Hybrid Parisiorum - ou quand le mythe devient réalité...
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Forum RPG futuriste se déroulant dans la ville de Paris.
 
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 Tout en finesse... [Le macho play boy]

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Tiphanie Daussure

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MessageSujet: Tout en finesse... [Le macho play boy]   Tout en finesse... [Le macho play boy] I_icon_minitimeJeu 4 Aoû 2011 - 4:43

La mission était simple, entré dans un immeuble et récupéré des données sur une entreprise qui était soupçonner d’être une société écran pour un réseau d’aide au hybrides, simple non ?
Enfin simple quand on était seul, mais comme d’habitude j’allais avoir un équipier et pas forcément quelqu’un qui avait l’habitude de se genre de mission. Il fallait donc tout préparé a la seconde près pour que tout se passe sans encombre. Si le travail était bien fait il n’y aurait pas de trace de notre passage.

Dans cette optique j’avais soigneusement étudié les plans des locaux de la société, et surtout le système de sécurité. S’était toute de même une grosse entreprise, avec système de vidéo surveillance, et détecteur de mouvement et d’ouverture des portes, surtout celle de l’ascenseur. Pour corser encore un peu plus la difficulté un vigil passait dans les couloirs pour être sur que personne ne puisse entrer. Sa présence n’était pas détectée comme une intrusion par le système de sécurité car son badge contenait un petit émetteur qui indiquait qu’il n’était pas un danger, et s’était là, la faille que j’allais utiliser.

La veille de ma mission j’étais entré dans le bâtiment, mon moyen d’entré : un entretient d’embauche bidon de toute façon je n’avais pas les qualifications pour bosser dans ce genre d’endroit. Mais comme je l’avais dit, ce n’était qu’un prétexte mon vrai but était de laisser de quoi provoquer un bug informatique programmer. Le but était tout simplement de modifier le programme pour qu’il reconnaisse le vigil comme un intrus. Ceci déclenchera le système d’alarme, le concierge voyant que c’est un bug de merde appellera la société de maintenance sans savoir que l’appel aura été redirigé vers un portable. Du coup quand mon équipier et moi arriverions sur les lieux le système de sécurité sera en parti couper et ils croiront que nous sommes envoyés pour résoudre leur problème. Sur le papier s’était parfait…



- oOo –



« Je répète que tu ne devrais pas y aller… C’est trop de risques pour pas grand-chose. »

Nathaël dans son rôle de grand frère poule, il était très convaincant, enfin je devrais plutôt dire était, il y avait des années que son numéro ne faisait plus effet, d’ailleurs avait-il réellement fait effet un jour ? J’en doute, vu la quantité astronomique de bêtise que j’avais bien pu faire. Si je l’écoutais je resterais éternellement dans sa boutique à faire ses comptes. La boutique s’étais son dada, mais vraiment le mien, il était vraie que les vieux objet je trouvais ça intéressant, mais pas aussi fascinant que lui. Je ne vivais réellement que par l’accord que j’avais passé avec mes grands-parents.
Pour seul réponse Natahël avait eu le droit à un regard las tandis que je glissais des seringues de tranquillisant dans une pochette accroché à ma ceinture. Mon but n’était pas de tuer et tant que l’on ne m’en donnait pas l’ordre je ne prenais pas des mesures aussi radicales, sauf si s’était inévitable bien sur. Mon but était d’être le plus discrète possible et un corps s’étais loin d’être discret.


« Arrête j’ai tout fait pour que ça se passe bien. Fait un peu confiance a mes capacités, je suis douer pour autre chose que ta barbante comptabilité tu sais. »

Je refermais la porte derrière nous, puis filait vers le lieu de rendez vous. Avec la légère point d’appréhension que j’avais a chaque début de mission je regardais ma montre, 21h03 il y avait encore un peu de temps avant que le système de sécurité ne bug il n’y avais pas vraiment lieu de se presser, surtout que la personne avec qui j’allais faire équipe était normalement briefé sur la mission, pas besoin de lui faire un topo.

Les lieux où je devais retrouver la deuxième partie du binôme était un utilitaire, et oui un voiture genre camionnette d’entreprise, elle était garé à a peine un pâté de maison de l’entreprise, c’est moi qui avait les clés, si l’autre était déjà là il allait devoir attendre. Bête pour lui n’est-il pas ?
On nous avait donné le model de véhicule et son immatriculation, dur de se tromper, surtout qu’il n’y en avait pas trente six comme celle là dans le quartier.
J’étais la première arrivée, en même temps j’avais un peu d’avance sur l’heure de rendez vous indiquer. Ce n’était pas plus mal en faite, cela m’avait permis de vérifier que j’avais bien tout, disque dur externe, clé comprenant le programme d’alarme intacte, gadget permettant de cracker les mots de passe, portables, seringues, couteaux… Oui j’avais beau ne pas être pour tuer à tout bout de champs j’avais quand même de quoi me défendre un peu plus vindicativement.
La seule chose qui me manquait du coup s’était le coéquipier, ou la coéquipière. Mais une silhouette ne tarda pas à s’approcher. Elle avait un petit air de déjà vu avec ses épaules larges. Déjà je pouvais dire que s’était un homme, ou si ce n’était pas le cas il fallait conseiller à la demoiselle de réduire la dose se stéroïdes s’était pas bon pour la santé.
Occuper a dire à mon frère d’arrêter de me harceler de message et d’aller trouver une occupation plus constructive, je ne vis mon binôme que quand il fut assit a côté, a la place du mort… Et j’avoue que … j’aurais préféré quelqu’un d’autre.
Ces cheveux blancs, ces yeux bleus, ce style de minet, je ne les avais que trop vu.


« J’avais oublié que nous comptions des membres de boys bande dans nos rang, vous n’avez pas peur de vous casser un ongle ? »

Je consens que ce que je venais de dire était au delà du vexant et l’extrême limite du correcte, mais il en savait trop sur moi pour que je permette d’être plus agréable.
Le fait que l’on me l’a collé comme équipier m’inquiétait un peu, en faire j’avais peur qu’il ne flingue tout ce qui bouge, un peu plus anxieuse que d’habitude (sans qu’il ne puisse desseller que quelque chose m’inquiétais) je regardais ma montre, on avait encore du temps. J’allais donc réexpliquer a mon cher et estimer collègue du soir la mission.


« Je vous la faire court, de toute façon je doute que rentré dans les détails ça vous intéresse. Le but de ce soir c’est d’aller vider le disque dur du boss de l’entreprise parce qu’il est soupçonne de se service de sa société comme écran pour couvrir un réseau d’aides au hybrides. Et aussi accessoirement de lui piquer tout ce qui pourrais être suspect et en rapport avec l’activité soupçonnée.
Donc, pour ça je vais provoquer un bug informatique qui vas faire que le système de sécurité vas s’enclencher alors qu’il ne devrait pas. Voyant ça les mecs qui surveillent le bâtiment la nuit vont appeler la société de maintenance de l’alarme, enfin ça c’est ce qu’ils croirons parce que j’ai fait en sorte que l’appel soit rediriger vers un portable, en l’occurrence celui là… »


J’en profitais pour monter un portable à moitié détruit, mon ancien portable il avait fait une malencontreuse chute depuis mon appartement au premier étage, mais il marchait encore du tonner, il était juste moins beau. De toute façon il était prévu pour ne recevoir que cet appel après la carte sim allait être bazardée.

« Si vous avez suivi le principe est simple : nous entrons en nous faisant passer pour des employer de l’entreprise de maintenance et nous récupérons ce qu’on a récupéré nous réparons leur alarme foireuse, parce qu’en faite le bug est minime, et nous repartons comme si nous étions jamais entré.
Et pas besoin de tuer qui que ce soit, tout en discrétion. Si le boulot est bien fait, personne ne saura que nous sommes passés. Vous êtes la au cas où ça tourne mal c’est tout, mais ça ne tournera pas mal, parce que j’ai tout prévu.
Facile non ? »


J’aurais bien demandé qu’il laisse ses armes à feu ici, mais j’avais peur que ça fasse un peu trop, je venais déjà de mettre un grand coup dans les couilles de sa virilité en le rabaissant au rang de bouclier inutile alors j’allais éviter de trop forcer.
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Alessandro Padolli

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MessageSujet: Re: Tout en finesse... [Le macho play boy]   Tout en finesse... [Le macho play boy] I_icon_minitimeVen 5 Aoû 2011 - 17:26

Alors là, ils avaient fait fort… Vraiment, je commençais à douter de la santé mentale des français. Entre l’une qui donnait des coups pour remerciements, l’autre qui demandait à un parfait inconnu de surveiller sa sœur en lui racontant la totalité de sa vie, les chauffards et maintenant ça… Qu’est-ce que je pouvais bien foutre ici… J’ai été envoyé pour aider une ville où les hybrides se faisaient de plus en plus nombreux, pas pour un cas désespéré…
Je cherchais l’erreur. Deux mots : infiltration, moi. Franchement, je ne voyais pas la moindre compatibilité.
Tournant autour du téléphone, j’hésitais. L’appeler ? Ne pas l’appeler ? Est-ce qu’il serait au moins de bon conseil ?
Tant pis, j’appelais.


Allo, Alessandro ?

Rico ? C’est toi ? Alors, comment tu trouves Paris?

Je l’entendais rire, le salaud.

J’ai reçu une mission. Infiltration…

Mon calme au son de son éclat de rire moqueur n’était que le résultat d’un dur travail psychologique sur une décennie, et j’en étais assez fier.

T’as fini ? T’as des conseils pour moi ?

Ils t’envoient tout seul ?

Non, en binôme.

Alors normalement, ton binôme saura quoi faire. Une fois là-bas, contente-toi de faire ce qu’il te demande. En attendant, t’as toujours le sac rouge que je t’ai confié avant ton départ ? Ouvre-le, et sors-en le pistolet qui semble le plus étrange a tes yeux.

Je fouillais un peu partout dans l’appartement, retrouvant enfin le fameux sac. Alessandro me l’avait donné en me demandant de ne pas l’ouvrir sans son autorisation. Et étrangement, je ne l’avais pas ouvert avant ce jour. Je découvrais des armes que je connaissais, d’autres moins, mais de quoi tenir un assaut. Et le pire, c’était que le tout était assez léger pour que je ne me rende pas compte de son contenu en le portant. J’en sortais un étrange pistolet, ressemblant assez a un jouet pour enfant, et reprenais le téléphone.

Qu’est-ce que c’est que ce joujou ?

Tu connais le principe du taser ? C’est pareil, en plus puissant. Une décharge, c’est la perte de connaissance immédiate. Une deuxième, c’est la mort. De quoi convenir a ton partenaire quel genre qu’il soit. Et le mieux ! Il est silencieux, et ne laisse pas le temps a la victime de crier.
Bon, ben je t’ai tout dit, je te laisse te debrouiller, maintenant. Ne rate pas trop ta mission, Siffredi.


Je laissais couler la remarque sur le ratage de mission. Ce qui attirait mon attention, c’était le

Siffredi ?

Ben oui ! Rico Siffredi ! J’y ai pensé en regardant la télévision, y avait Roc…

Non, en fait, je veux pas savoir…

~¤~¤~

Le « joujou » en poche, je me dirigeais vers le point de rendez-vous. Emportant uniquement mon couteau avec, j’étais parti un peu plus tôt au cas où j’en venais à me perdre. Perdre était peut-être un grand mot, mais il était vrai que j’avais un peu de retard quand j’arrivais. Je prenais place, pour tomber sur la dernière personne que j’aurais cru voir.

J’avais oublié que nous comptions des membres de boys bande dans nos rang, vous n’avez pas peur de vous casser un ongle ?

Très franchement, j’aurais bien plus cru rencontrer le Père Vincenzo dans cet utilitaire que Tiphanie Daussure. Mais je ne répondrais pas à sa provocation gratuite. Si idiot fut ce choix, j’étais là pour accomplir une mission, et il n’y avait pas de place pour autre chose dans mon esprit pour le moment.

Je vous la faire court, de toute façon je doute que rentré dans les détails ça vous intéresse. Le but de ce soir c’est d’aller vider le disque dur du boss de l’entreprise parce qu’il est soupçonne de se service de sa société comme écran pour couvrir un réseau d’aides au hybrides. Et aussi accessoirement de lui piquer tout ce qui pourrais être suspect et en rapport avec l’activité soupçonnée.
Donc, pour ça je vais provoquer un bug informatique qui vas faire que le système de sécurité vas s’enclencher alors qu’il ne devrait pas. Voyant ça les mecs qui surveillent le bâtiment la nuit vont appeler la société de maintenance de l’alarme, enfin ça c’est ce qu’ils croirons parce que j’ai fait en sorte que l’appel soit rediriger vers un portable, en l’occurrence celui là…


Je suivais son topo en silence, sans mentionner l’inutilité de celui-ci, vu que je savais déjà de quoi il en retournait. Mais je ne la coupais pas, pour ne pas la vexer plus qu’elle ne l’était la dernière fois. Quelque chose me disait qu’il valait mieux ne la contredire qu’en dernier recours si je tenais a ma virilité.
Je ne fis aucun commentaire sur l’apparence de son portable, le mien, même presque neuf, n’étant pas bien mieux.
Je la laissais continuer.


Si vous avez suivi le principe est simple : nous entrons en nous faisant passer pour des employer de l’entreprise de maintenance et nous récupérons ce qu’on a récupéré nous réparons leur alarme foireuse, parce qu’en faite le bug est minime, et nous repartons comme si nous étions jamais entré.
Et pas besoin de tuer qui que ce soit, tout en discrétion. Si le boulot est bien fait, personne ne saura que nous sommes passés. Vous êtes la au cas où ça tourne mal c’est tout, mais ça ne tournera pas mal, parce que j’ai tout prévu.
Facile non ?


En fait, Alessandro avait raison : mon binôme savait tout, je n’avais qu’à la laisser faire. L’idée d’être la uniquement pour sa sécurité me plaisait plus que celle de prendre part au piratage. Sans etre un homme des cavernes, mon utilisation du net et de l’informatique était tout ce qu’il y avait de plus légale, et se limitait au strict nécessaire.
Serrant entre mes dents le bâton de la glace que je venais de finir avant de monter dans l’utilitaire, je regardais par le pare-brise après avoir attaché ma ceinture de sécurité.


Facile.

Il n’y avait ni ironie, ni accord dans mon ton. Ce mot était juste là pour signaler que j’étais prêt, sans pour autant laisser sa question en suspens.
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Tiphanie Daussure

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MessageSujet: Re: Tout en finesse... [Le macho play boy]   Tout en finesse... [Le macho play boy] I_icon_minitimeSam 6 Aoû 2011 - 12:11

Le vigil de la société l’était depuis le début, depuis qu’elle avait été crée il avait arpenté de nuits le couleur vide de son bâtiment pour dissuader quiconque d’entré par effraction.
Se soir la il n’y avait rien de particulier sa ronde se passait bien, les couloirs étaient vides, les bureaux aussi. Au seizième étage il jeta un coup d’œil a la caméra de surveillance, visiblement tout allait bien… du moins an apparence. Quelque secondes plus tard l’alarme se mis en route. Un peu paniquée le vigil fit tout l’étage en quatrième vitesse.

« Tu vois quelque chose sur les caméras ? »

Avait-il demandé au concierge qui de sa loge avait vu sur toute les caméras de vidéosurveillance.

« Non, rien du tout, même pas une ombre ça doit être le système qui merde, vas le débrancher avant qu’on croit qu’il y a vraiment un problème, j’appel la société de maintenance qu’ils viennent réparer ça vite fait bien fait. »

Sans se faire prier le vigil avait exécuté les directives du concierge pendant que ce dernier ne se doutant pas que tout ça était orchestré de toute pièce.

- oOo -

Le plan marchait à merveille pour le moment, le portable avait sonné. L’équipe de maintenance était expressément attendue. Nous avions attendue quelque minute pour faire croire que nous venions de plus loin que le pâté de maison voisin.
Le passage de la porte principale se fit sans encombre en même temps je nous avais fait enfiler des tee-shirts portant le logo et le nom de la société de maintenance. Avec le jean et les baskets s’était hyper féminin ! Au moins ça avait le mérite d’être confortable. On nous avait signalé que le système était en parti débrancher, les caméras et détecteur de mouvements étaient hors services mais les la détection de l’ouverture des portes de l’ascenseur était encore brancher, car dépendant d’un programme différent.
La central du système d’alarme n’était pas au sous-sol, trop humide pour le matériel informatique. Elle se trouvait quelque part au seizième étage dans un cagibi spécial soigneusement fermé à clé et le seul ayant ladite clé était le concierge et le vigil.

Nous nous fîmes donc escorter jusqu'à ce petit jouet de technologie pas vraiment sécurisé. Il avait juste fallu trouver la fréquence avec laquelle elle communiquait avec les détecteurs de mouvement pour pourvoir s’y connecter et changer le programme. Rien de très compliquer en soit.


« Je vous laisse bosser, je vais vérifier que vraiment personne est rentré. »

J’aimais ses missions ou on nous facilitait la tâche, vraiment. Le vigil tourna les talons nous laissant seul. Il semblait se diriger vers les escaliers, avant qu’il ne soit disparu au détour du couloir j’avais lancé :

« Oh merde, quel blonde ! J’ai oublié une partie du matériel ! »

Simple excuse pour justifier que j’ouvre la porte de l’ascenseur sans que ça ne paraisse vraiment louche. Une fois celle si ouvertes, je les avais bloqués.

« Le bureau du chef est au vingtième étage, comme il détecte l’ouverture des portes le vais être obligé de passer par la, en attendant, vous me couvrez sortez les ordis faites semblant de bosser. Normalement le vigils ne repasse pas avant une grosse demi-heure, mais si il le fait empêchez le d’accédez là et si il vous demande pourquoi vous êtes seule…. Improvisez, je ne sais pas par exemple dite que j’ai mes règles et que je suis parti au toilette un truc du genre, ça a le dont de toujours me mettre mal a l’aide ce genre de chose, même si je ne vois pas pourquoi.
Et surtout Ne-Butter-Personne…
Si vous avez un pépin vous savez comment me joindre. »


En parlant j’avais ouvert la trappe permettant d’accéder a la cage d’ascenseur et installer le matériel pour un peu de remonter sur corde, tout droit sorti de mon sac qui était sensé être bourré de truc pour réparé cette stupide alarme.
J’avais attendu que Macho Man se soit tailler pour aller « bosser » avant d’enfiler des gants et d’entamer ma remonter, quatre étages, ça allait être un peu longs, il fallait du nerf ! Mais ce n’était pas ce qui me manquait, motivée a ne pas me faire prendre, j’allais assez vite pour que tout ce que j’avais à faire et qui ne correspondais pas a notre couverture soit fait dans la demi-heure.
Ma porte de sortie en haut était un bouche d’aération que j’avais atteinte en rampant contre la paroi les pieds sur un rebord d’au maximum vingt centimètres, heureusement que je n’avais pas le vertige.
L’avantage de cette sortie, c’est qu’elle était assez large pour que je puisse passer, mais surtout que la grille était juste enfoncer sur l’ouverture et ne pas viser, un coup juste assez fort pour la faire sauté avait suffi. Je m’étais retrouver dans un sorte de local technique ou les femmes de ménage entreposaient leur matériel, pour le moment tout se passait comme prévu. Un léger coup d’œil dans ma tête ou j’avais laisser libre cour a ma télépathie pour avoir un portée plus importante, quatre étages plus bas le pensée d’Ulrich n’allait pas être bien forte dans mon esprit, mais au moins j’allais les entendre. La porte était fermer a clé, mais pas de problème avec un peu de télékinésie et un peu de matériel a crocheté les serrures elle n’avait pas résisté bien longtemps.
Tel un ombre je m’étais glissé dans le couloir, normalement je ne devais croiser personne, mais on ne savait jamais que le vigil ai eu envie de refaire un tour par ici. Sur mes gardes a l’affut du moindre bruit suspect aussi bien dans ma tête que dans le reste de l’étage, j’étais arrivé à la porte du bureau du Patron. Même manière que pour la porte du local, elle ne résista pas beaucoup plus découvrant une pièce parfaitement ranger ou trônait au centre un imposant bureau supportant un ordinateur. Pas le temps de traîner !
J’avais allumé le pc et brancher mon petit gadget pour cracker les mots de passe, en deux minutes j’étais sur le bureau, que s’était beau la technologie. Après avoir branché les disques durs externes j’avais copié tout le contenu de l’ordinateur dessus. Pendant le transfert j’étais allé faire un tour sur la boîte mail de l’entreprise, et en avait profité pour faire un copie de tout ce qui avait été envoyé et reçu. Heureusement l’ordinateur était récent et le transfert n’allais pas entre long, pour m’occuper j’avais fait un tour dans ses papier pour dégotter encore quelques petite chose suspecte, mais la pêche n’était pas extraordinaire, seulement deux trois feuilles que j’avais vite scannées grâce a un autre joujou de technologie.
Il y eu un bruit au loin, peu être était-ce mon imagination, mais je ne voulais pas le savoir, tout avait fini d’être mis sur disque dur, on ferait le tri plus tard, il était tant de décamper. J’avais donc tout débranché et tout éteint était sorti avait refermé la porte en actionnant le mécanisme avec la télékinésie puis retourner dans le placard de maintenance pour retourner d’où j’étais venu. Regardant ma montre, je crue avoir un léger haut le cœur, il me restait moins de dix minutes pour retourner en bas. Pas le temps de traîner !
Il ne restait que deux minutes quand j’avais atterri le plus discrètement possible sur l’ascenseur qui était heureusement toujours là. Avec empressement j’avais rangé tout le matériel gardant bien précieusement le disque dur dans ma poche histoire de ne pas le perdre.

Quand j’avais débloqué les porte de l’ascenseur cela faisait pile trente-minutes que j’étais parti. Sans attendre j’étais retourné auprès de mon si fin et délicat équipier aux cheveux blancs espérant qu’il n’avait pas fait de conneries.
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Alessandro Padolli

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MessageSujet: Re: Tout en finesse... [Le macho play boy]   Tout en finesse... [Le macho play boy] I_icon_minitimeSam 6 Aoû 2011 - 14:48

Le portable sonna, de ce genre de sonnerie tellement dérangeante qu’elle vous force à répondre au plus vite sous peine de vous faire sauter quelques neurones. Je restais silencieusement admiratif devant le pseudo-professionnalisme de ma partenaire. J’en aurais presque cru que l’on allait vraiment réparer le système de cette entreprise. Presque. Mais dans ma tête, il n’y avait que cette mission, et deux questions : pourquoi moi, et comment évoluerait cette mission avec la rancœur de Tiphanie à mon égard. Entre mes dents, j’agitais le bâton pour patienter avant que l’on ne démarre. Un silence de mort flottait dans l’utilitaire. Tiphanie ne voulait pas me parler, et je ne voulais pas me lancer sur un sujet épineux juste avant cette mission pour préserver nos nerfs.

Le bâtonnet se brisait entre mes deux au démarrage de la fourgonnette. L’attente, ce n’était pas mon fort, et je ne pouvais retenir un sourire en coin, coin que Tiphanie ne voyait pas, à l’idée qu’enfin on bougeait.
Le T-shirt était un peu serré pour moi, mais rien de bien grave. Si cela me donnait l’impression de m’exhiber, impression qui ne me plaisait pas, moi qui préférais que l’on devine plutôt que l’on voit, mes mouvements n’étaient aucunement entravés. Et avec ça, j’étais habillé presque entièrement comme Tiphanie, a l’exception de mes chaussures qui tenaient plus des rangers que des baskets. J’osais espérer que cela ne contribuerait qu’à appuyer notre appartenance à la même compagnie de maintenance.

Le matériel inutile en bandoulière, je passais la porte principale derrière Tiphanie, surprenant mes yeux à apprécier sa démarche. L’ayant vu dans un état de faiblesse, elle avait toujours soit titubé, soit été portée, que ce soit par moi ou par son frère. Elle était aussi dans l’utilitaire avant mon arrivée, et je ne l’avais donc pas vue marcher avant. Il semblait que j’avais manqué quelque chose…
Des clignements répétés d’yeux, et un détournement de regard m’aidèrent à me reprendre. Il fallait que ça s’arrête, tout de suite. Et ce, pour trois raisons : nous étions en mission, elle pouvait entendre mes pensées, et cela faisait bien une décennie que je n’étais plus attiré par les courbes et le déhanché des femmes. Il n’y avait aucune raison que ça recommence maintenant.

Le personnel du building nous présenta comme le plan de Tiphanie avait été bon. Plus de caméras, ni de détecteurs de mouvement. Cette femme m’étonnait de plus en plus.
Je restais en retrait alors que nous montions pour accéder à l’endroit où nous étions censés trouver et régler le problème. Tout le long, le vigile me lançait des regards de méfiance et de crainte mêlée. Et il avait peut-être de quoi. Je faisais facilement une tête de plus que lui, devais être deux fois plus large d’épaules, et portais sans problème un sac qu’il devrait trainer. Sans vouloir l’effrayer plus que ça, mes regards à son attention ne se voulaient pas tendres. Je n’étais pas là pour me faire apprécier. S’il faisait dans son froc quand on était plus imposant que lui, je n’allais pas jouer au gentil et lui adresser un regard réconfortant. Le but, c’était qu’il s’éloigne aussi longtemps que possible pour que l’on puisse accomplir notre mission, pas de faire la causette.
Je poussais le vice jusqu'à me placer juste derrière lui dans l’ascenseur, un peu sur la gauche, histoire qu’il sente bien mon imposante présence. Je le sentais nerveux, et cela me faisait sourire mentalement.


* Ne vas pas mouiller ton pantalon, mon grand. Je ne mords pas. *

Nous arrivions enfin, et je continuais de suivre Tiphanie, en restant toujours a proximité du vigile. Une fois dans la pièce, je déposais le matériel, en adressant un sourire à la limite du mauvais à mon « nouvel ami ». J’essayais de m’imaginer ce qu’il pensait de moi à ce moment. Seuls Tiphanie et lui devaient le savoir.

Je vous laisse bosser, je vais vérifier que vraiment personne est rentré.

Je n’avais aucune idée de si c’était à cause de moi, ou vraiment pour vérifier que personne n’était entré qu’il partait, mais toujours était qu’il partait, et c’était bon pour nous.
Il tourna rapidement les talons, s’engageant dans les escaliers sous mon regard.


Oh merde, quel blonde ! J’ai oublié une partie du matériel !

Je tournais la tête vers Tiphanie pour la voir bloquer les portes de l’ascenseur. Je n’avais qu’une vague idée de ce qu’elle comptait faire, mais ce que j’en avais ne me paraissait pas bête.
Par contre, vive les aprioris sur les blondes…


Le bureau du chef est au vingtième étage, comme il détecte l’ouverture des portes le vais être obligé de passer par la, en attendant, vous me couvrez sortez les ordis faites semblant de bosser. Normalement le vigils ne repasse pas avant une grosse demi-heure, mais si il le fait empêchez le d’accédez là et si il vous demande pourquoi vous êtes seule…. Improvisez, je ne sais pas par exemple dite que j’ai mes règles et que je suis parti au toilette un truc du genre, ça a le dont de toujours me mettre mal a l’aide ce genre de chose, même si je ne vois pas pourquoi.
Et surtout Ne-Butter-Personne…
Si vous avez un pépin vous savez comment me joindre.


Et vive les aprioris sur moi. Parce que j’étais musclé et que j’avais tué ses deux agresseurs, je tuais n’importe qui, n’importe comment… Même si ce n’était pas mon fort, je connaissais quand même le principe de mission d’infiltration. Et j’avais le gadget sans forme d’Alessandro. Si je ne faisais pas d’erreur de manipulation, je ne tuerais personne. Par contre, du fait du petit nombre de personnel, j’hésitais à l’utiliser. Une absence parmi plusieurs dizaines de personnes, ça pouvait passer relativement inaperçu. Une absence sur deux personnes, c’était facilement visible…

D’un petit hochement de tête, j’acquiesçais, et sortais le matériel de mon sac en bandoulière, m’installant comme il me semblait que quelqu’un s’installerait pour régler ce genre de problème. Que Tiphanie me dicte quoi faire alors que sans moi elle ne serait plus là avait quelque chose de légèrement gênant, mais je passais facilement au-dessus de ça. Le fait était que seule elle savait vraiment quoi faire.

En l’absence de glace, je sortais un de ces bonbons qui vous donnait une impression de fraicheur dans la bouche. Je bloquais quelques secondes dessus, repensant à ce qui m’avait conduit à être en éternelle quête de fraicheur. Je fermais les yeux, me remémorant ces images, qui devenaient réelles malgré moi. Je ressentais la chaleur étouffante, revoyais les lumières des flammes dans la fumée rendant ma vision floue et s’engouffrant dans mes poumons. Je me revoyais basculer la tête la première, perdant conscience. Je ressentais la peur de mourir, celle que tout allait finir dans cette fournaise.

Been to hell… and back.

Monsieur ? Vous allez bien ? Où est votre collègue ?

Je revenais à la réalité, levais le regard sur le vigile, et gobais mon bonbon en faisant mine de me remettre au travail.

Ça va. Juste un petit étourdissement. Trop de travail, surtout de nuit… vous savez ce que c’est. Ça fait un petit moment que j’ai pas eu une nuit complète… Enfin rien de grave, c’est passé.

Je levais les yeux vers lui, puis regardais autour de moi, faisant mine de chercher Tiphanie.

Elle doit sûrement être aux toilettes. Elle est dans sa… période… si vous voyez ce que je veux dire.

Tiphanie avait vu juste. Le vigile était déstabilisé. Je regardais ma montre. Il ne restait plus beaucoup de temps avant la fin du temps que Tiphanie s’était donné pour monter. Je devais faire partir cet importun.

Excusez-moi, mais j’ai beaucoup de mal à travailler en présence de quelqu’un d’autre que ma collègue. Vous comprenez, c’est une relation fusionnelle où il n’y a pas de place pour quelqu’un d’autre dans la pièce. Surtout que quand elle reviendra, ce qui ne va pas tarder, elle sera assez énervée, et tout ce qui n’est pas moi en prend généralement pour son grade…

Je le voyais douter. Au moins, c’était un bon fonctionnaire, et il n’était pas forcément dans le coup. Je devais éviter d’user de force avec lui. Mais je devinais ce qui l’empêchais de nous laisser.
Sur le ton de la confidence, j’ajoutais :


Écoutez. Si on me demande, je dirai que vous êtes resté nous surveiller. Comme ça, vous ne vous faites pas tirer les oreilles par votre employeur, vous évitez les foudres de ma partenaire, et moi ça me permettra de ne concentrer.

Il hésita, puis hocha la tête et tourna les talons, s’engouffrant une fois encore dans les escaliers. J’eus un bref soupir, vite étouffé en entendant du bruit venant de l’ascenseur. Aussi silencieusement que possible, je me précipitais vers celle-ci, réceptionnant Tiphanie, la bloquant contre une paroi de l’ascenseur en appliquant doucement ma main sur sa bouche, lui faisant signe de se taire.

Le vigile vient de redescendre, mais il est encore à portée de voix. Pour lui, vous êtes aux toilettes.

Je ne faisais pas attention à la proximité dont j’étais inconsciemment la cause pour l’empêcher de bouger. Je tendais l’oreille vers les escaliers, vérifiant tout d’abord que le vigile ne remontait pas, puis attendant de ne plus l’entendre pour retirer ma main de la bouche de ma partenaire, en me détachant doucement d’elle.
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Tiphanie Daussure

Tiphanie Daussure


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MessageSujet: Re: Tout en finesse... [Le macho play boy]   Tout en finesse... [Le macho play boy] I_icon_minitimeSam 6 Aoû 2011 - 16:04

Sa main sur ma bouche, son corps trop près du mien, le lui aurait bien appris les règle de convenance de manière un peu violente si il n’avait pas expliqué vite pourquoi il s’était permis une telle familiarité. Mais je doute que l’entendre couiner comme un castra qu’on égorge aurait fait discret. Je me laissais plus ou moins faire non sans lui avoir tout de même adresser un regard des plus noirs.

« Refaite ça une fois, et je vous jure que mission ou pas, je vous mords la main … »

Il était prévenu. Comment ça j’étais une sauvage ?! Il fallait ce qu’il fallait pour tenir ceux qui en savaient trop à l’écart.
Souplement je m’étais définitivement dégager de cette proximité tout à fait inappropriée pour retourner voir le matériel informatique. Il était tant de partir pour éviter qu’ils se mettent à avoir des doutes. J’avais branché la clé USB contenant le programme initiale a l’ordinateur, il ne fallu pas longtemps pour remplacer le programme défectueux que j’avais fait charger par le bon. Ne pas oublier de désactiver l’alarme parce que sinon elle allait nous sonner avant que nous ayons fait un pas, puis je fermais et remballais tout, vérifiant bien que le disque dur contenant les informations était toujours dans ma poche.


° On y va mieux vaut ne pas traîner °

Lui laissant les sacs les plus lourd, dont ceux contenant tout le matériel qu’il m’avait fallu pour monter jusqu’au bureau du boss, le m’était contenté de porter l’ordinateur, il avait des muscles et bien qu’il s’en serve !
En passant devant la loge du concierge j’avais stoppé net prenant mon air le plus mal luné. Ulrich avait du suivre mon conseil si il avait dis au vigil que j’étais au toilette alors autant faire la fille au prise avec le débarquement des anglais jusqu’au bout.


« On a réparé votre sal… alarme qui bugait, suffit juste de l’activé comme vous faites d’habitude et ça sera bon, vot’ copain pourra se balader dans les couloirs tant que ça lui chante, il se fera pas cirer dessus. »

Puis j’ajoutais à ça un grognement porche d’un « bonsoir » avant de franchir à nouveau la porte toujours suivi par mon caniche de garde au poil blanc : j’ai nommé Macho Man.
Sans un mot j’étais monté dans la camionnette pour la ramer là ou nous l’avions trouvé, ce n’était pas les ordres, mais j’avais envie d’être seule, ou plutôt loin de quelqu’un d’extérieur a ma famille qui en savait beaucoup trop long sur moi.
J’attendais qu’in ai passé le coin de la rue pour redémarré, je devais passer a au quartier général pour déposer le disque dur et tout ce qui contenait des informations, Après direction chez moi, rejoindre mon univers, mon lit et oublier tout ce qui avait un rapport avec mon équipier du soir. Il n’avait déjà pas tout fait raté, s’était déjà ça…
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