Quand les autres s'en mèlent... (Pv Wyrlm)

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Elle m'indique le lieu de rendez-vous du bout du doigt. Je gare la moto le plus près possible, au cas où nous devions revenir en quatrième vitesse. Je la suis jusqu'au bord de la Seine où aura lieu notre échange. Le temps passe lentement et je reste debout, prenant mon mal en patience. Raphaëlle décide de passer le temps en s'asseyant sur le sol, les pieds au-dessus du fleuve.

Une dizaine de minutes plus tard quatre hommes viennent dans notre direction. Raph se lève et vient se coller à moi, je passe un bras autour de son épaule. Une fois de plus, mon rythme cardiaque s'accélère quand les hommes arrivent à notre hauteur. Une boule vient me prendre au ventre et j'essaie tant bien que mal de la faire partir.

L'homme le plus petit a des cheveux blancs et une dent en or orne sa mâchoire supérieure. Son surnom sera donc Dent Dorée. A côté de lui se trouve un grand dadet qui semble être le garde du corps de l'autre, en dessous de son costard noir, j'aperçois un T-shirt vert,il sera donc Géant Vert. Les deux autres restent en retrait et regardent partout autour de nous. Ils se ressemblent énormément donc ils seront Dupont et Dupond.

Dent Dorée s'approche de nous et tend sa main vers moi. Je la lui serre et lui offre un grand sourire. Il regarde Raphaëlle et vient l'embrasser comme s'ils se connaissaient depuis longtemps et qu'ils avaient gardés les moutons ensemble. Je le regarde, avec son sourire trop franc pour être vrai.

Vous avez ce qu'on vous a demandé?

J'ai prononcé cette phrase sans m'en rendre compte et sur un ton très calme. L'homme se tourne vers Géant Vert et lui demande le sacqu'il porte dans le dos d'un geste de la main. Le grand imbécile le lui tend et l'ouvre. Dent Dorée plonge une main dedans et en sort trois paquets de shit gros comme mon poing. Il arrache le sac des mains du Géant et l'ouvre en grand devant nous pour nous prouver que le reste y est.

*Il n'a toujours pas parlé.*

Je resserre un peu plus mon étreinte sur Raph pour la rassurer un peu car je la sens trembler. Je prends mon sac et sors plusieurs liasses de billets. Il s'en empare et les compte rapidement. J'espère que les autres sont près car nous avons fini ce que nous avions à faire

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Alors qu'elle les regardes approché, elle sent le bras de Wyrlm passé sur son épaule, elle tourne la tête vers lui, et il lui lance un sourire rassurant. Elle le lui rendit, car elle sentait a la manière dont il la tenait qu'il était stresser lui aussi. Elle soupira et baissa la tête quand elle vit a qui ils avaient a faire. Elle croyait n'avoir jamais rencontrer celui qu'ils étaient venu voir; mais en faite si... Ce petit être avait habiter quelques mois chez elle, il y avait plus de deux ans, alors que son compagnon d'époque était encore en vie. Elle se mordit legerement la lèvre. Elle était alors a ce moment, encore loin de se douté qu'elle abritait un traficant...

Wyrlm la relacha, et l'homme eut un sourire, qu'elle lui rendit avec un leger hochement de tête, comprenant peu a peu la situation. Il s'approche et serre la main de Wyrlm, qui lui offre un beau sourire, avant de venir l'enlacer. Elle se laisse faire, même si cela la met mal a l'aise.

Puis Wyrlm lui demande déja s'il as ce qu'il devait apporter. L'homme leur prouve. Et Wyrlm finit par sortir l'argent. Elle tremble legeremnt, et il se rapproche d'elle; mais ce n'est plus de peur cette fois ci, c'est d'un gout amer de colère. L'homme s'epare de l'argent et se met a compter, alors que les deux tourtereaux n'ont toujours pas le sac de drogue.

"Il est pressé ton ami, hein, Rapahaël..."

Elle serra legerement les dents, avant de posé une main sur le bras de Wyrlm, afin qu'il défasse son etrainte.

"Je te présente Wyrlm... Mon compagnon."

L'homme comptait toujours, il ne semblait pas interesser par l'identité du garcon. Elle bouillonait legerement.

"Vous aviez bien caché votre jeu..."

L'homme redresse la tête et sourit, dévoilant toute ses dents. Wyrlm a un regard interrogateur en direction de Raphaël, mais elle l'esquive d'un mouvement de tête.

"Et vous vous êtes bien foutu de ma gueule...."

Il ne semble pas perturber pour le moins du monde. Et Wyrlm pourrait comprendre que la discution ne concernait pas le moment présent, mais bien ces deux qui semblaient se connaitrent.

"Mais si nous t'avions dit que j'était un trafiquant, tu ne m'aurait jamais accepter sous ton toit. Et entre nous... On s'est plutot bien amusé non?"

Elle lui lanca un regard assassin.

"Je suis alergique au mensonge..."

Il rit simplement, alors que les trois singes a coter reste de marbre.

"Le compte est bon... Allez venez..."

Il finit par se retourner et commencer a s'éloigner, sans leur avoir donner leur dut.

"Hey minute; tu nous donne ce que tu nous doit s'il te plait."

Elle ne semlait plus stresser le moins du monde. Il a regarda étonné.

"Tu ne croit tout de même pas que nous allons proceder a l'échange ici tout de même. Je croyait que Sokaris t'avais mieu former que cela!"

Un silence.

"Il est mort."

"Je sais."

Elle serra la machoire, puis jeta un air interrogateur a Wyrlm. Que devaient ils faire?

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Dent Dorée et Raphaël commencèrent à discuter d'une période qui, selon moi, est depuis longtemps révolue. Je les laisse faire en profitant pour observer les trois guignols qui servaient de garde du corps au nain. Géant Vert est surement le plus dangereux des trois à cause de sa force physique et je ne suis pas sûr de pouvoir le battre en combat singulier. Dupont et Dupond ne sont pas une réelle menace malgré leurs armes automatique.

Je reporte mon attention sur Dent Dorée, il finit de parler avec Raph et s'en va. Elle l'interpelle et lui demande pourquoi il ne nous donne pas nôtre dû. Sokari? Qui c'est celui-là? Une connaissance de Raph sûrement et apparemment il est décédé. Je finis malheureusement par comprendre qui est ce Sokari... C'est l'ancien copain de la demoiselle. Qui me regarde d'ailleurs. Elle ne sait plus quoi faire et c'est donc à moi de prendre la relève.

Je ne comprends pas vraiment vôtre jeu et je ne vais pas chercher à savoir ce que c'est. Mais en tout cas vous allez nous donner ce que l'on est venu chercehr.

Le minimoys se retourne et s'approche de moi. Il lève l'index et me le met sous le menton. Il commence à parler très fort.

Je croit que tu ne sais pas a qui tu as affaire l'ami, reparle moi encore une fois sur ce ton, et je te loge une balle dans le néant qui separe tes deux oreilles, compris?

Je lache Raph et m'accroupis pour me mettre à la hauteur de sa tête. Son haleine sent la drogue à plein nez et je détourne le visage pour respirer de l'air pur.

Bon le nain tu vas te calmer d'accord? Parce que si tu savais qui je suis je ne crois pas que tu me parlerais comme ça.

Je me lève et me tourne, de toute façon l'argent sera récupérée quand ils seront arrêtés. Je passe le bras autour de l'épaule de Raph.

Vient chéri on y va

On commence à marcher lorsque Dent Dorée vient me saisir le bras. Il s'arrête et me laisse le temps de me retourner. Je le regarde et comprend qu'il a touché le micro caché dans ma manche ainsi que le couteau papillon. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, je pousse Raphaël le plus loin possible de nous et je tords son poignet à l'imbécile qui me fait face. Je me débrouille pour qu'il me fasse dos et que son visage soit face à ses camarades.

Police! Lachez vos armes. Raphaël va-t-en de là!

Malheureusement pour moi, Dupont et Dupond sont de très bons tireurs, l'un des deux appuie sur la gachette et envoie trois projectiles se ficher dans mon épaule droite, me faisant reculer et permettant au Dent Dorée de quitter mon étreinte. Il court vers Géant Vert et se cache derrière lui en lui ordonnant de tirer. Je cherche une cachette des yeux et ne trouve rien de mieux à faire que de courir et de plonger dans la Seine.

Les balles fusent dans l'air puis me rattrape dans l'eau. Je ne sais combien de projectiles me pénètrent mais ils sont suffisamment pour m'empêcher de bouger convenablement. Je nage pour me mettre à l'abri derrière une péniche, espérant que Raphaël est à l'abri et que les unités d'intervention arrivent rapidement.

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A son regard, Wyrlm joue son role, mais cherche a recupperer la drogue. Elle as une moue inquiète, elle n'est pas sur que ce soit la bonne methode. Il aurait soit falut les suivres, soit partir. Elle eut d'ailleur raison, au vut de la réaction agressive du dealeur.

Raphaël se rapproche, essayant de calmer le jeu car il prend une tournure qui l'inquiète.

"On est peut être pas obliger d'en arriver l..."

Mais Wyrlm reprend de plus belle, et se baisse legerement, accentuant ainsi la "déficiance" du dealeur. Chose a ne pas faire. Elle grimaca. Wyrlm se redresse et se tourne vers Raphael, lui demandant de partir avec lui. Elle tourne le regard vers l'homme qui sourit. Ils partiraient sans l'argent? Cela avait quelque chose de trop louche; et il l'aurait compris.
Elle se tourna pour suivre Wyrlm.

"Je ne sais pas qui vous êtes.. mais dans ce cas eclairez moi..."

Raphaël voulut se pencher vers Wyrlm pour le prevenir; la supercherie était découverte. Le ton qu'il employait ne laissait aucun doute; mais il lui avait déja attraper le bras, que Wyrlm s'empressa de tordre, avant de la faire valser plus loin.

"Police! Lachez vos armes. Raphaël va-t-en de là!"

Elle tomba a la renverse sur le sol; mais put déja entendre des tires. Sa tête avait legerement cogner le pavé, et un peu de sang coulait de son front, mais ce ne serait rien de grave.

"Merde! Bordel de merde!"

Elle enrage, et quand le se redresse pour se relever. Wyrlm as déja relacher son étrainte sur l'homme, alors que les hommes de mains se charge déja de le canarder, il plonge sous l'eau.

Elle se relève, tant bien que mal, et commence a courire vers l'escalier qui la menera hors du quai. Le reste de la troupe ne devrait pas tarder a arriver. Elle les trovait d'ailleur bien long. Une balle explosale mur juste a côté de sa tête, et elle roula sur le sol.

"La tue pas! Attrape la espèce d'abbruti!"

Elle n'as pas eut le temps de se relever que le plus imposant des quatres hommes la rattraper, et la porte, alors qu'elle se débat, ondulant comme une anguille pour s'échape de ses bras sans y parvenir, avant de la ramener prêts des autres. Le petit homme la regarde avec mépris. Regard qu'elle lui rend, plein de défit.

"Ton egaux est toujours aussi developper a ce que je voit. Tu croyait vraiment me pieger."

Le gorille lui as coincé les bras dans le dos, et ses pieds touchent a peine le sol, elle sas que si elle fait le moindre mouvement, elle risque d'avoir très mal...

"J'était pas au courant..."

C'était peut être ce qu'elle avait de mieu a dire, en attendant les secours. Mais il secoua la tête, toujours aussi méprisant, avant d'enfoncé son bras dans son decolté, et d'y ressortir la puce. Elle se debat a ce moment, mais il attrapa son visage et le maintient fermement d'une main, alors que de l'autre il place sous son nez le micro.

"Et ca c'est quoi? Tu me prend vraiment pour un idiot!"

Elle ne repond pas, mais un petit sourire nait sur son visage. De l'arrogance a l'etat pure... Il la lache, avant de lui retourner une gifle si violente qu'elle fait partir sa tête de côté, faisant craquer ses cervicales, et l'assomant a moitier.

"Que va t'on faire de toi, hein..."

Elle redresse doucement la tête, alors qu'un peu de sang coule de sa bouche. Puis lui crache sur les chaussures.

"Tu as encore de l'energie... Je comprend mieu pourquoi tu lui plaisait. Mais je vais te faire passer l'envi de recommencer..."

Il allait envoyer son poingt dans son ventre quand un voix rententi au loin.

"Lachez la!"

Les flics arrivaient enfin. Le "bodyguard" lui avait lier les mains dans le dos, et le dealeur l'attrapa par les cheveux avant de la placer devant elle, un flingue sur la tempe.

"Si vous approchez je la descend."

Il tourna legerement la tête vers son homme de main qui avait faillit la tuer.

"Tu voit, c'es a ca que ca sert.... un otage."

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J'essaie tant bien que mal d'empêcher le sang de couler. Je nage doucement, une main plaquée contre l'épaule et l'autre brassant l'eau aussi vite que me le permettent mes blessures. J'essaie de trouver une échelle sur le côté de la péniche mais c'est peine perdue, je me dirige donc vers la berge en évitant de faire du bruit.

J'arrive contre la rive en béton et trouve enfin une échelle, à cinq six mètres de là. Je nage doucement et commence à grimper, j'entends des cris un peu plus loin mais je ne suis pas sûr de pouvoir m'y rendre assez vite avant que ça tourne mal pour nous. Je grimpe à deux mains, essayant d'ignorer la douleur qui me brûle l'épaule.

J'arrive enfin sur la berge, je m'étale lamentablement sur le sol et me repose quelques instants. Je me relève et me dirige vers la fusillade. Je sors le couteau papillon de la manche et commence à courir vers les ennuis. J'arrive trop tard, ils se sont emparés de Raph et Dent dorée en profite pour la frapper. Heureusement que les collègues arrivent.

Lâchez-là!

J'en profite pour avancer un peu plus, je me faufile entre les différents obstacles qui me séparent de Raph et par conséquent des dealers. J'avance, accroupi et j'arrive bientôt à leur hauteur, dans leur dos. QUand je suis au niveau d'un des jumeaux, je prends le couteau à l'envers et je viens lui trancher discrètement la carrotide, l'empêchant de crier. Il meurt rapidement et je me dirige vers son copain.

Quand j'arrive à sa hauteur, je crois le regard de Raph et je pose un doigt sur ma bouche. Seulement, je ne regardais plus par terre et je shoote dans une canette de soda qui se trouvait sur la berge. Dupond se retourne et me regarde.

Oups...

Je me lance sur lui et plante le couteau dans sa poitrine une fois sur lui mais ça lui suffit pour appuyer sur la gâchette et à m'envoyer un nombre incalculables de projectiles dans le ventre. Il vide ainsi son chergeur dans mon ventre et je reste allongé sur lui, entre la vie et la mort. J'utilise le reste d'énergie pour rouler afin d'être contre le bitume, sur le dos.

Je préfère mourir en regardant le ciel plutôt qu'en face du visage d'un Bulgare à peine majeur. Ma vue se trouble et un voile noir commence à s'immiscer dans mon regard. Je cligne des yeux pour le retirer, mais il reste toujours là, immobile. Je sens l'énergie me quitter et je commence à réfléchir à ma vie. Je peux en être fier, j'ai fait ce qui me sembler le meilleur et je pense que j'ai toujours été juste. Je repense à la semaine passée. J'ai appris à connaître Raph et à l'apprécier sans la juger.

Raph...

Je ferme une dernière fois les yeux puis c'est le néant.

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Il lui arrache a moitier la tête, mais ce n'est pas pour cela qu'elle se laisse faire. Elle as une pensée pour Wyrlm qu'elle se souvient avoir vut plonger a l'eau. Elle esperait qu'il s'en soit sortit, car si une balle l'avait touché lors e sa fuite, il pourrait pourir dans l'eau... cette idée la revoltait.

Elle ne pouvais trop rien faire pour le moment, car des qu'elle tentait de bouger, il resserait sa prise, et la maintenant un peu plus fermement. Le semi-automatique plaqué contre son front ne l'aidait pas non plus a reflechir. Dent dorée sembla montrer des signes de contentement lorsqu'il vit que les policiers basés sur le quai n'osaient pas tirer.

Ils reculaient doucement, tout en la tenant face a eux. Il avait finit par la saisir par les bras, lui empechant tout mouvement, mais quelque chose sembla les alerter. Les policiers en face d'elle, semblaient plus confiant. Elle retourna la tête, et put voir Wyrlm sauté sur l'un des hommes. Malheureusement un autre ne tarda pasa venir lui regler son compte. Et des coups de feu se firent entendre. Elle vit Wyrlm roulé sur le dos plus que la en point.

"Wyrlm!!!!"

Des balles virent de l'autre sens, et les policiers tuèrent le dernier hommes de main. Raph senti que la prise sur ses bras était moins assurer, et elle se degagea d'un mouvement d'épaule, le faisant basculer en arrière; il se reprit, mais avant qui ai eut le temps de la viser, elle s'était retourner, et lui avait lancer sa tête dans son sterneum. Elle avait l'avatage de connaitre l'anatomie humaine sur le bout des doigts; et si ce coup ne l'aurait pas tuer, il lui aura bloquer toute respiration sur le coup. Elle le fit basculer en arrière, avant de se laisser tombé a califourchons sur lui. Elle tordit ses poignets dans un mouvement qui lui tira un rictus de douleur sur le visage, permetant ainsi de délier ses mains. Cet homme avait par ses actes signer son arret de mort.

Il se débatit un instant, pas prête a abbandonné contre une donzelle, mais son visage changea quand il appercut celui de Raphaël. Ses yeux n'avaient plus rien d'humain; son nez retroussé et sa bouche entrouverte laissa apparaitre ses canines. Elle avait poser ses mains autour du coup de l'homme; bloquant ses mouvements illusoire pour tenter de se degager.

Ses mains s'agitaient dans l'air, tentant d'agripper le visage de Raph; puis la vie abbandonna peut a peut le corps de ce monstre. L'idée de le laisser vivant pour les policiers ne lui traversa pas l'esprit, seul la furer était présente; et quand elle dessera ses mains autour de son cou, il ne bougeait plus. Elle ne s'appercut même qu'il était parvenu a lui lacerer en partie le cou avec ses ongles quand il se débatait; elle ne ressentait aucune douleur si ce n'était celle de la perte de quelqu'un de cher.

Les policiers arrivaient a peine prêt du cadavre alors qu'elle s'était déja jetter sur son compagnon. Son visage était redevenu normal. Elle posa ses doigts sur la nuque d'Alessa, mais ne parvint pas a trouver son poul.
Elle se retourna vivement vers les policiers qui arivaient en courrant.
Ses yeux étaient humides.

"Appelez une ambulance!"

Elle arracha les restes de la chemise de Wyrlm, et posa ses mains sur sa cage thoraxique. Pour une fois que sa formation de medecin lui permettait peut être de sauver une vie, plutôt que d'étudier ceux qui l'ont déja perdu...

1. 2. 3. 4. 5...

Un massage cardiaque, son ventre est criblé de balle, mais le plus important est de faire repartir le coeur, sans cela, les sequelles sur le cerveaux sont ireversibles. Elle n'entendait même plus les autres s'agiter derière elle.

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Elle plaque sa bouche sur la sienne afin de lui insuffler de l'air; puis reprend. Elle as le gout du sang dans sa bouche, mais ce n'est plus le sien.

Plus elle recommence, moins elle se sent bien; elle comprend alors, le sang de Wyrlm es en train de l'empoisonner petit a petit. Elle se sent étourdit. Une policière s'agenouille a côté d'elle.

"Je prend le relait."

Mais Raphaël ne la laisse pas faire. Elle ne veut pas qu'une incompetante laisse tombé, elle ne veut pas se reprocher de n'avoir rien fait.

"Je suis medecin!"

Elle devient de plus en plus livide, et commence a être prise de tremblements. Ele n'abbandonne qu'une fois que l'ambulance est arriver, lorsque le medecins et les infirmiers parvinrent a l'immobiliser.
Elle fut alors prise de convulsion, et tomba sur le sol, tandis que s'échapait de ses lèvres un peu de sang mélanger a de la salive.

Une deuxième ambulance arriva, et on l'embarqua de même. Le feu brulait ses veines; et Raphaël finit par sombrer a son tour.

Invité

Des images viennent se battre dans mon esprit, je me vois allongé, du sang s'écoulant de mon corps. Une autre image prend la place, celle de Raphaël en train de se battre pour me sauver. Puis finalement le néant, la seule chose qui me prouve que je suis en vie c'est ce bruit assourdissant, celui des machines d'hôpital qui se mettent à bipper dès qu'il y a un médicament qui est en manque.

Je me réveille, je suis à l'hôpital, une multitude de sensations s'offrent à moi. J'ai l'impression qu'une vie toute entière s'est écoulée entre mon évanouissement et ce réveil. Je jette un coup d'œil à mon corps, je le contrôle entièrement ce qui signifie que je n'ai pas reçu de blessures nerveuses. Des bandages ont été effectués autour de ma poitrine. J'essaie de me rappeler. La dernière chose dont j'ai conscience c'est que j'ai tué deux hommes en une minute d'intervalle... Une infirmière arrive en courant, le visage déformée par un rictus de peur. Quand elle voit que je suis réveillé, elle soupire et vient éteindre le bip incessant de la machine qui gère mon rythme cardiaque.

Bonjour Monsieur... Vous allez bien?

Je la regarde et lui sourit avec douleur. Je regarde mon épaule et comprend pourquoi j'ai eu mal au moment de sourire, j'ai aussi un bandage à l'épaule. Je reporte mon attention sur la jeune infirmière. Je lève le bras gauche et m'accroche à une sorte de poignée qui me permet de me relever un peu.

Qu'est-ce qu'il s'est passé?Depuis combien de temps suis-je ici?

Vous avez été blessé par balles. La majorité ont été sans gravité mais quelques-unes ont perforé votre rein droit, dorénavant vous devrez faire attention à tout ce que vous mangerez. Selon les médecins, vous devez la vie à votre petite amie Mademoiselle... Raecen. Elle vous a administré les premiers soins en attendant l'arrivée des renforts, au péril de sa vie. Cela fait environ 3 jours que vous dormiez, nous avons administré une forte dose d'anesthésiant...

J'arque un sourcil.. Au péril de sa vie? D'ailleurs le fait de me parler de Raph fait se réveiller en moi un sentiment d'inquiétude pour elle.

Où est-elle? Elle n'est pas blessée n'est-ce pas?

Elle sourit et secoue négativement la tête. Elle commence à se diriger vers la porte de la chambre.

Votre amie va bien, elle est sur pied depuis hier... Vous voulez que j'aille al chercher?

Je hoche la tête et soupire de soulagement. Elle quitte lentement la salle et me laisse seule pendant quelques minutes. Je suis heureux que Raphaël aille bien, si il lui était arrivé quelque chose je m'en serais voulu.. A vie... J'entends quelqu'un toquer à la porte.

En.. Entrez

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La survit avait été un vrai parcourt du combatant; et en se reveillant, il lui semblait s'être fait pietinner par un elephant tant ses muscles la faisaient souffrir. On lui avait expliquer, que c'était a cause du poison qui avait couler des ses veines et avaient atteint ses muscles, la paralysant en les contractants sans relace. Ce n'était donc pas étonnant d'avir des courbatures.

Au moins, elle saurait ce qui lui arriverait si elle tentait de s'en prendre a un hybride, il vallait mieu eviter. On avait filtrer son sang, pour être sur dans eliminer toute trace; elle avait également eut le droit a un lavage d'estomac, qui n'avait pas été sa partie preferer; maisenfin de compte, appart quelques echimoses et un bon toricolit, elle n'avait rien de grave.

Wyrlm par contre, était dans un sale état. Alors qu'elle put qutté l'hopital, il était toujours inconscient bien qu'en vie. Elle dut passé au commicaria pour faire sa déposition; elle crut un moent qu'elle aurait des ennuis pour avoir assassiné cet homme, bien qu'il soit un pourrit de la pire espèce, car chacun des policiers présents ce jour la avait put voir que son acte dépassait de loin la legitime defense. Mais personne ne la mit en cause, l'acharnement dont elle avait fait preuve pour sauver leur collègue y avait très certainnemnt jouer, et pour une fois, elle s'y sentit plutot bien acceuillit.

Elle passait au moins une fois par jour a l'hopital quand elle n'y passait pas la journée entière. Pendant les heures de visite, elle patientait sur une chaise dans la chambre, le reste du temps, assise dans le couloir, contre le mur.

Cela fait déja trois jours, les bleus sur sa peau se sont resorber, et elle n'as plus besoin de porter de minerve. Mais son visage affiche constament un air inquiet alors q'elle est confiné dans le couloir. Une infirmière arrive en se pessant; Raph se lève; mais elle referme la porte avant qu'elle n'ai put aperevoir quoi que ce soit.

Elle entendant des voix, surtout celle de l'infirmière en faite, mais elle doute qu'elle parle seule. Une vague de soulagement l'envahit alors Elle sentit les larmes lui monter aux yeux. Elle avait été tellement inquiète.
Alors elle s'éloigna, afin de trouver un verre d'eau. L'infirmière qu'elle avait vut entré dans la chambre vint alors la chercher.

Raphaël toqua précoscieunesement a la porte. Elle avait secher ses larmes mais ses yeux étaient encore legerement brillant, elle entendit une legère voix et entra donc, un sourire sur le visage.

Il était étendu sur le lit, torse nue, mais recouvert pour la plupart de pansage. Elle avait redouter cette vision. Mais il était vivant. Elle referma la porte et s'approcha.

"Tu nous as fait une de ces peurs..."

Nous... elle aurait put dire "m'as" mais elle avait preferer generalisé sa pensée. Elle déposa un paquet sur la table de nuit, avant de s'assoir sur le bord du lit.

"Tient, c'est de la part de tes collègues; mais ils sont rentrer chez eux depuis."

Elle as la gorge serrer, mais tient a ne pas le montrer, même si cela semble difficile.

Invité

Elle entre lentement dans la chambre, je ne sais pas si elle a pleuré mais ses yeux brillent. Elle a un paquet à la main, elle s'approche lentement et s'assied au bord du lit. Elle dit que je leur ai fait peur, ce qui me tire un immense sourire. Je tends mon bras blessé et m'empare de sa main et repose la tête sur l'oreiller. Son contact me rassure, j'ai passé une semaine à ses côtés et j'ai comme un malaise en moi quand nous nous séparons.

Elle a posé le paquet sur la table de nuit, je le regarde mais je ne peux pas l'ouvrir. Je porte mon attention sur un sachet de morphine qui est accompagné d'un compte goutte. Je n'arrive jamais à me faire à l'idée que je suis maintenu en vie grâce à une machine... Tandis que je regarde les gouttes s'écouler doucement, je caresse la main de Raph.

Tu sais, j'ai vraiment cru que j'allais mourir et puis... Je ne voulais pas qu'il t'arrive quelque chose... Je... Je te dois la vie.

Je me décide à la regarder, ses yeux qui auparavant me haïssaient sont maintenant ceux d'une amie, ma seule amie... Je souris légèrement puis je passe ma main valide dans les cheveux... Ça me fait penser que la coloration doit toujours être là...

Dis-moi, est-ce que la couleur dans les cheveux me va bien?

Si la réponse est positive, je garde cette couleur, sinon j'attends qu'elle parte. Je regarde le cadeau et me décide enfin à demander si elle peut me l'ouvrir.

Tu pourrais aider un invalide à ouvrir un cadeau?

Je me redresse, une légère douleur vient me rappeler que je suis blessé mais je n'en tiens plus compte. Je suis maintenant le visage au même niveau que Raph... J'ai oublié de lui demander quelque chose.

L'infirmière a dit que tu avais risqué ta vie pour me sauver... C'est vrai?

Je continue de garder sa main en contact avec la mienne... Des flashs reviennent devant mon regard... Cette fois-ci, les images sont plus joyeuses, je suis debout et sur le point d'embrasser une femme, le visage de cette dernière est à moitié recouvert par le châle de la mariée ce qui m'empêche de le voir complètement. Une autre image apparaît, celle de mon père et de ma mère le sourire aux lèvres et les larmes à l'œil. Le flash s'arrête sur cette image.

Je ne sais pas pourquoi ces flash interviennent mais en tout cas c'est un bon signe pour moi...

Invité

Il prend sa main, alors elle la caresse d'un mouvement du pouce. Il semble legerement désamparer alors qu'elle suis son regard. Puis il se décide a parler. Elle acquièce doucement d'un mouvement de tête, avec un sourire quand il bafouille qu'il ne voulait pas qu'il lui arrive quelque chose. Puis c'est negativement qu'elle l'hoche quand il pense lui devoir la vie.

" J'ai fait un massage cardiaque, toi, tu es revenu même blesser pour me chercher. Alors je ne sais pas qui as sauvé la vie de l'autre..."

Il sourit legerement, les paroles ont l'air de le touché. Puis il psse sa main dans ses cheveux, c'est un tic de gars propre sur soit. Puis il pose un question a laquelle elle ne s'attendais pas. Elle le regarde étonné avant de sourire.

"Ca t'enlève ce côté premier de la classe; c'est pas mal. Même si tu es très bien aussi sans."

Il acquièce, avant de lui demander d'ouvrir le paquet. Alors elle retire sa main de la sienne pour ouvrir le paquet. Dedat se trouve 5 ou 6 plaquettes de chocolat, pour tout les gouts, elle en sort une et la lu montre avant de la laisser retomber dedant, puis autre chose attire son attention. Elle sort une boite de dvd sans jaquette, l'ouvre avec sa permission, puis as un sourire qui cache un leger rire avant de lui montrer. Le titre du Dvd laisse tout a presager sur son contenu.... certainnement pour les logues nuits de solitudes. Il parait un peu gener, mais elle reprend sa main pour lui signifier qu'il n'as pas de raison.

Puis il pose une question auquel elle n'as pas franchementenvi de repondre. Son sourire disparait et son regard est plus triste, ele regarde lamentablement les draps du lit, pour eviter de soutenir son regard.

"Ho... elle as surement exagerer."

Elle redresse la tête, mais il ne semble pas convaincu. Cela l'ennui, elle aurait preferer ce contener de cette explication. Mais en même temps, elle n'avait pas envi de se taire. Il lui avait prouver qu'elle pouvais lui faire confiance, et elle aurait trouvé injuste de ne pas lui faire confiace en retour. Elle se rapprocha un peu plus de lui, alors qu'il tenit toujours sa main.

"Tu me promet que tu ne le repetera pas?"

Il acquièce, posant délicatement sa main sur sa joue. Elle as une petite moue qui montre qu'elle hésite encore. Puis elle soupire.

"Tu ne respirait plus quand je suis parvenu a te rejoindre."

Elle prefera passer sous silence le fait qu'elle avait literralement étrangler un homme pour y parvenir.

"Je suis medecin, alors je sais ce qu'il faut faire... Et j'ai fait ce qu'il fallait faire. Tu avait la bouche pleine de sang, et même sans le vouloirj'ai finit par en avaler."

Elle s'arreta un instant, elle ne voulait pas le dire.

"Ca m'as empoisonner... Je suis un vampire... Je suis un Vampire..."

C'était sortit. Elle ferma les yeux un instant, son visage état tiraller entre lasatisfaction et le regret, elle ne savait aps encore si elle avait bien fait. Elle se leva, et s'éloigna un peu de lui, comme par craintre de sa reaction. Il lui demanderait très certainnement le pourquoi et le comment, mais elle ne repondrait pas de suite. Elle se retourna vers lui et le fixa, son visage lui ontra qu'elle était en attente; en attente de son jugement.

Invité

Je la laisse ouvrir le paquet et je souris quand elle sort le chocolat mais je ne pourrais pas vraiment en manger à cause mon problème de rein. Je la remercie puis je la vois regarder un peu plus profondément dans la boîte, un sourire illumine son visage puis elle sort un CD... Je me sens rougir puis elle rigole avant de ranger le disque dans la boîte.

Son sourire se retire quand j'aborde le sujet de l'aide qu'elle m'a apporté et des risques qu'elle a pris. Elle semble vouloir se rabaisser un peu pour cacher quelque chose. Je n'ai pas le temps de lui demander ce qui ne va pas qu'elle me demande de n'en parler à personne.

Promis

Elle m'explique qu'au moment où elle est arrivée,j'étais inconscient et qu'elle m'a fait un massage cardiaque, j'aurais préféré être éveillé à ce moment là mais bon ce n'est pas vraiment grave. La suite est vraiment intéressante, sans le vouloir elle a aspiré du sang qui se trouvait dans ma bouche et qu'elle en a avalé un peu. Je commence à comprendre avant qu'elle m'ait expliqué. Sa main se place sur ma joue et elle confirme mon hypothèse...

Raphaël est une vampire... et elle semble mal le vivre. J'essaie de me lever un peu plus pour la prendre dans mes bras mais elle se lève et s'éloigne de moi. Je me rallonge et la regarde avec un air d'incompréhension... Pourquoi ne pas me l'avoir dit plus tôt?

Raph... Pourquoi tu ne m'en as pas parlé? Tu croyais quand même pas que j'allais te faire la tête ou éviter de te parler à cause de ton patrimoine génétique?

J'aimerais la réconforter, lui montrer que je suis sincère et que je l'apprécie comme elle est, avec ou sans ses attributs de vampire. Je lui tends la main, espérant qu'elle vienne la saisir et qu'elle se rassoit à mes côtés. Mon souffle s'accélère et je crois que je fait une insuffisance respiratoire mais je ne suis pas sûr. Je tourne la tête vers la machine et je vois les chiffres augmenter fortement pour mon rythme cardiaque.

[b]L'infirmière...

Je commence à ravoir le voile noir qui s'empare de ma vue et je retourne dans le noir. J'ai l'impression de me réveille immédiatement, l'infirmière est à côté de moi est règle l'engin avant de me laisser avec Raph.

Invité

Il ne semble pas comprendre... comment aurait-elle put lui expliquer? Il était hybride et fière de l'être; mais elle, elle avait été humaine, et devenir un "tueur" sanguinaire avait été quelque chose de plutôt difficile a vivre. Une boule monta dans sa gorge alors qu'ellerevoyait le visage du dealer les lèvres bleu et boursoufflé, alors qu'elle avait des souvenir de lui souriant, skouattant son appart. Elle avait été incapable de se controler.

"C'est pas ca... Ca fait une semaine que tu me connait, et la seule fois ou tu m'as vut en "crise" c'est quand on as eviter le pire au commicaria. Comment voulait tu que je le dise?"

Ses yeux pleurent, mais son visage reste neutre.

""Ouai salut, je vient d'essayer de buter ton ami, mais j'ai une excuse, je suis une vampire..." Dans les deux semaines je me serait faite descendre..."

Elle n'as pas le temp de poursuivre qu'elle voit Wyrlm la quitter. Elle court a la porte et appele l'infirmière qui débarque aussitôt. Malheuresement, ce n'est pas aussi simple que s'il fallait regler quelques machines... Il s'éttouffait. Elle preta main forte a l'infirmière pour faire passer le tube dans sa groge qui lui permettrait de respirer sans risque.

Elle avala difficilement sa salive. Elle avait rarement pratiquer ce genre de geste, u cela faisait plutot longtemps, elle s'était depuis habituer a l'inerte. Et le voir ainsi lui faisait mal au coeur.

Il revient doucement a lui alors que l'infirmière est repartit, mais toujours prête a revenir. Raphaël se rapprocha du lit et s'assit de nouveau prêt de lui.

"Ca ne va pas être agreable, n'essai pas de parler, tu te fera mal..."

Il la regarde, mais ne parle pas comme elle le lui as conseiller. Elle le regarde, et passe une main dans les mèches de ses cheveux pour lui dégager le visage.

"Tu es la première personne a être au courant..."

Elle le fixe encore un instant, avant de basculer, et de poser sa tête sur son épaule valide, tout en prenant soin de ne pas appuyer sur ses blessures.

Invité

Quand je reviens réellement à moi, Raph me conseille de ne pas parler afin que je ne me fasse pas mal. J'acquièce de la tête et je la regarde, elle semble triste. La mèche de cheveux rouges vient se placer devant mes yeux et Raphaël vient me l'enlever puis elle pose sa tête sur mon épaule, signe d'affection très rare. Je passe mon bras valide autour de sa taille et la serre contre moi. Je l'embrasse doucement sur la tête avant de rompre le contact

Elle avoue que je suis la seule personne à qui elle dit ça ce qui, d'une certaine façon me touche car c'est une preuve de confiance. Je la regarde et réfléchit à une façon de communiquer. Je cherche autour de moi et mon regard se pose sur mon portable... je le désigne de la main valide et essaie de lui faire comprendre que j'aimerais le prendre.

Fort heureusement elle comprend le message et me le tend. Je le prends gentillement des mains et commence à écrire ma réponse le plus rapidement possible. Une fois cela écrit, je lui montre l'écran du portable.

Ça me fait plaisir que tu me fasse confiance...Mais pour moi cela ne change rien.

Une fois que je fus sûr qu'elle avait fini de le lire, j'entamais d'écrire la suite. Ce système de communication m'arrange d'une certain façon car je m'exprime plus facilement à l'écrit qu'à l'oral. Je continue d'écrire et je me rends compte qu'elle m'a souvent sauvé la vie... Et je devrais la remercier d'une façon ou d'une autre. Je lui tends une fois de plus le portable.

Tu crois que l'on continuera à se voir? Je ne veux pas que nous ayons établi une relation et qu'elle ne serve que pour une mission de police... Surtout que je vais être en convalescence pour un petit moment vu comme je suis parti.... Je voulais que tu saches... Tu es ma première véritable amie et je ne veux pas te perdre.

Je la regarde en attendant sa réponse.Jai été sincère pendant cette semaine et je veux savoir si elle aussi

Invité

Il l'embrasse sur le front, comme l'aurait fait un frère, ou plutot comme l'aurait fait SON frère... Ce contact est a la fois plaisant et déroutant, au vut de la constatation. Elle finit par se redresser, alors qu'il lui désignait du doigt son portable; elle se pencha pour l'attraper et lui donna. Il se mit alors a ecrire dessus. Elle attendait de pouvoir lire, et le silence a ce moment était legerement pesant.

Il lui tendit, le petit bijoux de technologie; elle eut un faible sourire en lisant. Cela ne changeait rien? il se trompait... Cela changeait beaucoup de chose, et pour tout le monde.

"Un jour je t'expliquerait, et tu comprendras."

Elle n'avait pas envi de faire cela maintenant, il était la couché, et commencer un monologue ne lui disait guère. Il se remet a ecrire frénétiquement. Elle croit un instant qu'il va essayer d'argumenter le fait que cela ne change rien, mais non, il as décider de changer de sujet, ce qui etait d'ailleur la meilleur chose a faire.

Elle hausse les soucils un instant, cette déclaration d'amitier était touchante, mais ce genre de passage d'emotion effusifs n'étaient pas trop son truc. De plus, elle avait du mal a croire la fin du discours. C'était un type sympa et plutot bien foutu, elle doutait réellement qu'il n'ai personne d'autre. Elle eut un faible pouffement, comme meller legerement d'ironie.

"Tu veux savoir si tu pourra toujours skouatter mon appartementet mes talents de cuisinières?"

Elle sourit alors, mais n'ajoute rien. Il as sa réponse. Elle n'était pas rester pour le veiller par simple compassion; si elle était rester, c'est bien qu'lle se faisait du soucis pour lui, et par conséquent qu'elle l'appréciait.

La porte s'ouvrit, et elle sursauta, avant de se retourner. L'infirmière était revenu.

"L'heure des visites est terminé. Vous devriez rentrez chez vous. Et il as besoin de repos."

"Je peut rester encore un peu? Enfin si tu veux bien..."

A la fin de sa phrase, elle avait tourné le regard vers Wyrlm, puisquec'était le principal interesser.

Invité

Je l'écoute me répondre et je vois que ma déclaration d'amitié la fait sourire, ce qui me fait sourire aussi. Puis elle invente une raison pour mon envie de rester chez elle. Je lève les yeux au ciel et je hoche négativement la tête. L'infirmière arrive dans la chambre et cela fait sursauter Raph.

"L'heure des visites est terminé. Vous devriez rentrez chez vous. Et il as besoin de repos."

Je préfèrerais que Raphaël reste avec moi cette nuit... Je me vois mal passer la nuit à l'hôpital... Seul... Elle me demande si je souhaite qu'elle reste. Je hoche positivement la tête avant de prendre le portable et d'écrire frénétiquement sur les touches.

Si ça ne te gêne pas, je préférerais que tu dormes ici cette nuit...

Je lui tends le portable et la regarde. Puis je regarde l'infirmière et lui indique qu'elle reste encore un peu avec moi. L'infirmière nous regarde puis quitte la chambre. Je me redresse un peu et je prends sa main de mon bras valide.. Je prends le téléphone et j'essaie d'écrire de la main droite, celle où mon épaule est blessée... Je commence à écrire une fois de plus tout en la regardant.

Pourquoi est-ce que j'ai l'impression que tu ne me crois pas sur le fait que tu es ma seule véritable amie?

Je me redresse, lui tend le portable et en même temps que je lui donne, je dépose un baiser sur sa joue.Une fois qu'elle a lu, je le reprends et je commence à écrire autre chose.

Dis... est-ce que tu peux m'expliquer comment tu es devenue... Une vampire?

Je crains que cette question la gêne un peu ou même qu'elle le prenne mal donc j'hésite à lui tendre le portable puis finalement je lui donne, un regard un peu triste se dessinant sur mon visage.

Invité

Il affirme qu'il prefère la voir rester la pour la nuit. Elle sourit alors puis fixa l'infirmière. Celle-ci ne semblait pas apprécier qu'on veuile déroger aux règles; mais Raphaël la regarda un moment, et comme ci une vague de compassion l'avait atteinte, elle avait finit par accepter, et quitte la salle. Alors que Raphaël regardait encore la porte, Wyrlm s'est redresser et as attraper sa main, elle se retourne alors, il ecrit toujours. Il ne regarde même pas son clavier; il doit être habituer...

Il se redresse vers elle, et lui donne le portable, puis dépose un baiser sur sa joue, elle est legerement surprise sur l'instant. Ce n'est pas un comportement courant, et pas plus entre ami, ou du moins c'était sa vision des choses. Elle lut avant de lui rendre. Puis haussa les épaules, sans réponse, mais pensant tout bas que c'était probablement parce que c'état vrai. Elle eut un faible sourire.

Il hésite cette fois ci, et puis finit par lui poser LA question. Elle eut unegrimace.

"Ha..."

Il semble legerement triste, mais elle ne sais pas pourquoi et soupire brievement.

"Ca fait plus de deux ans, mais je ne saurais plus te dire au jours prêt. J'immagine quand cherchant la date de mon entrée a l'hopitale on doit le avoir."

Elle cherche legerement ses mots, car même si elle est décidé a lui repondre, dire toute la vérité ne lui as jamais apporter que des ennuis, alors elle evitera le sujet qui fache...

"Aaron... Mon compagnon, était un Vampire. Pas au début, mais il l'est devenu; et il as eut des problèmes. Il ne sortait plus, c'était a peine s'il osait se présenter a la fenetre. Je croit qu'il avait terriblement peur de ce qui pouvais se trouver dehors, ou plutot de qui pouvais s'y trouver. Un jour a problème comme de nombreux autres... J'ai fait une overdose, et je crois que je serait morte s'il ne m'avait pas faite a son tour. Ce n'était pas un cadeau; mais au moins la preuve de ses sentiments."

Elle redressa son regard vers Wyrlm.

"Il as vaincu sa peur, et il est sortit, pour moi. Il est mort deux jours plus tard. Il as été assassiné, et la manière dont cela a été fait, m'as fait comprendre pourquoi il ne sortait plus. Ils l'ont massacrer...."

Elle déglutit difficilement a ce moment, se souvenant des restes qu'elle avait dut identifier. Quelques larmes s'accrochèrent a ses yeux.

"Il aurait été brulé vif, puis ont la crucifier avant de le pendre par les pieds..."

Un leger silence.

"Tu comprend mieu pourquoi le "resencement" me degoute..."

Un couinnement s'échappe de sa bouche, et elle se lève, place ses mains sur son visage et se dirige a la fenetre.

"Je suis désolé."

Elle se retourne.

"Je ne veux plus jamais vivre ca, que ce soit moi ou un autre... Combien d'hybride mutilé ou de Vampire je trouve sur ma table d'autopsie? Si Paris est une ville d'acceuil, alors je n'ose pas imaginer ce que c'est ailleur..."

Invité

Elle commence à me raconter son histoire, ainsi son ancien copain était un vampire... Puis elle éclate en sanglot avant de se diriger vers la fenêtre.Je la regarde quelques instants avant de détourner la tête, je n'aime pas respirer à travers cet appareil,je porte ma main valide à ma bouche et je retire lentement le tube. Je fais un son un peu rauque pour que Raph vienne m'aider, ce qu'elle fait sans aucune hésitation malgré les larmes qui coulent sur son visage.

Une fois le plastique extrait de ma gorge, je passe un bras autour de son corps et je la serre du mieux que je peux contre moi, faisant abstraction de la douleur tant la sienne doit être immense. Je chuchote à son oreille pour essayer de la réconforter comme le faisait ma mère après que j'ai fait un cauchemar.

Allez Allez Allez, ça va aller. Je suis désolé pour Aaron... Je comprends mieux ton aversion pour ce recensement.

Je l'embrasse tendrement sur le front et lui caresse tout aussi tendrement les cheveux. Je regrette d'être scotché à ce lit, ne pas pouvoir bougé me stresse. Je comprends qu'elle ne veuille pas être recensé et je ne l'y obligerais pas. Je pense que si j'avais été elle, j'aurais exterminé les hommes qui ont fait ceci à son ancien copain. Je ne peux malheureusement rien faire dans ce genre de situation.

Mon regard se dirige vers la fenêtre, dehors le soleil finit sa lente course pour laisser place à la lune et à l'obscurité nocturne. Le crépuscule va laisser place à la nuit. La lumière aux ténèbres. Et demain tout recommencera comme tout les jours. Ce cycle se répètera indéfiniment jusqu'au jour où l'astre du jour décidera que sa vie est terminée et que le monde pourra continuer de vivre sans lui. Malgré tout les malheurs qui nous arrive, nous ne représentons rien comparé à l'immensité de l'univers...

[b]Je crois qu'il vaut vraiment mieux que tu passes la nuit ici... Non?(/b]

Je m'arrête quelques secondes afin d'écouter ma voix, elle est devenue un peu plus rauque ce qui est un peu gênant à dire vrai. Raphaël continue de sangloter pendant quelques secondes et je ne relâche pas mon étreinte sur elle.

Invité

Elle entend quelques son gutural et s'apercoit que Wyrlm est en train de tenter de retirer le tuyau de sa gorge. Il ne devrait pas, mais elle l'aide, avant qu'il ne se blesse.

Il la serre alors contre lui, et murmure des paroles réconfortantes. Mais cela ne peut appaiser la douleur concevé depuis si longtemps. En fin de compte, c'était peut être salutaire d'avoir une épaule sur laquelle pouvoir pleuré sincerement, sans mensonge, et donc sans retenue.

Dans ses bras, elle as l'impression d'être dans ceux d'Aaron, ce qui ne l'aide pas en fin de compte, a se calmer. Les étoiles viennent s'accrocher dans le ciel, comme de la peinture qu'on aurait projeter sur un mur, pour veiller le songe des vivants. Un déssin animé qu'elle affectionnait disait que les étoiles sont les esprits des morts qui veillent sur nous. Elle aimait cette idée.

"Je crois qu'il vaut vraiment mieux que tu passes la nuit ici... Non?"

Elle était toujours dans ses bras, et hocha affirmativement la tête. S'il ne voulait pas rester seul, elle ne le souhait pas non plus. Les derniers evenemnts avaient trop été chargé en emotion our qu'elle puisse s'y résoudre. Et par dessous tout, elle avait peur de ce que ses songes, une fois qu'elle serait endormie pourraiet lui montrer. Cela faisait déja deux nuit qu'elle cauchemardait, au point de ne plus vouloir s'endormir. Dans ses rêves, c'était l'homme qu'elle avait tuer qui l'étranglait, et la sensation de suffocation qui l'accompagnait était loin d'être agréable.

Ses sanglots diminuèrent jusqu'a disparaitre avec le temps qui avancait. Elle aurait put décider de se relever, mais ses bras lui offrait une securité qu'elle n'avait plus trouver ailleur depuis l'intervention, et la confiance qu'elle avait en lui y était certainnement pour beaucoup.Alors qu'il carressait toujours ses cheveux, elle fini par s'endormir les yeux humides, contre lui.

Invité

Je reste dans cette position pendant une dizaine de minutes après qu'elle ait hoché la tête pour me confirmer qu'elle restait ici pour la nuit. Je continue de lui caresser les cheveux et elle se calme. Au bout de cinq ou six minutes, elle s'endort tranquillement. Je sens sa respiration s'apaiser puis se stabiliser à un rythme lent. Je lui dépose un baiser sur le haut du crâne puis je pose ma tête contre la sienne, cherchant le sommeil.

Sommeil qui ne vint pas tout de suite, ce qui me laissa le temps de réfléchir à la suite des évènement, je pense que je vais rester à l'hôpital pendant encore deux ou trois jours si ce n'est plus. Je sens que ça va être long. Je laisse mon regard passer d'un détail à un autre puis finalement s'arrêter sur le compte-goutte. Je ferme finalement les yeux et m'endort calmement au rythme de la machine.

Mon sommeil fût plus calme que ces derniers temps, ni rêve, ni cauchemar et aucun signe d'un quelconque flash. Je me réveille le lendemain matin à cause d'une douleur dans l'épaule. Je suis dans la même position que la veille et mon regard aussi. Je comprends rapidement que la pochette d'anesthésiant est vide. Je cherche du bras le bouton pour appeler l'infirmière tout en évitant de réveiller Raph qui est toujours contre moi. J'attrape le bouton et le presse une unique fois. Je me remets en place en attendant l'arrivée de l'infirmière.

Bonjour Mademoiselle, j'ai fait sonné l'alarme car il n'y a plus d'anesthésiant...

Elle me regarde puis regarde la machine. Elle quitte la pièce et revient avec des pochettes d'un produit qui me semble être de la morphine.

Vous avez bien dormi? Je vois que votre amie a passé la nuit ici... Vous êtes ensemble?

Elle chuchote pour laisser raph se reposer et je lui répond à la même hauteur de ton.

Non... C'est une amie qui s'inquiétait vraiment pour moi mais nous ne sommes pas ensemble.

J'offre un grand sourire à l'infirmière et j'attends qu'elle parte. Je me mets dans une position plus confortable que celle actuelle. Je bouge lentement, très lentement et je me cale dans une position semi-assise en attendant qu'elle se réveille.

Invité

Elle fut prise de tremblement plusieurs fois dans la nuit, mais sans se reveiller. Alors qu'elle dormait encore, elle entendit des voix qui se mellait a ses songes. Elle ne les comprenaient pas, ou du moins cela ne laissa pas de trace dans son esprit, mais finit par la tirer doucement du sommeil.
Elle sent quelque chose de chaud et doux sous sa joue, et met encore quelques secondes a réalisé que c'est le torse de Wyrlm.

Elle se redresse d'un coup, comme surprise de se trouver encore la, et sa tête vient heurté l'espèce de poigner qui permet au malade de se redresser a la force de son bras, et se replit tout de suite. Reveil difficile...

"Ouch..."

Elle as placé ses mains sur sa tete alors qu'elle se soulève doucement pour ne pas lui faire mal, se souvenant qu'elle s'était endormit la. Ses yeux la brulaient legerement, c'était de sa faute, elle n'avait cas as pleurer avant de dormir... Ses muscles lui faisaient mal, et elle crut un instant ne plus pouvoir bougrle bras droit sur lequel elle avait été appuyer. Puis c'était une sensation de fourmillement très désagréable qui avait pris place, alors que le sang redescendait dans le membre. Elle le secoua comme si cela pouvais l'aider. Avant d'offrir au convalescant un leger sourire.

"Tu aura dut me reveiller, ca n'as pas dut être confortable... J'espère au moins que je ne t'ai pas fait mal..."

Son regard était désolé. Le soleil luisait de nouveau par la fenêtre et faisait legerement briller ses joues ou le sel de ses larmes était rester accrocher.

La porte grinca de nouveau, et l'infirmie parut deux gobelets a la main.

"Vous êtes reveillée. Tenez..."

Elle lui tendit un des gobelets d'ou s'échappait de la fumée. Le liquide noir lui appris que c'était du café. Elle a remercia d'un signe de tête.

"Et pour vous, c'est eau. Il faut boire beaucoup, si vous ne voulez pas avoir de problème avec vos reins."

Elle se redirigea vers la sortie, alors que Raphaël semblait interlocquer. Elle n'était pas au courant.

"Je repasserait plus tard pour vos pansement. Quand mademoiselle sera partie..."

Raph acquièce de la tête, et l'infirmière quitte la pièce. Puis elle retourne son visage, les sourcils froncés vers Wyrlm.

"Qu'est-ce qu'elle voulait dire?"

Invité

Raph se réveille en sursaut ce qui me fait peur à moi aussi. Elle se prend la poignet se situant à quelques centimètres de sa tête. Je rigole quelques instants avant de la laisser se lever doucement. Elle croit m'avoir fait mal... Je lui jette un regard interrogateur. Je sais que je suis blessé mais je vais pas mourir parce qu'une jeune fille dort sur ma poitrine...

L'infirmière entre doucement dans la pièce, deux gobelets dans les mains. Elle en tend un à Raphaël et l'autre dans ma direction. Je m'en empare et fait une tête un epu triste quand je vois de l'eau et non pas du café comme Raph...

"Et pour vous, c'est eau. Il faut boire beaucoup, si vous ne voulez pas avoir de problème avec vos reins."

J'acquiesce d'un signe de tête avant de boire l'eau d'une traite. L'infirmière quitte la salle avant de m'avertir qu'elle repassera pour changer les pansements quand Raph sera partie.

Vous savez, elle peut rester...

Je n'ai pas envie de passer une journée tout seul à ne rien faire... Je regarde le gobelet vide alors que Raph me demande des explications...Je me tourne vers elle et commence à lui expliquer.

Et bien... Quand l'homme de main a tiré une rafale, il a vidé son chargeur... Bien que la majorité des balles n'ont rien fait de grave, quelques-unes ont fait des dommages assez importants... Un de mes reins est inactif, car une balle l'a transpercé... Ce qui fait que je dois suivre un régime rigoureux.

J'aimerais tellement quitter ce lit et marcher un peu... Je joue avec les gouttes d'eau qui se trouvent au fond du verre. Je me demande ce que je vais faire pendant ma convalescence...

Dis... Tu ne travailles pas? Ca va semble bizarre mais je ne veux pas me retrouver seul ici... Je ne veux pas que tu partes...

Invité

Elle remarque son air legerement decu, mais ne dit rien jusqu'a ce qu'il lui reponde. Avant cela il indique a l'infirmière que Raph peut rester, mais celleci fait une moue. Raph le laissera seul le temps de ce changement, car même s'ils avaient vecut de mnière très proch durant une semaine, elle ne voulait pas se montrer intrusive dans son intimité.

Il lui expliqua alors le pourquoi de la chose. Un balle lui avait traversé un rein... elle n'osait même pas immaginné la douleur. Elle se rpprocha un peu.

"Tu sais, il y a des tas de gens qui ont un rein infonctionnel et qui vivent très bien. Après ca demande un peu de rigueur, mais ca se fait très bien."

Elle souhaitait se montrer rassurante, d'autant plus qu'elle croyait en ce qu'elle disait. Lui jouait avec son verre, et semblait regarder l'exterieur avec envie.

"Dis... Tu ne travailles pas? Ca va semble bizarre mais je ne veux pas me retrouver seul ici... Je ne veux pas que tu partes..."

Elle le regarda legerement étonné de sa déclaration. Il ne voulait aps qu'elle parte? Elle sourit legerement, cela la touchait au fond, même si elle ne se l'avouait pas.

"Mon patron m'as viré. Il m'as dit qu'il ne voulait plus me voir avant au moins une semaines. Je croit que je l'ai vexer en ne le mettant pas au courant. Enfin, je suis en vacances forcés quoi. Je doit avouer que ca m'arrange... C'et lui qui s'occupe de l'autopsie des dealers de l'autre jours... et je doit avouer que j'aurait trouver gauque de le faire...."

Et surtout, elle ne voulait pas constater devant tous, que c'était bien elle qui l'avait étrangler, même si tout le monde le savait, sauf peut être Wyrlm qui était déja dans le brouillard.

Elle vint s'assoir pret de lui.

"Je n'ai pas le droit de rester constament ici, je vais finir par me faire jetter a coup de pied sinon. Déja que dormir ici ne m'aurait pas été autorisé..."

Elle voyait déja son visage triste, elle soupira un instant.

"En même temps, les règles ne m'ont jamais empecher de faire ce que je voulait, non?"

Elle eut un leger sourire. Cela l'amusait. Il était policier et elle avouait ouvertement qu'elle se fichait pas mal de ce qu'on pouvais lui intimer. D'un autre côté, elle savait qu'il ne dirait rien, car en l'occurance, cela l'arragerait.

"Je vais quand même rentrer, histoire de me changer. Ca fait deux jours que je suis la, hier j'ai dormit dans le couloirs; alors ca me fera pas de mal. Tu veux peut être que je te rapporte quelque chose? Que je previenne quelqu'un?"

Invité

La tête commence à tourner à cause de la fatigue mais je continue d'écouter Raph... Virée?!? C'est pas un jugement très cool venant d'un patron... Je comprends qu'il s'inquiète pour son employée mais bon au point de la forcer à se reposer c'est quand même un peu abusé. Des questions commencent à se créer dans mon esprit mais je n'ai pas le temps de les lui poser. Elle vient s'asseoir à côté de moi et j'en profite pour dégager une mèche de cheveux qui tombe devant ses yeux, m'empêchant de plonger dans son regard.

Elle commence à argumenter sur le fait que les règles ne l'atteignent pas, ce qui n'est pas faux. Là elle m'achève en me disant qu'elle va me quitter pour aller se changer... Je la regarde avec un air triste avant de céder.

Euh... Si tu peux me ramener des vêtements ça sera sympa... Sinon... Et bien je n'ai personne à avertir à part mes parents mais je préfère qu'ils ne se fassent pas de souci.

Je dépose un baiser sur sa joue et je la laisse quitter la pièce.

Au fait, tu peux dire à l'infirmière de venir pour les pansements? Tu seras... un ange

Elle quitte la pièce, me laissant seul pendant une petite minute jusqu'à ce que l'infirmière arrive. Elle retire les pansements qui commencent à dater un peu... Puis elle nettoie les plaies. Du regard, je compte une vingtaine de traces sur mon torse, ce qui me désole un peu... Elle désinfecte un peu les plaies puis commence à m'enrouler dans du sparadrap tout neuf. Elle quitte la pièce et me laisse seul avec mes pensées. Une question un peu gênante a germé dans ma tête quand elle a dit que ce serait glauque de faire une autopsie des cadavres du dealer qui a été tué. Je ne sais pas pourquoi mais je crois qu'elle s'est libérée elle-même de l'étreinte de son adversaire. Je penserais à le lui demander quand elle reviendra. Je soupire bruyamment avant de m'endormir afin de rattraper le sommeil que j'ai en retard et surtout à cause de l'anesthésiant...

Invité

Il as l'air fatigué. Et en plus de lui permettre de se rafraichir, cela permettrait à Wyrlm de se reposer un peu ce qui ne pourrait que lui être profitable. Même s'il allait bien, ce qu'il avait subit était trop grave pour qu'on s'amuse a le fatiguer abusivement.

Il semble legerement triste quand elle lui annonce qu'elle s'absente. Elle sourit legerement; elle as du mal a comprendre ce qui le rend si triste. C'était peut être dut aux medicament... Il veut des vetements. Elle acquièce, mais il semble qu'il ne veuille prevenir personne, même ses parents.

"Tu sais, je n'ai pas de très bon rapport avec mes parents, pour ne pas dire aucun rapport. Mais sur les photos que j'ai vut chez toi, vous semblez proches. Je croit qu'ils se feront plus de soucis si tu ne le leur dit pas. Tu va bien, alors il n'y as pas de raison qu'ils s'en fasse."

Il n'as pas l'air convaincu, de toute facon, elle sais très bien qu'il le veuille ou non, elle le fera, si jamais le trouve leur numero.

"Je passe chez moi, puis chez toi pour tes affaires. Avec les embouteillages, j'en ai pour trois bonnes heures je pense. Tu survivra."

Elle lui sourit. Il dépose un baiser sur sa joue, avant de la laisser partir. Elle en dépose un sur son front, avant de recuperer les clefs de l'appartement de Wyrlm pour pouvoir allez chercher ses affaires.

Il lui demande avant qu'elle sorte d'appeler l'infirmière, elle acquièce de la tête et sourit, elle n'était pas sur que le qualificatif qu'il avait employer soit très adapter a sa personne.

"Fait pas cette tête, je revient vite."

Puis finit par quitter la pièce. Elle alla trouvé l'infirmière qui pourrait aller faire ce qu'elle avait a faire et quitta l'hopital. Elle passa rapidement chez elle afin de se remettre sur pied. Elle se doucha et changea, passa une chemise simple, mais qui laissait voyante les marques sur son cou.
Elle ne s'attarda pas, elle voulait avoir le temps de fouiller et de trouver ce qu'elle cherchait chez Wyrlm. La culpabilité la rongeait, mais probablement pas pour très longtemps. Elle trouva rapidement ses affaires qu'elle enfourna dans un sac, puis s'attarda un peu dans les lieux.

Ele fouilla une dizaine de minutes puis finit par trouver ce qu'ele cherchait: le numero de ses parents. Elle décrocha le telephone de Wyrlm puis composa le numero. Se retrouvr au bout du fil avec des gens qu'elle ne connaissait absoluemet pas l'angoissait legerement. Quelqu'un decrocha, un homme il sembla, et commenca a parler dans un languagequ'elle étit incapable de comprendre, chinois ou Japonais très probablement au vut des origines de Wyrlm.

"Euh... Excusez moi, suis-je bien chez Monsieur Alessa."

La réponse fut affiramative, mais après quelques mots, elle finit par comprendre qu'il ne parlait pas bien francais au contraire de son fils, et semblat paniquer a l'idée que sn fils ai eut un accident, mais elle ne parvenait pas alui faire comprendre que ce n'était pas grave.
Elle chercha un instant, puis finit par s'exprimer en anglais, langue universelle et qu'elle maitrisait parfaitement pour être sa langue natale.

Elle put expliquer a sa famille qu'elle était une amie de Wylrm, qu'il était a l'hopital mais qu'il allait bien mise a part la fatigue, et aussi contrairement aux intentions du couple parentale, qu'il n'était pas utiles qu'is viennent, dans la mesure ou elle les avait prevenu contre l'avis de leur fils.
Ils la remercière finalement et ele put raccrocher. Elle soupira, legerement stresser. Elle esperait ne pas avoir fait une bétise, et surtout qu'il ne lui en voudrait pas.

Elle reposa tout ce qu'elle avait utilisé a sa place avant de quitter les lieux et de retourner a l'hopital. Cela lui avait pris un peu plus de temps que prévut, mais quand elle entra dans la chambre; il dormait. Elle l'observa quelques instants; il semblait si paisible; puis s'assit en face du lit, un des nombreux livres qu'elle lui avait rammener a la main.

Quand il ouvrit les yeux, elle abaissa son livre.

"Bien dormit?"

Invité

Quand je me réveille, Raphaël est en train de lire en face de moi. J'ouvre lentement les yeux et les garde à semi fermé à cause de la lumière qui pénètre dans la chambre d'hôpital. Je me frotte doucement les yeux et je regarde Raphaël quelques instants. elle ne semble pas avoir remarqué que je m'étais réveillé. Pour qu'elle l'entende, je m'étire lentement et je fais se froisser les draps. Elle quitte le livre des yeux et me regarde. Je lui fais un léger signe de la main droite ce qui me tire un léger rictus de douleur

"Bien dormi?"

Je hoche affirmativement la tête avant de lui répondre oralement.

Oui...

Je crois qu'il serait temps que je lui pose la question qui me gêne. Je me frotte la tête et j'aborde le sujet.

J'ai une question à te poser... Je me demandais comment tu avais réussi à te libérer de la prise de l'homme de main? Parce que quand je suis arrivé, les autres policiers étaient trop loin pour pouvoir intervenir immédiatement... Tu n'as pas omis un détail par hasard?

Je sens que j'ai fait une bétîse mais il est trop tard pour revenir en arrière et puis elle comprendra mon indiscrétion...

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