Retour de convalescence

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Suite de ce rp

Je suis enfin libre! Après presque une semaine d'hospitalisation, je peux enfin sortir en compagnie de Raph. Bon d'accord je marche doucement et j'évite de trop bouger mais d'une certaine façon c'est mieux que de rester à l'hôpital allongé ou en fauteuil roulant. Raph m'a raccompagné chez moi et je suis surpris en voyant ma moto garée à sa place. Je me tourne vers Raphaël et lui montre la moto du doigt.

C'est toi qui l'a mise à sa place?

Je continue d'avancer et j'ouvre la porte de la maison, ça fait du bien de rentrer chez soi. J'avance lentement dans l'entrée, ça me fait bizarre de revoir ma maison après plus de trois semaines sans y poser les pieds... Il me semble que mon passe-temps pendant les deux prochains jours va être... le ménage. Je fais une chose que je fais machinalement à chaque fois que je rentre chez moi. J'enlève mes chaussures, me dirige vers la cuisine et m'empare d'une pomme qui se trouve dans un énorme bol transparent. Je me retourne et regarde Raph.

Tu veux un fruit?

Dire que la dernière fois que je suis venu ici, c'était pour prendre ma tenue... Je me rappelle que Raph était partie en exploration dans la maison et ça me fait sourire... Je me lève, croque dans la pomme et mâche tranquillement le morceau avant d'avaler et de dire à Raphaël.

La chambre est à l'étage... Et si tu veux prendre une douche et bien c'est soit à l'étage soit... à l'étage... Il y a deux douches... Une dans ma chambre et l'autre dans la chambre d'ami.

Je m'approche d'elle, lui dépose un baiser sur les lèvres après l'avoir enlacé. Je m'écarte doucement avant de déclarer.

Je vais aller me laver. Je reviens dans dix minutes, tu peux aller déposer tes affaire dans la chambre si tu veux.

De mon bras valide, je prends un des sacs contenant des vêtements qui étaient chez elle. Je le dépose au pied du lit et me déshabille laissant mes affaires sales dans un panier destiné à cet usage et qui sera descendu plus tard. Je me dirige vers la douche avant de m'arrêter devant le miroir. Je regarde mon reflet et observe les blessures. Plus d'une quinzaine de balles ont transpercé ma paroie abdominale pour venir stopper leur course soit dans un muscle, soit en traversant la peau ou alors en restant loger comme deux d'entre elles à l'intérieur d'un rein. Machinalement, je passe ma main sur les cicatrices encore récentes, et je frémis quand je touche la peau à vif. Je regarde maintenant les impacts de balle se situant sur mon épaule. Ceux-là ont provoqué une déchirure musculaire assez importante qui m'empêche de déplacer mon bras comme je le désire mais selon le médecin, dans deux ou trois semaines avec un entraînement quotidien cela devrait revenir. Mon regard se stoppe sur mon tatouage qui s'étend du muscle pectoral gauche jusque que mon épaule. Le dragon qui est représenté est magnifiquement bien fait et il me fait repenser à mon pays d'origine où il représente la puissance et aussi l'amour. Je finis mes inspections afin de rentrer dans la douche. Je laisse l'eau couler contre mon corps et je savoure le contact de l'eau chaude qui laisse mon esprit divaguer à sa guise.

Invité

La sortie... c'était une manière de tourner la page. Cela ne leur ferait a de mal, ni a l'un ni a l'autre. Histoire d'oublier quelque temps le choc. Elle ne reprenait le travail que dans quelques jours. De courtes vacances qui lui permettaient de respirer un peu dans ce millieu ou elle avait constament eut l'impression de se noyer.

Quand ils arrivèrent, il s'étonna de trouver sa moto a sa place. Elle sourit. Elle avait appris tout simplement; même si au début cela la rendait malade, c'était tout de même quelque chose de pratique, puis elle n'avais pas eut beaucoup a faire.

Il semblait heureux d'être de retour chez lui. Et cette joie visible lui rechauffait le coeur. Il retire ses chassures en entrant chez lui, elle est legerement étonné, mais l'imite par la suite. Cela se faisait très probablement au Japon. Le temps qu'elle parvienne a retirer ses rangers; il était déja aller checher un fruit. Elle se demanda un instant comment celui ci pouvais etre frais après plus d'une semaine d'absence... La magie des concervateurs très certainnnement... Il lui en propose un.

"Non merci."

Il sourit, machinalement peut être, et elle le regarde faire. Elle n'ose pas vraiment s'aventurer dans le lieu. Elle ne se sent pas chez elle, ce qui est après tout normal, puisqu'elle n'y est pas. En chaussette, elle gratta sa cheville droite avec son pied gauche qui trahissait son leger malaise.
Il lui décrit legerement le lieu, lui indiquant les lieux strategiques. De toute facon, elle fouillerait si elle avait vraiment besoin, et il devait probablement le savoir. Elle n'était pas du genre timide.

"C'est vrai que c'est plus grand que chez moi... cela dit, c'est trop grand pour un celibataire."

Elle lui sourit legerement. Elle ne voulait même pas immaginer l'entrentient que necessitait un tel lieu. Elle le laisse l'enlacer avec un plaisir non dissimulé avant de lui rendre son baiser. Puis il la relacha; lui indiquant qu'il montait. Elle resta en bas quelques minutes avant de monter a son tour. La photo de lui et ses parents lui rappela qu'elle ferait peut être mieu de lui dire qu'elle leur avait telephoner, avant qu'il ne l'apprenne autrement.

Elle mona dans la chambre, déposant le second sac prêt de celui qu'avait monter Wyrlm et observa legerement les lieux. Elle n'était jamais monté ici. Elle finit par s'assoir sur le lit; tout en entendant l'eau coulé dans la pièce d'a côté. Elle avait du mal a s'y faire. C'était soudain.
Elle sortit de sa poche la petite croix de fer qui appartenait a son frère.
Elle la regarda longtemps, elle l'avait toujours sur elle depuis deux ans.
Elle inspira profondement, puis plaqua l'objet sur ses lèvres quelques secondes avant de le laisser poser sur un meuble. Il était temps de passer a autre chose.

Elle commenca a deballer ses affaires, tout en attendant qu'il termine.

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Pendant cinq minutes environ je profite du contact apaisant de l'eau pour me purifier l'esprit. J'essaie de me rappeler toutes les choses négatives que j'ai pu faire et je laisse s'échapper pour retrouver un esprit sain. Quand j'estime que je me suis assez lavé, j'ouvre le battant de la douche et j'attrape une serviette que je noue autour de la taille après m'être essuyé le bas du corps. Je pénètre dans ma chambre et je regarde Raph qui range ses affaires. Je m'approche et m'assied au bord du lit, ouvrant un des deux sacs pour chercher une tenue à me mettre sur le dos. Je prends une chemise assez large ainsi qu'un pantalon en toile blanche. Je laisse la chemise ouverte vers le haut de sorte que mon tatouage soit visible, puis je commence à ranger mes autres affaires. En déposant une montre sur ma table de chevet, je remarque une croix posée dessus, je la prends dans ma main pour l'observer avant de la remettre à sa place, sûrement un objet de Raph. Comme mes affaires sont presque finies de ranger, je vais donner un coup de main à ma partenaire, attendant qu'elle se place face à l'armoire pour me mettre dans son dos. Comme je suis plus grand qu'elle, je dépasse légèrement le haut de sa tête mais la vue est gênée par une touffe de cheveux dans laquelle je cache mon visage. Je prends les mains de Raphaël et m'amuse un peu avec en les posant un peu partout... Puis au bout d'un moment, je les lâche et je vais prendre des affaires à elle dans son sac. Je me sens un peu gêné quand je sors des sous-vêtements, je les pose donc sur le côté de sorte qu'elle puisse les déposer où elle veut.

Magnifique soutien-gorge... Mademoiselle.

Je dis ça sur un ton assez humoristique et je continue de ranger ses affaires avant de me dire qu'un peu de musique ne ferait pas trop de mal. Je me lève et sors une télécommande de ma table de chevet. J'appuie sur un bouton et la chaine stéréo, qui se trouve partout dans la maison, s'allume. Le son prend tout de suite sa place dans la maison, d'un geste de la main je baisse le son. Je me rappelle que chez Raph la chaine stéréo se contrôle à la main... C'est ainsi que je me suis rendu compte de la chance que j'ai... L'argent que je gagne chez moi est une somme assez conséquente et elle va enfin servir à quelque chose... Je me lève et comme je reconnais le rythme d'une chanson qui bouge, je m'approche et je m'empare des mains de Raph et je la fais danser avec moi. Je me plaque contre elle et je l'embrasse tout en dansant. J'évite de trop forcer sur mon bras droit de peur de me blesser mais je ferme les yeux pour profiter de la fraîcheur et de la douceur de ses lèvres.

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Quand Wyrlm réaparait, il est nu comme un vers, si ce n'est la serviette qu'il as passé autour de sa taille. Elle l'observe un instant, il est encore legegerement... trempé. Elle avait déja vut cet imposant tatouage, mais n'avait pas put l'observer comme maintenant. C'était très réussit; mais elle se demanda momentanement quel était l'interet de quelque chose de si imposant. C'était peut être parce qu'elle s'était toujours demander comment ces gens faisaient pour supporter les milliers de piqures pour obtenir a un tel résultat.

Elle finit par détacher ses yeux de lui pour ranger ses affaires. Le froissement des vetements lui indique qu'il est maintenant vetu. Mais elle reste face a l'armoire. Elle ne sais pas trop ou placer ses affaires sans déranger. En faite, c'était plutot elle que ca semblait déranger. Mais Wyrlm vint a sa rescousse en lui attrapant les mains et déposant le paquet de fringue dans l'armoire avant de jouer avec les membres de Raph qui ne se défendait pas. Quand il la lacha, elle se retourna vers lui avec un sourire.

"Gamin!"

Cela ne semblait pas le gener le moin du monde, et il alla chercher le reste des affaires dans le sac. Puis une remarque l'intrigue. Il fouillait dans ses sous vetements. Il avait rougit; ce qui ne pouvais que l'amuser.
Elle le rejoind et les attrape avant de les jetter dans l'armoire et de refermer celle-ci.

Il va sortir une petite telecomande, et déclanche alors sa stéréo. Elle as a ce moment un regard effarer. Elle entre dans la salle de bain et revient. Il semble y avoir des emplits partout.... Elle le regarde avec un air curieux et a la fois désabuser.

"Dit moi... tes parents sont riches non? Parce qu'avec un salaire de flic, je ne sais pas comment tu fait pour avoir tout ca. Ca me dépasse."

Il ne lui repondra pas, et vient l'attraper pour la faire danser. Ce n'est pas réelement son dommaine; mais elle se prend au jeu. Alors qu'il as les yeux fermer, elle finit par le repousser sur le lit ou il finit par tomber. Elle l'emjambe alors pour se placer a califourchon au dessus de lui, l'embrassant encore pendant de longues secondes. Puis elle se redressa.
Il affichait un air béat, alors elle attrapa l'oreiller prêt de sa tête et l'abbatit sur son visage.

"J'ai un truc a te dire; alors soit serieux deux secondes."

Elle se mordit legerement la lèvre. Elle ne savait pas comment il le prendrait. Bien elle esperait.

"J'ai prevenu tes parents l'autre jours, ca me paraissait important. Je croit que tu devrait les rappelez pour les rassurer, et puis eviter qu'ils débarquent si tu ne le veux pas. Car je croit qu'ils étaient prêt a prendre l'avion si je ne les avaient pas dissuader..."

Il ne souriait plus, l'écoutant attentivement. Elle attendit sa réaction, avec legerement d'apréhension.

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Tandis que je m'amuse à danser avec elle, elle se prend à mon jeu afin de mieux me surprendre, c'est ainsi que je me retrouve allongé sur mon propre lit avec Raph à califourchon sur mon aine, ce qui provoque une réaction typiquement masculine à laquelle s'ajoute un baiser passionné qui ne fait pas faiblir la bosse. Je n'ai pas le temps de réagir qu'elle m'abat un coup d'oreiller sur la tête, me laissant pour mort durant quelques instants.

C'est à ce moment qu'elle reprend son sérieux me prévenant qu'elle à quelque chose d'important à dire. Je la regarde et elle se mord les lèvres, ce qui ne présage rien de bon... Je la regarde tandis qu'elle commence à m'expliquer le dilemme, je n'en crois pas mes oreilles quand elle parle d'avoir appeler mes parents... Je la regarde quelques instants, essayant de calmer l'énervement qui me traverse. Je souffle un grand coup avant de lui répondre.

Bon Bon... Ça n'a rien de grave, puisque de toute façon ils ne risquent pas de prendre l'avion. Pour la simple et bonne raison qu'ils habitent à Paris, ensuite, ils s'en font toujours pour moi, c'est pour cela que j'étais réticent au fait que tu les appelles... Donc bon au fond ce n'est pas si grave que ça...

Je m'allonge sur le lit et je baisse le son de la stéréo, repensant à ce qu'elle a dit tout à l'heure par rapport à l'argent.

Mes parents ne sont pas riches mais ils ont de l'argent et je gagne assez d'argent en tant qu'officier... Ils gèrent un centre équestre depuis la France alors que ce dernier est au Japon, et ils ont leur propre centre ici ce qui me permet de me transformer à volonté...

Je me remets en tête de lui montrer ma forme équestre dès que possible... mais avant cela je vais appeler mes parents. Je prends mon téléphone qui est sur la table de chevet et je presse la touche abrégée pour la maison de mes parents. Quand le téléphone répond, c'est mon père qui est à l'appareil et je commence à m'exprimer en Japonais.

Salut Papa!Comment ça va? Non ne t'inquiéte pas, je vais bien! Comment ça qui était la jeune fille? Ah... C'est... Oui Papa c'est ma copine... Oui Je... Merci Papa. Maman est là? Ah elle s'occupe de Petit Tonnerre? D'accord, tu lui passeras le bonjour de ma part. Oui... Passez à l'occasion, je serais pendant un mois... Oui tu feras sa connaissance Papa. Allez bisous! Et arrête de m'appeler Uma c'est énervant!

Je raccroche le téléphone et je continue de regarder Raphaël que je n'ai pas quitter des yeux pendant toute la conversation. Je crois qu'elle n'a pas compris un mot de ce que jai dit. Je me relève et l'embrasse dans le cou avant de faire un résumé de ce qui c'est dit au téléphone.

Mes parents se font du souci, sinon tout se passe bien au centre et tout les chevaux se portent bien même si je doute que ceci t'intéresse. Quand il a appris que tu étais ma copine, il a décidé de passer pour te rencontrer ou alors nous irons au centre et je te montrerais quelque chose.

Je caresse sa joue puis mes mains descendent le long de ses courbes, ne s'arrêtant finalement qu'au niveau de ses cuisses que je caresse lentement.

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Il semble legerement en colère et elle baisse les yeux de culpabilité. Il souffla bruyament comme pour mieu evacuer sa colère naissante. Il dédramatise la situation; et elle se détent; même si elle sent que l'initiative lui déplait legerement, elle reste persuader d'avoir fait ce qu'il y avait de mieu. Il avait la chance d'avoir des parents attentionnés, il lui parraissat normal de les tenirs au courant.

Elle sembla étonné quand il lui dit que ses parents vivent a Paris. Les entendant parler Japonais, elle n'avait pas imaginer qu'ils puissent vivre en France. En même temps, le dialogue n'avait pas été très facile; alors pour comprendre parfaitement...

Il baisse le son de sa chaine, de manière a ce qu'ils puissent discuté. La musique servait maintenant de fond sonore; rien de plus. Puis il se rallonge. Pour le liberer, elle fait passé sa jambe droite du même côté que la gauche, puis s'assoir en tailleur sur le lit, toujours face a lui; pour l'écouté.

Ses parents geraient deux centres equestres? Elle ne pensait pas qu'on pouvais en trouver a Paris. Certainnement pres des bois. La suite de ses mots lui rappela qu'il était un hybride; un cheval. Cela la dépassait legerement. Elle avait du mal a immaginer un être a la fois humain, et animal.

"Il y avait un ranch la ou j'habitait quand j'était gamine... au Texas. Le proprietaire me permettait de monter ses chevaux si je m'occupait de leur box. Mais ca fait vraiment longtemps..."

Elle ne lui avait jamais dit qu'elle venait des Etats-Unis, tout simplement parce que ce n'était jamais entré dans leur conversation. Elle était arriver en France a 8 ans; alors autant dire qu'elle y avait presque toujours vecu.

Il se redresse et attrape son telephone. Elle se tait alors pour le laisser parler avec ses parents, dui moins elle immaginait. Elle ouvrit de grand yeux quand il se mit a parler en Japonais. Elle ne suivait pas un mot de ce qu'il racontait; a part quelque mots bateau comme 'arigato' qui voulait dire merci et qu'elle connaissait pour avoir dans sa jeunesse lut pas mal de manga. Quand il raccroche, il sourit en la regardant, probablement amusé par le fait qu'elle ne puisse pas comprendre ce qu'il disait.

Il l'embrassa et lui résuma la situation. Elle sourit, mais sembla legerement inquiète a l'idée qu'il ai prévut de lui faire rencontrer ses parents.

"Je sais pas si c'est une très bonne idée. Je doit être très loin du genre de personne qu'ils immaginent."

Mais il caressa sa joue comme pour balayer ses doutes. Elle glissa le long de son flanc pour se retouver contre lui et l'embrasser. Elle passa ses mains sur ses épaules et l'aida a retirer sa chemise. Il l'aida son tour a se debarrasser de ses affaires en trop avant de reprendre ce qu'ils aviaent commencer...

**********

Il avait finit par s'enormir après qu'ils aient couché ensemble, elle avait legerment somnolé egalement mais avait finit par se lever. Silencieusement, elle s'était habiller et était décendut dans le salon, ou elle s'était servit un café, assise dans un fauteuil et avait attendu, pensive; jusqu'a ce qu'on sonnne a la porte. Pensant qu'il dormait toujours; elle alla ouvrire la orte et tombé nez a nez avec deux Japonais de la 50e.

Elle eut un sourire gené comprenant que c'étaient les parents de Wyrlm et se gratta legerement la tête avant d'ouvrir la porte en plus grand.
Le couple l'observait sans un mot d'abbord ce qui la mit plutot mal a l'aise.

"Bonjour.... Vous n'avez cas entrer... Je vais chercher Wyrlm."

Les deux entrèrent, puis elle monta l'escalier en vitesse. Elle s'approcha de Wyrlm; toujours endormit et pose une main sur son épaule, le secouant legerement.

"Reveille toi!"

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Après une nuit magique, je m'endors dès que je touche l'oreiller, je ne rêve pas cette nuit, car le temps entre le moment où je me suis endormi et mon réveil est un peu court, Raph vient me réveiller en me secouant. Je ronchonne et prends le reste de la couverture avec mon bras valide et m'emmitoufle dedans, malheureusement ma chère compagne est entêtée et elle continue de me secouer jusqu'à ce que je sorte le tête de la couverture et que je regarde l'horloge... 10h14. Je me frotte les yeux et je reregarde, je n'ai pas rêvé. Je me tourne vers elle et m'assied avant de ronchonner.

Tu te moques de moi n'est-ce pas? Il est 10h14 du matin, on a pas dormi de la nuit et tu viens me réveiller? Bon... T'as une bonne raison au moins?

Je me lève lentement et vais ouvrir les volets. Quand mes yeux se sont accoutumés à la lumière, je crois avoir une vision et voyant la voiture de mes parents dehors. Je me tourne vers elle, fait pleins de gestes incompréhensibles avant de me déshabiller et de sauter dans la salle de bain. Je prends une douche rapide, me rhabille tout aussi rapidement avant de descendre les escaliers en courant. Mes parents sont dans le salon et se lève pour venir m'embrasser tout en parlant très fort comme ils en ont l'habitude. Ma mère se mets sur la pointe des pieds pour me prendre dans ses bras et mon père me tend la main que je viens serrer avant qu'il ne me fasse une accolade. J'attends que Raph soit descendu pour la prendre dans mes bras et l'embrasser avant de la présenter à mes parents toujours en Japonais.

Papa, maman, je vous présente Raphaël, ma petite amie.

Pour présenter Raph à mes parents, je reprends le Français.

Raph,voici mes parents, mon père se nomme Ichigo et ma mère Suzuka. Ne fais pas attention au fait qu'ils parlent fort, c'est toujours comme ça.

Je vais m'asseoir dans le fauteuil, Raphaël sur mes genoux, et mes parents vont dans le canapé. Je sens que je vais devoir faire l'interprète pendant un petit bout de temps, même si ils parlent un peu Français. Mon père prend la parole avec un accent très prononcé de mon pays.

Alors, mon fils, où tu as rencontré cette ravissante jeune fille?

Je souris avant de me rendre compte que ce n'est pas une question à laquelle il est facile de répondre...

A un concert... Nous nous sommes rencontrés à un concert.

Mon père aquièce et passe à un autre sujet.

Mademoiselle, j'espère que notre fils n'est pas trop... comment vous dites, entreprenant?

Cette question étant pour Raph, je n'y réponds pas, préférant en poser une à ma mère en Japonais cette fois-ci.

Alors les chevaux vont bien? Il y a eu des portées récemment? Il faudra que je passe pendant la semaine pour me réhabituer à ma forme animale.

Je dois absolument me refaire la main sur cette forme que je n'utilise que rarement... Après-demain, ou demain j'essaierais...

Oui, il y a eu une pouliche qui est née il y a trois semaines mais nous ne lui avons pas donné de nom... Mais je crois que c'est chose faite...

Elle me sourit et regarde Raphaël a qui je fais la traduction.

Une jument a eu une portée et ma mère vient de lui trouver un nom... Comme c'est une jeune pouliche elle a décidé de l'appeler Raph...

Je lui souris en attendant sa réaction.

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Wyrlm ne semble pas très a même de ce lever; mais elle ne le lui laisse pas le choix. Il rale, comme savent si bien le faire les hommes pantouflard qu'on reveil un peu trop tôt, mais s'apercoit bien vite de la raison. S'il est embarrassé, elle l'est bien plus que lui. Ses gestes lui avait prouvé l'imprévut de la situation. Il avait des parents... emcombrants, même s'il s'entandait bien avec; et Raphaël n'était absoluement pas prête a les rencontrer. Elle le voit bondire dans la douche comme jamais. Elle se demande quelle est cette obsession; il aurait bien put faire cela plus tard.
Il déscend en courant, elle s'assoit un moment en haut de l'escalier, sa tasse a la main. Et les observent, alors qu'ils ne peuvent la voir.
La femme est petite, et la voir se mettre sur lapointe des pieds l'amuse. Mais elle reste tendu. Elle finit par se relever et descendre.

Raph se force a sourire naturellement, alors qu'elle est plus tend qu'autre chose. Wyrlm l'attrape l'embrasse et se remet a parler en Japonnais. Elle avait horreur de ca; il lui semblait qu'il aurait put dire n'importe quoi sans qu'elle s'en rende compte. Il reprend en Français pour lui présenter ses parents et les nommés. Elle leur fait un signe de tête en guise de salutation. Cela risquait d'être particulièment long, s'il s'amusait a parler en Japonnais d'un côté puis francais de l'autre.

Ils se dirigèrent au salon, ou la conversation serait plus chaleureuse que debout sur le pallier. C'est son père qui entammela conversation. Elle reconnait sa voix pour l'avoir entendu au telephone; et se souvient avoir plus aisement parler en anglais; mais ce n'était probablement pas le moment. Elle sourit a ses mots, mais le sentait flatteur.
Elle allait repondre a la question quand Wyrlm la coupa. Elle se tue alors. A un concert... Elle sembla legerement pensive. Il utilisait ce mensonge, comme si leur relation était toujours simulé... Elle avait pensé dire la verité; mais elle ne lui ferait pas l'affront de le contredire devant ses parents.

Puis le père reprend, qui la fait pensé a autre chose. Elle est étonné e la question et du franc parlé avec laquel il la pose. C'est ce genre de question privé a laquelle elle ne s'attendait pas. Elle eut un air étonné puis rit legerement.

"Vous me demandez ca parce que vous n'être pas sur de l'avoir correctement eduquer?"

Wyrlm se remet a parler en Japonais, et Raph baisse les yeux. Elle se sent de trop dans cette petite réunion de famille improvisé. La petite bonne femme la regarde après avoir répondu a son fils ce qui ne réduit pas son questionnement. Il lui explique la situation, et Raph affiche un air étonné.
Puis se penche vers lui pour parler un peu plus doucement.

"J'immagine que ca devrait me faire honneur... mais je doit t'avouer que je ne sais pas vraiment comment le prendre."

Elle retourna la tête vers les parents de Wyrlm.

"Raphaël est un nom aussi bien masculin que féminin, mais je doit avouer que je le voit mal sur une jument. Mais ca n'engage que moi."

Elle avait décidé d'être franche, cela ne pourrait aps leur faire de mal.

"Je vais chercher a boire, vous voulez quelque chose?"

Elle se leva et se dirigea a la cuisine; elle n'avait aucune idée d'ou trouver ce qu'elle cherchait; mais elle finirait bien par trouver. Elle esperat qu'il vienne a la rescousse; même si rester ici le plus longtemps possible était une obtion qui lui convenait parfaitement.

Invité

Je me rends compte que la situation actuelle n'est pas là pour plaire à Raphaël ce qui me mets dans l'embarras, je crois que le fait que nous puissions très bien dire du mal d'elle sans qu'elle ne le sache la gêne à moins que ça ne soit autre chose et dans ce cas je n'en ai aucune idée... Elle ne sait comment réagir en ce qui concerne le nom de la pouliche et cela me fait mal au cœur. Quand elle se propose d'aller chercher à boire,je me lève quelques secondes après elle et je vais la rejoindre dans la cuisine. Elle semble chercher quelque chose et je viens poser deux mains sur ses épaules avant de l'enlacer tendrement.

Qu'est-ce qui ne va pas? Tu aurais préféré les rencontrer plus tard? Tu préférerais qu'on parle en Français? Dis-moi, car je n'aime pas te voir faire cette tête... J'ai l'impression que tu ne te sens pas chez toi...

Je l'embrasse tendrement sur l'oreille et je romps notre délicieux contact avant de me diriger vers l'étagère qui contient les verres. Et je vais ouvrir la porte du frigo avant de séléctionner un Soda qui plaira à mes parents.

Qu'est-ce que tu vas prendre? Ne me dis pas que tu n'as pas soif

Pour moi ce sera un jus de fruits, et je me dirige vers le récipient à fruits, avant de prendre une pomme. Je la regarde avant de me rendre compte que ce que disait Raph hier n'est pas faux... Les fruits n'ont pas été touchés depuis que je suis parti, ce qui signifie qu'ils doivent être périmés... Je penserais à aller en acheter dès que je pourrais. je mets tous les verres sur un plateau et commence à apporter au salon avant de les disposer devant nous et de servir mes parents.

Je crois que vous devriez parler français un peu plus souvent pour lui faciliter la compréhension...

Je la prononce en français, sûr qu'ils aient compris.

Invité

Il vint la rejoindre rapidement, ce qui lui hota un poid de taille. Il vint l'enlacer et lui demanda calmement ce qui n'allait pas. Elle esperait sincerement que ca ne s'était pas trop vut aux yeux de ses parents.

"Mais je ne suis pas chez moi! Je suis arriver seulement hier! Et tes parents sont déja la! J'aurait eut besoin d'un peu de temps! Je n'ai même pas eut le temps de m'y préparer! Et puis vous entendre discuter alors que je n'y comprend rien..."

Il avait bien cerner le problème. Il l'embrassa sur la tempe avant d'aller chercher des verres. Elle s'accouda au plan de travail un moment, et pris sa tête dans ses mains. Elle commencait a se sentir mal, et il lui semblait soudain qu'il n'y avait pas que cette entrevut improvisé...

"Sert moi ce que tu as, je m'en fiche..."

Il se redirigea vers le salon, et elle l'y suivit, se reservant pourtant quelques secondes pour se remettre d'aplomb. Puis elle réaparut, sourire aux lèvres avec le plus de contenance qu'elle pouvais. Wyrlm la servit et elle attrapa son verre.

La discution dura encore quelques temps, ou Raphaël écoutait plus qu'elle ne parlait. Elle pouvais difficilement faire autrement. Puis alors qu'elle n'avait plus parler depuis un moment, une idée la traversa.

"Et si nous allions a votre centre. Cela nous permettrait de voir les chevaux dont vous nous parlez tant."

Elle regarda du coin de l'oeuil wyrlm, cherchant son approbation.

Invité

Pendant quelques minutes, nous parlons avec mes parents mais je suis déconcerté par le mutisme de ma partenaire. Je la regarde de temps à autre, espérant qu'elle daigne participer à la conversation mais ce n'est qu'à de rares occasions qu'elle s'y ose. AU bout d'un moment, elle dépasse son quota de mots en une seule phrase afin de proposer à mes parents de nous rendre au centre équestre. Je la regarde puis je regarde mes parents qui répondent immédiatement.

Et bien, cela ne me gêne pas du tout, au contraire ça fait longtemps que Wyrlm devait passer. Et puis il vous fera une promenade personnalisée.

Je regarde mon père d'un oeil accusateur avant de sourire.

Tu comprendras sur place.

Vu que mes blessures ne sont situées qu'à partir de l'abdomen, je ne risque rien à prendre ma forme hybride... Je peux toujours essayer. J'adhère à l'idée de mon père et de Raph, je me lève et dirige tout le monde jusqu'à l'entrée que je ferme après que nous nous soyons chaussés. Je me dirige instinctivement vers la moto mais je doute que ce soit une très bonne idée... Je crois que la voiture de Raphaël sera plus... adaptée à la situation. Je pénètre donc à l'intérieur après qu'elle l'ait ouverte. Mes parents démarrent longtemps avant nous et je décris le trajet à ma conjointe.

Après quarante minutes de route, nous arrivons près du Bois de Vincenne où se trouve le centre équestre de mes parents, un grand centre qui fait leur fierté et qui fonctionne très bien car il a plus de 500 chevaux et au moins le triple d'employés voire quatre fois plus si je ne me suis pas trompé. Ils le gèrent depuis noter arrivée en Franc pour ma sécurité.

Ne fait pas attention à la taille, ils en ont un encore plus grand au Japon mais ils le gèrent par Internet

Je passe un bras autour des épaules de Raph et la colle contre moi. Je l'embrasse dans les cheveux tandis que nous nous approchons des box. Je nous conduit vers le box de mon cheval préféré... Petit Tonnerre. C'est le premier cheval que j'ai monté, et il nous a suivi depuis le Japon.

J'espère que tu aimes les chevaux blancs. Ferme les yeux s'il te plaît pendant quelques secondes, je te dirais quand ça sera bon.

J'entre dans le box de Petit Tonnerre où je retire tout les vêtements se trouvant sous la ceinture, je les dépose sur le portique qui empêche au cheval de sortir. Je pousse un peu Petit Tonnerre pour pouvoir faire ce que j'ai à faire. Je ferme les yeux et me concentre, sentant que je prends lentement de la hauteur. Quand j'ouvre les yeux, je suis sous ma forme hybride. Je m'avance lentement vers le portique et l'ouvre lentement afin de pouvoir sortir. Je m'abaisse, pliant les articulations des pattes afin d'être approximativement au niveau de Raph. Je lui prends la main avant de lui annoncer:

Tu peux ouvrir les yeux ma chérie.

Invité

Tout le monde acquièce, mieu cela semble même les enchantés! C'était probablement une bonne idée, un peu d'air ne leur ferait pas de mal. Les messes basses ne la dérange pas cette fois. Elle se dit qu'elle comprendra, et elle as tout de même une petite idée derière la tête de ce qui l'attend.

Quand tout le monde se dirige vers la sortie; elle hésite a monter, prendre ses somnifères; mais dans l'agitation collective, elle oublie; esperant très certainnement ne pas en avoir besoin.

Ils prirent sa voiture; elle n'était aps toute recente, mais roulait bien. Raphaël n'avait jamais vut l'interet de claquer des montagnes de fric dans l'entretient de ce genre d'engin... Tant que ca roulait! Wyrlm lui servait de guide, puisqu'il semblait bien connaitre le chemin. Quand ils arrivèrent devant le centre, elle eut un air effarer. C'était si immense. Wyrlm lui conseilla de ne pas faire attention a la taille; mais c'était justement ce qui l'avait marquer. C'était immense! Elle s'était imaginné une petite entreprise familliale, au lieu de ca, elle se retrouvais devant une multinationale.

Ils quittèrent la voiture pour entré dans le centre. De nombreuse personne s'affairaient; des propriétaires aux moniteurs, en passant par les enfants qui montaient ici. Il la serre contre elle dans un geste rassurant qui était bienvenu. Avant de la mener a un box, dans un coin plus reculer du centre, ou il y avait moins de monde.
Elle sourit, et attrapa avec attention le nez du cheval, carressant sa joue puis la parti douce se situant entre ses deux naseaux. Elle n'avait manifestement aucune peur de ces annimaux.
Cela semblait contenter Wyrlm. Elle lui sourit.

"J'espère que tu aimes les chevaux blancs."

"J'ai un faible pour les palomino; ou bien alzan crins lavés; c'était la robe d'une jument de trait que je montait parfois. Elle s'appellait Apalache. Mais blanc, c'est bien."

Elle semblait plus a son aise dans ce millieu; peut être parce que perdu dans l'immensité elle ressentait moins cette présence pesante du jugement de ses parents; bien qu'elle ne doutait pas qu'ils les observent de loin.

Il lui demandait de fermer les yeux; elle s'éxecuta alors, fermant ses paupières alors que ses mains carressaient toujours le cheval devant elle.
Elle entendit des bruissements de vetement mais se débarrassa de la tentation en tournant son visage vers le ciel, les yeux toujours clos.
Puis il attrape sa main, et lui demande de rouvrir les yeux. Elle sourit, puis retrouve a sa demande le sens de la vue. Elle sursaute en le voyant. Même si elle s'y attendait, c'était impréssionant. D'autant plus qu'il n'avait
pas ses attributs habituaux qui la mettaient en deroute.
Ses cheveux blancs, ainsi que son... pelage l'intriguait, le fait qu'il porte sa chemise egalement. Elle avait toujours immaginer les centaures torse nue, mais ce n'était qu'un détail.

"Ouaoh... Moi qui me trouvais pas trop petite... Tu vient de me filer un complexe."

Elle se mit face a lui alors qu'il s'était redresser pour comparer. Elle lui arrivait au niveau des abdos et du nombril.

"J'ai déja vut des hybrides... Et je doit avouer que je m'y attendait un peu; mais c'est... impressionant."

Elle sourit legerement.

"Je t'aurait plutot vut baie... cheveux obligent... C'est vrai que c'est un peu étrange..."

Tellement étrange qu'elle n'osait pas réelement flatté ces courbes animales. Elle finit par relever la tête vers lui avec un agréable sourire.

"Tu m'emmene?"

Invité

Elle ouvre lentement les yeux puis elle sursaute en me voyant. Elle m'observe pendant quelques instants toujours silencieuse. Quand elle ouvre la bouche, c'est pour me dire que je lui ai filé un nouveau complexe, sûrement de taille. Pour que l'on compare, je me lève et attends qu'elle vienne se coller à moi.

Ça va! Tu n'es pas trop petite.

Elle sourit en avouant que c'est impressionnant, ça l'est pour la majeur partie des gens, pour l'autre partie c'est effrayant. Je me remets à genoux et lui présent mon encolure après qu'elle m'ait demandé si je l'emmenais faire un tour. Elle grimpe en cavalière aguerrie et je souris avant de retirer ma chemise. Je la garde dans ma main puis je prends le reste de mes habits pour aller les déposer dans la maison de mes parents qui se trouve à une centaine de mètres.

Je sais que me voir avec une robe claire est plutôt bizarre mais c'est comme cela. La seule chose qui me gêne c'est que ma couleur de cheveux change et cela m'énerve.

J'avance au pas jusqu'à la maison de mes parents. Là-bas je dépose mon jean, ma chemise et mes sous-vêtements avant de prendre la direction de la forêt. Une mèche de cheveux à l'aspect plutôt foncé vient se mettre devant mes yeux ce qui m'étonne. Au début je pense que c'est Raph qui se moque de moi en faisant passer des cheveux au-dessus de ma tête mais je me rends rapidement compte que ce n'est que la mèche teinté qui se distingue beaucoup mieux. Je tourne la tête vars Raph avant de lui demander.

Tu trouves que la mèche est gênante quand je suis sous cette forme?

Nous pénétrons sur un sentier qui est fréquemment utilisé par les moniteurs et par les cavaliers pour aller promener nos amis équidés. L'air frais vient se frotter contre mon corps qui est beaucoup plus sensible sous cette forme. Après quelques minutes de marche silencieuse je m'adresse à Raph.

Accroche toi à moi.

Je me cabre après avoir senti ses bras se resserrer autour de ma poitrine. Une fois que mes membres avant retouchent le sol, je pars au galop sur le sentier puis lentement je passe au grand galop pour m'engager sur un chemin beaucoup moins fréquenté mais utilisé pour le saut. Des troncs d'arbre abattus s'étendent au milieu du chemin et je les saute sans grande difficulté. Au bout d'une dizaine de minutes de course folle nous arrivons dans une clairière où la lumière passe facilement.

C'est un de mes endroits préférés, je viens m'y reposer et réfléchir quand je n'ai rien à faire.

Invité

Wyrlm s'agenouilla pour lui permette de monter, ce qui était bienvenu. Elle n'avait plus monté a cheval depuis longtemps; mais restait plutot habile. Cela dit, elle devait avoué que cela avait quelque chose de legerement différent, et ne pouvais s'empecher de penser que c'était étrange.
Elle était rarement monté a cru; mais semblait plutot bien tenir en place, a la force de ses jambes.

Il alla déposé ses affaires non loin, et comme il avancait doucement, elle n'étai pas inquiète. Elle avait déposé ses mains sur ses cuisses alors qu'elle observait les alentours. Monter a chevalne lui avait jamais posé de problème. Mais se dire qu'elle se baladait sur le dos de son compagnon, cela lui posait tout de même un leger problème.

Elle sourit alors qu'il se plain du changement de couleur de ses cheveux.

"En même temps, une robe blanche avec les crins foncé, ca serait du jamais vut..."

En fin de compte cela parraissait alors plutot logique; cela dit, il aurait ét encore plus logique qu'il soit totalement baie. Mais ca... Ca faisait parti des mystères qui resteraient irésolues.
il se dirigeait manifestement vers la forêt. Mais elle avait confiance; de plus cela l'éloigait du brouhaha et de l'imensité du centre; elle n'allait pas s'en plaindre. Puis il lanca un commetaire tout a fait esthétique. Elle avait envi de se moquer de lui, et c'est avec un sourire qu'elle lanca:

"Tu n'as cas te teindre les cheveux; au moins ils seront de la couleur dont tu le souhaite."

Il ne répliqua pas, et elle ne revint pas le chercher. Il lui indiqua quelques minute après de s'accrocher. Mais a quoi? Habituellement, on s'accrochait au pommeau de la selle, ou bien au toupet de l'animal, mais la, elle n'avait ni l'un; ni l'autre. Elle s'avanca alors précoscieunesement sur son dos pour s'accrocher a son ventre. Elle esperait que ca ne remueraient pas trop; car elle doutait de ses talens de cavalière pour rester en place s'il devait chahuter.

Il ne l'épargna pas, se cabrant dès qu'il le put. Elle émit un cris de protestation, ou était-ce de la surprise; mais resta en place a la force de ses muscles et de ses bras, qui s'aggripaient fortement.
Il eut même l'audace de les faires sauter. Trop concentrer a s'agripper, Raphaël ne dit pas un mot de tout le trajet. Et quand il ralenti l'allure, elle est soulagé. Une belle clairière s'étend a leur pied, et il la décrit comme étant un de ses lieux preferer.

Elle se laissa glisser le long de son flanc pour toucher le sol; avant de s'y étaler literralement. Alongé sur le dos, elle riait a moitier; mais on n'aurait aps vraiment sut dire si s'tait des rires ou de la douleur.

"Refait plus jamais ca! J'ai mal aux abdos..."

Elle riait, cette fois ci il pouvais entre être sur. Elle croisa ses bras sur son ventre douloureux. c'est ce qui arrivait quand on restait trop contracter comme elle l'avait été.

Invité

Une fois que nous sommes arrivés dans la clairière et que je me suis arrêté, Raph quitte sa place et se serre le ventre en riant de douleur. Je m'approche lentement d'elle tandis qu'elle se reprend lentement pour me faire une remarque ironique. Je la regarde puis elle se met à rigoler, ce qui m'arrache un sourire. Je m'agenouille et la prend dans les bras en évitant de me blesser. Je la serre doucement et l'embrasse dans le cou.

Tu sais que si j'ai envie de recommencer, je recommencerais

Je me relève et n'arrive pas à rester en place, je suis tout le temps en mouvement et j'ai conscience que raph va finir par avoir le tournis. Je m'arrête avant de lui poser une question.

Alors... Tu les trouve comment mes parents? Un peu trop collant?

J'espère qu'elle sera sincère parce que moi je le suis et je trouve vraiment que mes parents sont collants. Depuis que je suis jeune ils ne me laissent pas tout seul, ils prennent constamment de mes nouvelles. Pas que ça me gêne mais plutôt que c'est énervant à la longue. Je crois qu'ils s'inquiètent pour moi à cause des Chasseurs... Mais j'ai compris que je devrais tôt ou tard avoir affaire à eux et qu'à ce moment là je me battrais. Cependant, un nouveau facteur entre en jeu... Et c'est Raphaël, je ne veux pas mettre ma vie en danger et risquer qu'elle revive la mort de la personne qu'elle aime.

Une mouche vient se poser sur ma croupe et est accueillie d'un coup de queue. Je me gratte les cheveux avant de repenser à ce que Raph m'a dit tout à l'heure par rapport à la couleur... Je ne sais pas si mon supérieur serait d'accord que je me fasse une couleur permanente...

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