Ulrich Carter

Votre personnage

I . D . E . N . T . I . T . E NOM : Carter PRÉNOM : Ulrich SURNOM : Rico (surnom donné par Alessandro) AGE : 30 ans ORIGINE : Virginie, États-Unis d’Amérique RACE : Chasseur POUVOIRS : Onde de choc Martyr A . P . P . A . R . E . N . C . E HUMAINE: 1m82 à sa dernière mesure et 76 kilos de muscle. Il est toujours habillé de longs manteaux qui laissent facilement voir sa carrure imposante, et de mitaines. Y ajouter ses longs cheveux blancs fait ressortir ses yeux bleus et son regard hypnotisant, bien qu’assez vide. Il affiche une confiance en soi perceptible bien que loin d’être excessive. Son air décontracté parvient généralement à déstabiliser quiconque le considérerait comme un ennemi. Ulrich n’a pas l’air vraiment dangereux, mais on sent bien que ce n’est pas une personne à provoquer. ÉQUIPEMENT PARTICULIER : Desert eagle doré (ou « deagold ») accroché à un holster à l’arrière de sa ceinture, couteau de combat accroché à la cuisse droite, et une épée qu’il laisse en général chez lui. H . I . S . T . O . I . R . E SON HISTOIRE : 2027, Los Angeles, États-Unis. Je m’appelle Ulrich Carter. Je suis né il y a 16 ans quelque part à l’Est d’ici. Ma mère ne m’est pas plus proche de moi qu’une étrangère, et mon père est un salaud alcoolique que je tuerais bien pour toutes les immondices qu’il m’a fait subir. J’ai fugué il y a quelques mois de chez moi, mais je me suis fait prendre pour drogue, délinquance et vol. Je ne sais pas quand je 2028, Florence, Italie. Tes jambes, Rico ! Le jeune homme se retrouva à terre avant la fin de cette phrase. À peine eut-il le temps d’ouvrir les yeux que la pointe d’une lame s’appuya sur son menton. Que veux-tu que je fasse de toi si tu ne sais pas tenir sur tes jambes ? Vous ne m’avez toujours pas dit ce que vous vouliez faire de moi… maître, rétorqua le jeune homme en serrant la main qui le hissa sur ses jambes. Comment ? Père Vincenzo ne t’as rien dit ? Je voulais savoir si tu arriverais à en faire quelque chose avant de le mettre au courant, Alessandro. Père Vincenzo était un vieil homme presque chauve, qui avait tiré Ulrich de sa prison pour mineur, en échange de quoi ce dernier s’était engagé à le suivre en Italie. Arrivé là-bas, Père Vincenzo avait placé Ulrich sous la tutelle d’Alessandro Padolli, un homme plutôt étrange, maniant les armes comme pas deux, qui ne cessait de lui parler en énigmes, ou de l’entraîner à utiliser toutes sortes d’armes. Ma foi, on peut en faire quelque chose… Bene. Ulrich, viens avec moi. Depuis qu’ils étaient arrivés à l’église, quelques mois auparavant, Ulrich ne voyait que rarement le Père Vincenzo. Il lui était aussi étranger que sa mère. Et pourtant, il ne pouvait s’empêcher de ressentir un profond respect à son égard. Vois-tu, mon fils, Dieu est partout. Il veille sur tout le monde, toi, moi, Alessandro, tous les bons chrétiens… Mais de vils créatures, à l’apparence humaine, infestent de plus en plus ses brebis, et nous autres, pauvres prêtres, ne pouvons rien faire contre eux. Alors, des organisations chrétiennes ont été créées, pour lutter contre le fléau. Et je t’ai amené pour que tu en fasses partie. Ulrich écarquilla les yeux en observant le Père Vincenzo. Lutter contre le fléau ? Toutes ces… épreuves que tu as traversé. Je pense que Dieu te les as envoyées pour te forger, pour que tu luttes en son nom. Tu seras le bras armé de sa colère pour lutter contre les hérétiques. Mais j’ai une dernière épreuve à te faire traverser… » Le prêtre l’emmena en voiture dans un village abandonné, à plusieurs heures de la ville la plus proche. Il le fit entrer dans une vieille maison délabrée, et l’y enferma. Sois fort, mon fils. Si Dieu est vraiment avec toi comme je le pense, ce n’est qu’une épreuve à passer. Ulrich ne compris vraiment que lorsqu’il sentit une odeur de fumée, et la chaleur monter. La maison était en train de brûler ! Ulrich se rua sur la porte, et frappa à s’en saigner les mains et les avant-bras. Mais la porte était solide, et la fumée envahissait la pièce. L’air devenait irrespirable et s’acharner sur la porte ne le faisait que perdre ses forces inutilement. Les poumons enfumés, la peur au ventre, Ulrich s’évanouit. ~¤~¤~¤~¤~¤~¤~ Ses cheveux ont blanchi. Le pauvre garçon était mort de peur. Mais il est vivant. Dieu est avec lui ! Parfois, vous êtes vraiment effrayant, mon Père… 2029, Rome, Italie. Pendant un an et demi, Ulrich s’était entraîné à ces « choses ». Alessandro l’avait emmené à la chasse, et lui avait montré les us et coutumes. Et dans sa tête résonnait la phrase que prononçait toujours Alessandro avant d’abattre sa proie. Nulla è reale, tutto è lecito. Requiescat in pace. Il avait été initié à la cérémonie. Elle était passée sans qu’il ne s’en rende vraiment compte. Ce ne que lorsqu’en rentrant à l’église, lorsqu’Alessandro lui serra l’avant-bras comme à un frère, qu’il se rendit vraiment compte qu’il avait changé. Il n’était plus l’élève, l’apprenti. Il était l’égal. 2031, quelque part aux États-Unis. Father… « Who are… Ulrich ?! … Where the hell were you ?! What happened to your hair ? » Show me your wings, father, lança le jeune homme en chargeant son arme. « What… wait ! » Sans l’écouter, Ulrich pointa son desert eagle vers son père. Comprenant qu’il ne servait à rien d’essayer de parlementer, Rupert Carter déploya ses ailes noires et ses serres, et se jeta sur son fils. Une onde de choc le projeta contre le mur le plus proche, et une douleur intense l’empêcha de se relever. Nulla è reale, tutto è lecito. Requiescat in pace. Nothing is true, everything is permitted. Res… Ulrich s’arrêta dans sa phrase. Il observa longuement le pauvre homme qui se tortillait sur lui-même de douleur, se demandant comment un être si misérable avait pu avoir le dessus sur lui pendant si longtemps. Sans finir sa phrase, Ulrich abattit l’hybride corbeau. 2041, Paris, France. Je suis enfin complètement installé. Paris me semble une ville malsaine, mais je suis passé par pire, je devrais m’en sortir. Le logement que me paye le Père Vincenzo est plutôt confortable, bien plus que ma cellule d’avant. Je ne comprends toujours pas pourquoi il m’a envoyé à Paris, il m’a dit que je le saurais en temps et en heure. J’ai entendu plusieurs rumeurs, qui me font penser que Paris est agitée ces temps-ci. Peut-être m’a-t-il envoyé calmer les ardeurs de la ville hybride… OBJECTIFS : Gagner sa place au Paradis. C . A . R . A . C . T . E . R . E MENTALITÉ : Ulrich est quelqu’un de sombre et déterminé, qui ne recule devant rien pour accomplir les tâches qu’on lui donne. Son tuteur lui a appris que Dieu désigne certains humains pour faire la sale besogne et purger le monde des abominations que sont les non-humains, et ce au prix d’une part d’humanité. Il est plutôt impulsif, du genre à foncer dans le tas et poser des questions après. Il n’est pas totalement asocial, mais a quelques soucis avec les autres, et manque de tact. CE QU’IL AIME : Tout ce qui est frais, voire froid. CE QU’IL N’AIME PAS : La fume, le feu, le chaud, être enfermé (sans pour autant être claustrophobe), les hybrides ailés

Vous

Votre pseudo habituel : Bobby Votre date de naissance : chabada Comment avez-vous connu ce forum : QC Que pensez-vous du forum, en quelques mots : Vous pouvez répéter la question ? Pourquoi avoir choisi ces pouvoirs : OK Pour TGZ

J'ai pas mis d'avatar par souci de temps, mais je le ferai dès que je le pourrai. Ulrich remplacera Jimmy qui n'est pas fait pour ce genre de forum.

Je te valide donc, mais tu as déjà pas mal de personnage, alors fait attention à ne pas en délaisser . Je supprime ton compte de Jimmy ?

Par contre il te faut un métier !

Ulrich vient d'arriver à Paris, donc il a pas encore de métier. C'est plausible ?

Sinon, oui, on supprime Jimmy ^^