauteuil roulant et non pas debout en train de courir après Raph.

Invité

Elle avancait d'un pas rapide, en furie, refusant de regarder derière elle, refusant le remord d'une telle agressivité, elle avait juste dans la tête le regard terrifier de cet homme alors qu'il avait compris quelle le tuerait, ce regard qui lui repetait sans cesse quel monstre elle pouvais être. Ce n'était pas pour rien que les film mettant en scène des Vampires invoquait l'effroit...

Les larmes coulaient le long de ses joues sans qu'elle cherche a les retenir, ou les effacer, c'est comme si elle n'en avait pas conscience, ou bien qu'elle s'en fichait. Elle avait ce poid sur la conscience, et il faudrait faire avec.

Une main se saisit de son poignet, et elle tira u grand coup tout en se retournant pour se degager. Wyrlm l'avait rattraper d'une manière dont elle ne l'aurait pas imaginé, seulement il ne la lacha pas, et la renversa. Elle ne s'était pas attendu a ce qu'il puisse la rattraper. Il n'était pas sencé pourvoir se lever.

"Lache moi!"

"Je ne savais pas que tu l'avais tuer!! Tu comprends? Je ne savais pas!! Je... Excuse moi! Il faut que tu me pardonnes. "

Il pleure, au moins autant qu'elle; mais pas pour les même raisons. Elle se sent malheureuse en ce moment. Malheureuse parce qu'elle n'est pas capable de se pardonner, et parce qu'elle le fait pleurer. Elle vourait pouvoir se soustraire au monde mai il l'en empeche.

"Laisse moi tranquil... Je t'en prie."

A la force de ses bras, il parvint a se dégagé sur le côté et roule sur le dos. Cette course a dut être réellement éprouvante, mais aussi dangereuse... Le sport était exclut après ce qu'il avait subit.
Il essuyait ses larmes, elle s'était mise a genou, pour se relever; mais le voyant ainsi par terre, elle réalisa a quel point il avait put se mettre en danger.

"Tu te rend compte de ce que tu as fait?! A quoi tu joue tu veux te tuer?! Après ce que j'ai fait pour être sur de te voir en vie... ne me fait pas l'affront de te mettre toi même en danger!"

Il la regarde legerement et l'air malheureux qu'il arbore lui fend le coeur.

"Je.. Tu es la seule personne qui compte pour moi! Je n'ai pas de relations hors de mon travail à part toi! Peu m'importe que tu ais tué cet homme ou pas! Je t'aime! Je..."

Le discours n'est pas important, ce sont les trois dernier mots qui l'étaient. Elle se tue instantanément, et le regarda un instant comme par peur qu'il se moque d'elle. Elle s'approcha alors et l'embrassa sans autre forme de réponse.

Invité

Je n'ai pas le temps de prendre une respiration que les lèvres de Raphaël sont au contact avec les miennes. Jamais je n'aurai pu imaginer que ce contact se déroulerait ainsi, dans le jardin d'un hôpital. Je reste allongé, prenant appui contre le sol afin de ne pas trop ressentir la douleur de mon bras. Je ferme les yeux afin de profiter de cet instant que l'on pourrait qualifié de magique. Je m'assied lentement tout en gardant le contact sucré et froid de ses lèvres. Je passe un de mes bras autour de son corps et je rompe doucement le contact pour la prendre contre moi. Je lui murmure à l'oreille

Je suis désolé, je ne voulais pas te forcer à parler.

Je mets ma tête dans le creux de son épaule et je l'embrasse tendrement dans le cou. Après quelques secondes dans cette position, j'essaie de me lever, avec succès cette fois-ci et je lui tends la main. Une fois qu'elle l'a prise, je retourne lentement au fauteuil roulant, évitant de trop bouger les bras. Je me rassied et j'attends qu'elle prenne le contrôle de l'engin.

On continue cette promenade?

Je regarde le soleil et je me rends compte que malgré quelques petits soucis, c'est une magnifique journée... Mon cœur bat plus vite que d'habitude et la boule présente tout à l'heure a disparu pour laisser place à la joie. Malgré la douleur qui est toujours présente, je me porte comme un charme. Malheureusement, je dois rester jusqu'à demain avant de pouvoir quitter l'hôpital. Mais après, je ne recommence pas à travailler avant... un mois comme me l'a indiqué mon supérieur au téléphone. Je vais donc passer un mois en solitaire... ou pas...

Invité

Ce baiser semble vouloir guerrir tout ses maux bien qu'il ne puisse rien changer au plus profond qui gangrainait son âme. Les problèmes semblent s'évanouir l'espace d'un instant alors qu'on lui temoignait pour la première fois depuis longtemps une attention toute particulière.
Ce moment était precieux et elle le protegerait de tout son pouvoir.
Une impresson étrange l'envahissait, mélange de tristesse mais d'un bonheur sans nom, tourmenté. C'était le sentiment qu'elle reverberait autour d'elle, puissament a cause de son don d'empathie.

Il s'excusait, explicant qu'il n'avait pas voulut la forcer, c'était pourtant ce qu'il avait fait; mais ce soudain partage l'avait comme laver de tout soupscons. Il l'embrassa dans le cou, elle avait garder les yeux fermer, encore humide, et il lui sembla en cet instant qu'elle aurait put mourir sans crainte et qu'elle aurait été heureuse.

"Ne me laisse jamais te faire de mal."

Après avoir relaché son étreinte il tenta de se relever, alors elle se leva, pour eviter de le gener dans son effort puis l'aida même. C'était un exploit qu'il parvienne a se lever, sa forte constiution devat l'y aider, mais tout de même... Elle l'aida a rejoindre le fauteuil qui le soulagerait très certainnement. Il lui proposa de continuer la balade, et bien que son visage affiche encore un air legerement malheureux, elle lui offrit un tendre sourire.

Ils se retrouvèrent face a face dans un coin isolé du jardin. Elle voulait être seule avec lui. Elle s'assit a meme l'herbe devant lui.

"Je ne regrette pas de l'avoir tuer, je ne l'aurait pas regretter même si cela m'avait permit de revoir ton visage que quelques secondes... Mais son visage me hante."

Elle redressa la tête. pour le fixer.

"Ce qui me fait peur, c'est d'être incapable de me controler; et je ne suis même pas sur que dans ce genre de moment, je soit capable de faire la différence un... monstre comme lui, et n'importe qui d'autre..."

Invité

Elle pousse le fauteuil pendant quelques secondes pour m'amener dans une partie isolée du jardin. Elle s'assied en face de moi et elle m'explique qu'elle ne regrette pas de l'avoir tué car cela lui a permit de revoir mon visage ce qui me touche énormément.

Je quitte lentement la place qui m'est réservée dans le fauteuil et je viens m'asseoir à son niveau tout en l'écoutant. Je me hisse lentement jusqu'à elle et je me mets derrière elle, glissant mes bras autour de son ventre et m'emparant de ses mains. Je m'allonge et regarde le ciel avant de lui répondre.

Il faudrait que tu apprennes à mieux contrôler ce pouvoir en prenant contact avec d'autres vampires ou toute seule mais il faut que tu t'entraines. Comment crois-tu que je contrôle ma transformation?

Ce qui me fait penser qu'il faudra un jour qu'elle me voit sous forme animale... Je ne pense pas que je ferais ça de suite car sous forme animale, les blessures que j'ai ici risque de se décupler et devenir plus dangereuse que ce qu'elles sont actuellement. Je passe une main dans ses cheveux et je la caresse lentement.

J'ai quand même du mal à y croire... Il y a à peine une semaine tu ne supportais pas de me voir et maintenant et bien...

Moi qui pensais finir le reste de mes jours en célibataire revendiqué, je suis servi... Mais je n'ai pas à me plaindre, partager ma vie avec une fille comme elle c'est... magnifique. Je me relève doucement et je viens l'embrasser dans le cou puis sur l'oreille et finalement sur le coin des lèvres.

Je t'aime

Invité

Il ne semblait pas vouloir tenir en place, et s'était déja assis sur le sol frais, se rapprochant d'elle. Elle devrait l'en empecher, le mettre en garde; mais elle n'etait ni son infirmière ni son medecin et n'avait pas vraiment envi de l'en dissuader. Il la tira contre lui, passant ses mains contre son ventre et elle se laissait faire. Une impression étrange l'habitait encore, grisante quand il la prennait dans ses bras; celle la même qu'elle refoulait auparavant.

Il tente de la conseiller, mais cela lui laisse un gout amer. Elle as l'impression dans sa voix qu'il croit que c'est simple; et aimerait lui montrer a quel point il se trompe.

"Ca n'as rien a voir... Tu parle d'entrainnement mais ce n'est pas un jeu. Je sais très bien dévoillé mes attributs de vampire, le problème c'est de les empecher d'apparaitre quand je ne peut pas faire autrement."

Elle tourna la tête pour fixer son visage alors qu'il carressait ses cheveux.

"C'est quelque chose que je n'ai pas moyen de controler! Tu te souvint de la première fois qu'on s'est rencontrer? Enfin je veux dire, quand vous m'avez arretez avec tes deux collègues, la justicière et le trouillard pas dégourdie... J'était sur le point de perdre ce controle..."

Une boule noue legerement sa gorge.

"Le pire... C'est que sans être capable de controler mes actes je suis très consciente de ce que je fait... Le pire c'est d'être la et de ne pas pouvoir l'empecher... C'est comme ci une autre prenait possession de mes actes..."

Il est comptisant, mais ne peut pas réelement l'aider. Elle n'est même pas sur qu'il comprenne réelement ce qu'elle veut dire. Il fait alors la seule chose qu'il peut: changer de sujet. Elle sourit legerement.

"C'est parce qu'il y as ue semaine, tu était le sale flic qui se mettait entre moi et et le seul moyen que j'ai trouver pour me controler..."

Ironie du sort. Elle passait son temps a avoir des problèmes avec la egalité, et il fallait qu'elle tombe amoureuse d'un flic. Elle esperait que sa fonction ne le pousserait pas a trop s'immissé dans ses "mauvaises" habitudes.

Il se redresse, la relevant par la même, puis l'embrassa sur le cou avant de remonter vers ses lèvres. Baiser qu'elle lui rendit avec un sourire avant que son visage ne redevienne un peu plus serieux.

"Il faudra que je retourne travailler Lundi. Après le week-end. Pour pouvoir payer mon loyer, et eviter de perdre l'habitude et la confiance de mon patron..."

Elle hésita un instant a lui proposé de s'intaller chez elle, le temps qu'il ne bossait pas, mais se ravisa. C'était trop tot.

Invité

Je compatis pour elle, je ne sais pas comment la réconforter à part la prendre dans mes bras ou lui chuchoter des mots doux. De temps à autre je dépose un baiser dans son cou tout en écoutant ses explications. Elle ironise quand elle avoue qu'en début de semaine j'étais le "sale flic" qui aurait pu la mettre en prison.

Comme quoi, cette mission n'a pas été un total fiasco... Elle n'aura pas servi à rien.

Je souris douloureusement à cause de mon bras qui me lance mais j'essaie de ne pas le laisser paraître. Elle retourne sur un sujet moins drôle, à partir de Lundi je devrais me débrouiller seul. Lundi c'est dans cinq jours, ce qui me laissera le temps de récupérer de retourner à chez moi. Ce qui me donne une idée.

Ca va te paraître sûrement très osé voire même idiot mais... Est-ce que tu accepterais de venir vivre chez moi? C'est un duplex très grand et tu auras toute la place que tu veux.

Je fais jouer doucement mes doigts sur son ventre en remontant doucement vers sa poitrine que je n'atteins pas par respect. Je pose mon front contre l'arrière de son crâne et je ferme les yeux. Son odeur si particulière me fait frémir et fait monter un peu d'excitation en moi. Je recommence à l'embrasser dans le cou à travers les cheveux. Puis pour rigoler, je lèche l'espace d'une seconde son cou avant de rigoler.

Désolé! C'était trop tentant!

Le fait de rigoler relance la douleur mais cette fois-ci au niveau du ventre. Erf... Si je ne peux même plus rigoler sous peine de me faire mal...

Invité

Elle sourit legerement quand il avoue que pour lui, la mission n'aura pas servit a rien. Elle se dit pour sa part, que ces hommes rendent un plus grand service mort que vivant, mais cela la console a peine. Si cela avait put être par d'autre mains que les siennes, cela n'aurait pas été plus mal.

Elle voit sur ses traits que la douleur est présente, mais comme il cherche a la caché, elle ne fait rien pour lui faire remarquer. Ruiner tout ses efforts auraient été cruel! Il devint plus serieux, même si son introduction n'était pas meilleurs pour qu'elle le prenne serieusement.
Sa proposition l'étonna, d'autant plus qu'elle y avait pensé quelques secondes plus tôt. Elle retourne la tête et sourit largement, legerement moqueur comme a son habitude.

"Tu as besoin d'une nounou? Je te previent, j'ai pas fait medecine pour finir infirmière."

Elle état plutot doué pour ce genre de réponse qui donne l'impression de quelque chose de concret, mais qui finalement ne repond absoluement pas au problème posé.

Puis soudain, alors qu'elle ne s'y attendais absoluement pas, quelque choe d'humide entre en contact avec son cou; elle se degage rapidement, et il explose de rire. Elle comprend rapidement que l'OVNI (objet visqueux non identifier) n'était que la langue de son partenaire. Elle fronca les sourcils, tout de même amusé par son rire alors qu'il se tordait maintenant de douleur.

"C'est malin tient!"

Elle rit toujours, ca elle ne le plaindra pas... C'était de sa faute après tout.

"C'est du solide ca! Incapable de rire sans se faire mal! Tu va aller loin comme ca!"

Elle secoua la tête avant de revenir s'assoir prêt de lui. Elle s'approcha prêt de son oreille et murmura non sans amusement:

"Mefie toi, parce qu'a ce petit jeu la... j'ai du mordant."

Elle se redressa, souriante.

"Je veux bien venir jouer au docteur chez toi durant ta convalescence. Mais je n'abandonne pas mon appart."

Elle avait toujours une manière très... romantique de présenter les choses. C'était crut mais réaliste; une manière de mettre un pied dans le plat sans pour autant trop s'engager.

Invité

J'ai envie de l'embrasser encore et encore mais je me contiens afin de ne pas passer pour un obsédé ou bien pour un abruti... Je souris quand elle me préviens qu'elle n'a pas fait médecine pour devenir infirmière.

Pas même mon infirmière?

Je prononce cette phrase sur une voix enfantine après qu'elle ait sursauté et qu'elle se moque de moi. Elle a sursauté et a regardé qu'elle était le monstre qui lui a touché le cou. Je lui tire la langue après qu'elle m'ait averti qu'à ce jeu elle a du mordant. Je réplique directement.

Mords moi autant que tu veux du moment que tu n'aspires pas mon sang...

Je me retiens de l'embrasser en me mordant les lèvres et en lui jetant des petits regards qui veulent tout dire. Je prends un air boudeur quand elle me dis qu'elle veut bien jouer au docteur en attendant que je me rétablisse, cependant elle refuse de venir vivre chez moi... Je souffle bruyamment et je continue de caresser son ventre, m'aventurant cette fois-ci vers sa poitrine.

T'es sûre de ne pas vouloir venir chez moi?

Je l'embrasse dans le cou et je me colle contre elle

Je t'aime vraiment...

Invité

Il insistait d'une moue enfantine, legerement ridicule, mais souvent efficasse. Cela dit, elle n'était pas du genre a se laisser amadouer.

"Surtout pas la tienne en faite; car j'ai comme l'impression que ca n'aurait rien de proffesionnel."

Un de ses sourcils se sureleve comme pour appuyer son sous entendu. Puis complète son air étonné quand il réplique, lui demandant d'éviter de boir son sang. Comme si elle avait l'intention de le tuer... De toute facon, elle n'était pas idiote, son sang était un poison mortelle, elle ne s'y risquerait pas.

"Ca il n'y as pas de risque après ce qu'il s'est passé l'autre jour. Je ne suis pas Maso, désolé de te decevoir."

Il la dévore littéralement du regard, et elle n'est pas aveugle d'autant que ses mains baladeuses s'aventures toujours un peu plus loin, mais il semble qu'elle ai un meilleur sens des priorités que lui. Il réitère sa demande en se pressant contre elle puis lui murmurant des mots tendre. Elle se défit de son étreinte.

"Arrete ca... Tu va te blesser rien que d'y penser."

Elle n'était pas gener de l'arreter de son élan, mais il lui semblait que ce n'était ni le lieu ni le moment.

"En plus, ca n'as rien de discret."

Elle désigna du regard la bosse qui s'était former sous son pantalon. Elle l'embrassa au coin des lèvres amusé.

"Je veux bien m'installer temporairement chez toi, mais comme je te l'ai dit, je garde mon appart. C'est chez moi, et j'en ai besoin."

Raphaël était depuis toujours un electron libre, et n'allait très certainnement pas se laisser enfermer de suite; pour ca, il faudrait qu'elle soit vraiment sur d'elle, et de lui. De toute facon son appartement était plus prê de son travail; et surtout, elle voulait pouvoir continuer a se "mettre hors d'etat de nuire" a l'abris des regards si elle en avait besoin; et apporter cela chez lui, flic, serait vraiment idiot de sa part.

Elle se releva puis lui tendis les mains pour l'aider a se relever, le temps de se rassoir dans le fauteuil. Elle anticipat le fait qu'il la tire vers lui pour la faire tombé, en placant tout son poid en arrière. Elle se félicitait déja interieurement, un peu trop tôt manifestement, car pour déjouer son contre, il la fit basculé en arrière plutot qu'en avant. Elle se retrouva contre sa volonté sous lui; plongea ses yeux dans les siens, et l'embrassa. Pendant qu'il se laissait distraire elle le fit rouler sur le dos, et put ainsi se dégager, avec un sourire.

"Je sais, c'est déloyale. Aller vient."

Ils finirent par rentrer. Le lendemain, il pourrait sortir de l'hopital sous reserve d'eviter les exces; et elle partirait avec lui.

[Terminer]

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