Description de l’intérieur

Bordélique… La porte d’entrée donne sur un petit vestibule qui donne à la fois sur le salon/atelier et un couloir. Trois portes, première à gauche la salle de bain, deuxième à gauche les WC, celle de droite la cuisine et tout au fond du couloir, une quatrième : la chambre à coucher.


Salon recouvert de parquet ancien qui a tendance à craquer sous les pas, et où les murs sont recouverts d’une simple couche de peinture blanche, de nombreux dessins et affiches y sont placardés. Une table basse de bois sombre, un divan en cuire noir, un buffet du même bois foncé où sont précieusement entreposées divers alcools. Souvent des chemises tâchées de sang traînes sur le mobilier, des cadavres de bouteilles gisent sur le sol, le cendrier en pierre rempli à ras-bord déborde de mégots de cigarettes, et une odeur de tabac froid a imprégné les lieux. Le salon débouche directement sur l’atelier de travail de M. Jackowski.
Bureau : Un plan de travail, tout le matériel à dessin, crayons, encres, pinceaux etc… Des étagères recouvertes de livres cache des pans de mur entiers. Et bien sûr des dessins, des dessins, toujours et encore des dessins…

Chambre : Le même parquet vétuste du salon en recouvre le parterre. Y trônent une armoire massive d’un bois terne (où sont rangés ses vêtements), ainsi qu’un lit deux places aux draps constamment défaits. Sous le lit, certaines lattes du parquet ne sont pas scellées et donc amovibles. Si on les enlève on peut y découvrir, dissimulé sous le plancher, un coffre d’ébène fermé à clé. Où est cette clé ? Que renferme-t-il ? Seul son propriétaire le sait…

Cuisine : Au centre de la pièce, une petite table à manger en bois clair cernée de deux chaises assorties. Frigo, éviers, placard à vaisselle et tout le nécessaire pour préparer de bons petits plats. Étrangement c’est la pièce la plus ordonnée et la plus propre de l’appartement.

Salle de bain : Salle entièrement carrelée (à l’exception du plafond bien sûr) comptant un lavabo surmonté d’un miroir, et une confortable baignoire en émail blanche aussi spacieuse que les dimensions de la pièce le permettent.

WC : Bah c’est juste des chiottes quoi… et propres s’il vous plaît !